Dans sa livraison du jour, ce quotidien soutient que "cette mutation serait liée au portable trouvé chez lui mais aussi et surtout à la volonté du nouveau Directeur de "mettre de l’ordre" dans cette maison de détention". Selon notre source, l'ancien journaliste de Jeune Afrique, qui n’en est d’ailleurs pas à sa première "altercation" avec les autorités de la prison de Liberté 6, avait été giflé par un garde pénitencier qui l'avait même blessé. Cheikh Yérim Seck avait voulu porter plainte, mais c’est un de ses amis avocats qui l’en avait dissuadé. Aujourd’hui, avec la nouvelle tournure des choses, il est fort probable que notre confrère remette au goût du jour sa plainte. A moins que le Magistrat Boubou Diouf Tall, président de l’Observatoire national des lieux de privation de liberté (Onalp), se penche sur son cas.