Suite à l’article paru dans le journal L’Observateur du 30 août 2016, Monsieur François BAKOU et Madame Elisabeth ALTOUNIAN souhaitent porter à l’attention du public les informations suivantes :
- Monsieur François BAKOU n’a jamais été traduit devant le Tribunal Correctionnel et, encore moins, devant la Cour d’Appel.
- A la suite de la plainte qui avait été déposée, une instruction avait été ouverte. Celle-ci vient de faire l’objet d’un arrêt rendu le 29 juillet 2016 par la Chambre d’Accusation de la Cour d’Appel de Dakar confirmant le non-lieu total initialement prononcé par Monsieur le Doyen des Juges d’instruction.
Il a donc été jugé qu’il n’y avait pas lieu à poursuivre Monsieur François BAKOU relativement aux faits qui lui étaient reprochés.
Cette décision définitive met un terme à cette regrettable affaire.
- En tout état de cause, les parties se sont réconciliées et œuvrent aujourd’hui dans l’intérêt des sociétés qu’elles ont en commun.
Fait à Dakar, le 1er septembre 2016
François BAKOU
Elisabeth ALTOUNIAN
- Monsieur François BAKOU n’a jamais été traduit devant le Tribunal Correctionnel et, encore moins, devant la Cour d’Appel.
- A la suite de la plainte qui avait été déposée, une instruction avait été ouverte. Celle-ci vient de faire l’objet d’un arrêt rendu le 29 juillet 2016 par la Chambre d’Accusation de la Cour d’Appel de Dakar confirmant le non-lieu total initialement prononcé par Monsieur le Doyen des Juges d’instruction.
Il a donc été jugé qu’il n’y avait pas lieu à poursuivre Monsieur François BAKOU relativement aux faits qui lui étaient reprochés.
Cette décision définitive met un terme à cette regrettable affaire.
- En tout état de cause, les parties se sont réconciliées et œuvrent aujourd’hui dans l’intérêt des sociétés qu’elles ont en commun.
Fait à Dakar, le 1er septembre 2016
François BAKOU
Elisabeth ALTOUNIAN