Mamadou Wane, porte-parole du Comité directeur de la Coordination des Associations des réfugiés mauritaniens au Sénégal, déclare qu’aucune information n’est fournie par la représentation du HCR à Dakar, pouvant rassurer les 5.000 réfugiés mauritaniens qui attendent encore leur rapatriement..
« On ne nous a pas dit que la porte du retour organisé est fermée, mais d'après l'agence onusienne, tout dépendrait des bonnes dispositions du gouvernement mauritanien », renseigne Mamadou Wane.
Des candidats au retour dont fait parti Amadou Habibou Thiam, qui fait partie des candidats au retour, fulmine contre les autorités mauritaniennes, sénégalaises et du HCR qui, selon lui "prolongent indéfiniment notre longue attente".
Environ 19.000 réfugiés mauritaniens au Sénégal ont été rapatriés vers leur pays entre le 29 janvier 2008 et le 31 décembre 2009.
Une récente vague de rapatriement achevé le 31 décembre 2010 a également permis le retour en Mauritanie de 1.300 réfugiés accueillis sur des sites disséminés dans différentes régions notamment de la vallée du fleuve.
Ces populations avaient été expulsées de Mauritanie à la suite des affrontements inter- ethniques de fin avril 1989, qui avaient fait plusieurs centaines de victimes de part et d'autre du fleuve Sénégal servant de frontière naturelle entre la Mauritanie et le Sénégal.
« On ne nous a pas dit que la porte du retour organisé est fermée, mais d'après l'agence onusienne, tout dépendrait des bonnes dispositions du gouvernement mauritanien », renseigne Mamadou Wane.
Des candidats au retour dont fait parti Amadou Habibou Thiam, qui fait partie des candidats au retour, fulmine contre les autorités mauritaniennes, sénégalaises et du HCR qui, selon lui "prolongent indéfiniment notre longue attente".
Environ 19.000 réfugiés mauritaniens au Sénégal ont été rapatriés vers leur pays entre le 29 janvier 2008 et le 31 décembre 2009.
Une récente vague de rapatriement achevé le 31 décembre 2010 a également permis le retour en Mauritanie de 1.300 réfugiés accueillis sur des sites disséminés dans différentes régions notamment de la vallée du fleuve.
Ces populations avaient été expulsées de Mauritanie à la suite des affrontements inter- ethniques de fin avril 1989, qui avaient fait plusieurs centaines de victimes de part et d'autre du fleuve Sénégal servant de frontière naturelle entre la Mauritanie et le Sénégal.