A vrai dire, ne sachant ce que nous réserve l'avenir, il est très délicat de jeter la pierre à ceux qui ont péché ! Mais, il y a des comportements qui incitent au commérage, malgré toute une volonté de s’abstenir à faire de jugement de valeur. Comme par hasard, dans la même journée, deux cas d'infidélité et de relations adultérines dans les bureaux !!! On devrait peut-être revoir un peu notre modèle d'éducation religieuse et morale.
Discutant un jour avec une jeune femme, j'ai entendu que la religion n'interdit pas la fornication... et que ce serait plutôt l'abus qui l’est, avec les conséquences connues aux royaumes de Sodome et Gomorrhe ....!!!
C’est sans commentaire, donc Passons !!!
Ce n'était là qu'une parenthèse pour dire combien nous vivons nos religions sans les connaître.
La pause de midi est devenue le moment le plus apprécié par Satan. Pendant que les unes, fomentent de sales coups contre leurs époux ou s'échangent des recettes miracles pour "emprisonner" leurs hommes, les autres potinent sur les collègues.
Le "diow" fait certainement partie des pires péchés mais, comment résister au besoin d’évacuer ce choc psychologique, produit par des agissements aussi scandaleux que des…"plans pause" ?
Les commères ont distingué trois types de femmes évoluant dans les "plans pause" :
1. Les perverses
Elles ne cherchent que le plaisir. Vulgaires, les fesses moulées par un collant ou les seins toujours dehors, elles n'utilisent que leurs atours pour attirer le sexe opposé et, sur 99%, cela marche. Il faut aussi préciser que les piégés y trouvent leurs comptes, car leur ambition première est de satisfaire un besoin primaire. Ces nymphomanes n'ont pas d'exigence. Point besoin d'être beau, d'avoir une Cadillac ou un corps d’apollon, l'important c'est d'avoir un lieu ou les satisfaire. Un petit bureau sombre ou une chambre louée pour une heure ferait l'affaire. Souvent, ce sont elles qui prennent en charge les dépenses liées à la spéciale pause.
2. Les déréglées
Celles là font souvent des paris envers elles mêmes. Elles ne font de plan ni par plaisir ni par amour, c’est juste un défi. Elles ont ciblé un homme de principe, un homme amoureux de son épouse ou un homme juste rangé, et elles se donnent pour objectif de salir sa réputation, briser son ménage ou juste mesurer leur pouvoir de séduction. L'homme devient ainsi un objectif à atteindre et après il devient une véritable obsession. Un dangereux jeu d'échec sera alors au programme. C'est seulement après avoir gagné la partie qu’elles passeront au suivant.
3. Les ambitieuses
Un peu plus habiles, on les détecte difficilement par leur style vestimentaire qui, souvent, est respectable et correcte. Elles ne ciblent que les personnes pouvant les faire avancer. D'habitude, sont convoités le directeur des ressources humaines ou le directeur général de l'entreprise. Elles ont plusieurs profils : celles qui affichent une arrogance incompréhensible et celles qui rasent les murs à la descente. Les unes, pour masquer leur honte, deviennent de véritables dangers qui mordent, torturent ou humilient tous les témoins de leurs actes et les personnes différentes d'elles. Souvent, elles n'ont que faire d'un époux qui en réalité n'est qu'un mannequin juste là pour servir de couverture.
Celles qui rasent les murs veulent sauver une réputation déjà entachée. Elles ne font pas leurs âneries dans les bureaux, mais plutôt ailleurs, loin des yeux et oreilles indiscrètes, capables de dévoiler leurs jeux. Elles ont souvent un bon mariage ou prétendant. Mais leur cupidité est toujours plus forte ; et, pourtant, elles souhaitent malgré tout préserver leurs conjoints.
Souhaitons vivement que les enseignements laissés par nos modèles et nos guides religieux soient bien compris.
Amine
ybodian3@gmail.com
Discutant un jour avec une jeune femme, j'ai entendu que la religion n'interdit pas la fornication... et que ce serait plutôt l'abus qui l’est, avec les conséquences connues aux royaumes de Sodome et Gomorrhe ....!!!
C’est sans commentaire, donc Passons !!!
Ce n'était là qu'une parenthèse pour dire combien nous vivons nos religions sans les connaître.
La pause de midi est devenue le moment le plus apprécié par Satan. Pendant que les unes, fomentent de sales coups contre leurs époux ou s'échangent des recettes miracles pour "emprisonner" leurs hommes, les autres potinent sur les collègues.
Le "diow" fait certainement partie des pires péchés mais, comment résister au besoin d’évacuer ce choc psychologique, produit par des agissements aussi scandaleux que des…"plans pause" ?
Les commères ont distingué trois types de femmes évoluant dans les "plans pause" :
1. Les perverses
Elles ne cherchent que le plaisir. Vulgaires, les fesses moulées par un collant ou les seins toujours dehors, elles n'utilisent que leurs atours pour attirer le sexe opposé et, sur 99%, cela marche. Il faut aussi préciser que les piégés y trouvent leurs comptes, car leur ambition première est de satisfaire un besoin primaire. Ces nymphomanes n'ont pas d'exigence. Point besoin d'être beau, d'avoir une Cadillac ou un corps d’apollon, l'important c'est d'avoir un lieu ou les satisfaire. Un petit bureau sombre ou une chambre louée pour une heure ferait l'affaire. Souvent, ce sont elles qui prennent en charge les dépenses liées à la spéciale pause.
2. Les déréglées
Celles là font souvent des paris envers elles mêmes. Elles ne font de plan ni par plaisir ni par amour, c’est juste un défi. Elles ont ciblé un homme de principe, un homme amoureux de son épouse ou un homme juste rangé, et elles se donnent pour objectif de salir sa réputation, briser son ménage ou juste mesurer leur pouvoir de séduction. L'homme devient ainsi un objectif à atteindre et après il devient une véritable obsession. Un dangereux jeu d'échec sera alors au programme. C'est seulement après avoir gagné la partie qu’elles passeront au suivant.
3. Les ambitieuses
Un peu plus habiles, on les détecte difficilement par leur style vestimentaire qui, souvent, est respectable et correcte. Elles ne ciblent que les personnes pouvant les faire avancer. D'habitude, sont convoités le directeur des ressources humaines ou le directeur général de l'entreprise. Elles ont plusieurs profils : celles qui affichent une arrogance incompréhensible et celles qui rasent les murs à la descente. Les unes, pour masquer leur honte, deviennent de véritables dangers qui mordent, torturent ou humilient tous les témoins de leurs actes et les personnes différentes d'elles. Souvent, elles n'ont que faire d'un époux qui en réalité n'est qu'un mannequin juste là pour servir de couverture.
Celles qui rasent les murs veulent sauver une réputation déjà entachée. Elles ne font pas leurs âneries dans les bureaux, mais plutôt ailleurs, loin des yeux et oreilles indiscrètes, capables de dévoiler leurs jeux. Elles ont souvent un bon mariage ou prétendant. Mais leur cupidité est toujours plus forte ; et, pourtant, elles souhaitent malgré tout préserver leurs conjoints.
Souhaitons vivement que les enseignements laissés par nos modèles et nos guides religieux soient bien compris.
Amine
ybodian3@gmail.com