AFP - Les rebelles tchadiens, depuis lundi dans l'est du Tchad, ont été bombardés par les forces régulières mais il n'y a eu aucun combat au sol, a affirmé mercredi après-midi à l'AFP le ministre tchadien de l'Intérieur et de la Sécurité publique Ahmat Mahamat Bachir.
Les rebelles ont été "localisés et +traités+ par nos avions. (...) Il n'y a eu aucunement de combat, ils ont évité les forces gouvernementales", a déclaré M. Bachir, assurant que le calme régnait "dans toutes les villes de l'Est".
"Depuis 72 heures, ces rebelles ont contourné les points névralgiques gardés par nos forces de défense et de sécurité. Ils se sont infiltrés par d'autres bouchons et ils sont arrivés autour de la sous-préfecture de Kerfi, à environ 45 km au sud de Goz Beïda, dans la région de Sila" (est), a ajouté M. Bachir.
Dans un communiqué diffusé mercredi, l'Union des forces de la résistance (UFR, alliance des rebelles tchadiens) avait annoncé qu'une "très courte bataille" avait opposé une de ses colonnes aux forces gouvernementales mardi vers 11H00 locales (10H00 GMT) entre Tissi et Haraz-Mangué (aussi écrit Haraz Mangueigne), au sud de Goz Beïda, près du Soudan et de la Centrafrique.
La rébellion avait ajouté avoir "mis en déroute" les militaires et récupéré une douzaine de leurs véhicules, assurant que ses hommes poursuivaient des soldats vers Am-Timan, chef-lieu de la région de Salamat (sud-est).
Les rebelles ont été "localisés et +traités+ par nos avions. (...) Il n'y a eu aucunement de combat, ils ont évité les forces gouvernementales", a déclaré M. Bachir, assurant que le calme régnait "dans toutes les villes de l'Est".
"Depuis 72 heures, ces rebelles ont contourné les points névralgiques gardés par nos forces de défense et de sécurité. Ils se sont infiltrés par d'autres bouchons et ils sont arrivés autour de la sous-préfecture de Kerfi, à environ 45 km au sud de Goz Beïda, dans la région de Sila" (est), a ajouté M. Bachir.
Dans un communiqué diffusé mercredi, l'Union des forces de la résistance (UFR, alliance des rebelles tchadiens) avait annoncé qu'une "très courte bataille" avait opposé une de ses colonnes aux forces gouvernementales mardi vers 11H00 locales (10H00 GMT) entre Tissi et Haraz-Mangué (aussi écrit Haraz Mangueigne), au sud de Goz Beïda, près du Soudan et de la Centrafrique.
La rébellion avait ajouté avoir "mis en déroute" les militaires et récupéré une douzaine de leurs véhicules, assurant que ses hommes poursuivaient des soldats vers Am-Timan, chef-lieu de la région de Salamat (sud-est).