Elles, ce sont les filles de joie qui avaient leur quartier dahttp://www.leral.net/admin/page/3474331/?show=gns ces allées à qui on a donné le nom du défunt Khalif des tidianes, Khalifa Ababacar Sy. Mettant à profit le manque d’éclairage qui qui est dû à la taille des arbres qui y sont, les prostituées racolaient dans les parages sans coup férir. C’est un secret de polichinelle de dire que leur commerce prospérait jusqu’au jour où la municipalité découvre le pot aux roses. Elle a pris les choses en main en taillant les arbres qui jalonnent l’allée rendant du coup les lieux clairs comme le jour. Obligeant les prostituées à plier bagages et de chercher un autre lieu où elles pourront vendre leur chair en toute tranquillité.
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