Une récente étude réalisée par l'université de Berkeley en Californie prouve qu'il existe un lien entre les composants chimiques de nos cosmétiques et la puberté précoce des jeunes filles.
C'est prouvé, les produits chimiques présents dans nos cosmétiques ont une mauvaise influence sur notre corps. Selon une récente étude américaine menée par l'université de Berkeley en Californie et publiée dans Human Reproduction, les composants chimiques tels que les phtalates, les parabens ou les phénols auraient un impact négatif sur le développement hormonal des jeunes filles et seraient donc responsables de leur puberté précoce.
Pour en arriver à de telles conclusions, les chercheurs ont effectué des tests d’urine sur plusieurs femmes enceintes afin d'étudier le taux de phtalate, de parabène et de phénol, trois substances chimiques que l’on retrouve dans un grand nombre de cosmétiques et dans de nombreux produits d’entretien. Si les phtalates sont utilisés pour créer nos parfums et nos déodorants, le parabène et le phénol se retrouvent dans la quasi-totalité de nos produits de soin et de maquillage. Un constat alarmant qui justifie notamment ce regain d'attention des femmes pour les cosmétiques d'origine naturelle.
Des règles et des poils pubiens qui apparaissent plus tôt
Ces composants chimiques peuvent tous être à l’origine d'une puberté précoce et ce dès le plus jeune âge, puisque les plus graves conséquences se formeraient dès les premiers mois de grossesse de la mère. D'après les chercheurs, à chaque fois que la dose de phtalate était doublée, le développement des poils pubiens chez une jeune fille arrivait un mois et trois semaines plus tôt que l'âge moyen. Quand la base de triclosan (type de phénol) était doublée, en comparaison à un indicateur de base, les menstruations arrivaient un mois plus tôt que la moyenne.
Résultat : les recherches ont permis de découvrir que les jeunes filles exposées à ces trois produits chimiques étaient plus susceptibles d'avoir une puberté précoce. Ce sont notamment les filles dont les mères avaient le plus fort taux de phtalate, de diéthyle et de parabens, qui présentaient le plus gros risque d'une puberté avancée. Mesdames, un grand tri dans vos salles de bain s'impose !
afriquefemme.com
C'est prouvé, les produits chimiques présents dans nos cosmétiques ont une mauvaise influence sur notre corps. Selon une récente étude américaine menée par l'université de Berkeley en Californie et publiée dans Human Reproduction, les composants chimiques tels que les phtalates, les parabens ou les phénols auraient un impact négatif sur le développement hormonal des jeunes filles et seraient donc responsables de leur puberté précoce.
Pour en arriver à de telles conclusions, les chercheurs ont effectué des tests d’urine sur plusieurs femmes enceintes afin d'étudier le taux de phtalate, de parabène et de phénol, trois substances chimiques que l’on retrouve dans un grand nombre de cosmétiques et dans de nombreux produits d’entretien. Si les phtalates sont utilisés pour créer nos parfums et nos déodorants, le parabène et le phénol se retrouvent dans la quasi-totalité de nos produits de soin et de maquillage. Un constat alarmant qui justifie notamment ce regain d'attention des femmes pour les cosmétiques d'origine naturelle.
Des règles et des poils pubiens qui apparaissent plus tôt
Ces composants chimiques peuvent tous être à l’origine d'une puberté précoce et ce dès le plus jeune âge, puisque les plus graves conséquences se formeraient dès les premiers mois de grossesse de la mère. D'après les chercheurs, à chaque fois que la dose de phtalate était doublée, le développement des poils pubiens chez une jeune fille arrivait un mois et trois semaines plus tôt que l'âge moyen. Quand la base de triclosan (type de phénol) était doublée, en comparaison à un indicateur de base, les menstruations arrivaient un mois plus tôt que la moyenne.
Résultat : les recherches ont permis de découvrir que les jeunes filles exposées à ces trois produits chimiques étaient plus susceptibles d'avoir une puberté précoce. Ce sont notamment les filles dont les mères avaient le plus fort taux de phtalate, de diéthyle et de parabens, qui présentaient le plus gros risque d'une puberté avancée. Mesdames, un grand tri dans vos salles de bain s'impose !
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