«Les grands bouleversements connus par les médias et la communication au niveau global et dans chacun de nos pays, et les défis que ces changements accélérés imposent à nos sociétés, nous engagent, non seulement à capitaliser sur l’action de notre de notre réseau mais à dynamiser davantage la force de proposition du RIARC par l’expertise et le partage d’expériences et des bonnes pratiques », a souligné Latifa Akharbach, présidente de la HACA, le régulateur marocain de l’audiovisuel. L’ambition est de « voir le RIARC assumer de manière optimale, sa mission en matière de promotion et d’amélioration de la régulation des médias sur le continent ».
Par ailleurs, la patronne de la HACA a passé en revue les défis auxquels le paysage audiovisuel africain fait face, appelant à mettre à niveau ce secteur et à le considérer comme une priorité de politique publique. Cela revient, dit-elle, à adopter de « vraies visions stratégiques afin que le modèle économique de la radio et de la télévision évolue et intègre les nouvelles conditions de production des contenus ».
Akharbach s’est également arrêtée sur les lacunes du secteur public. Pour elle, la transformation numérique est indispensable pour prévenir « le déclassement » de l’offre publique.
Placé sous le thème « L’audiovisuel africain en mutation : lignes d’évolution et nouveaux enjeux », cette 10e Conférence des instances de régulation de la communication d’Afrique, s’étale sur trois jours. Point d’orgue de cette conférence, le séminaire thématique fournira aux participants une occasion propice pour croiser leurs perspectives et enrichir leur réflexion commune autour des enjeux économiques, culturels, technologiques et professionnels, liés à la transformation et au développement de l’audiovisuel africain, dans un contexte de mutations multiples et profondes de l’écosystème global des médias et de la communication.
Par ailleurs, la patronne de la HACA a passé en revue les défis auxquels le paysage audiovisuel africain fait face, appelant à mettre à niveau ce secteur et à le considérer comme une priorité de politique publique. Cela revient, dit-elle, à adopter de « vraies visions stratégiques afin que le modèle économique de la radio et de la télévision évolue et intègre les nouvelles conditions de production des contenus ».
Akharbach s’est également arrêtée sur les lacunes du secteur public. Pour elle, la transformation numérique est indispensable pour prévenir « le déclassement » de l’offre publique.
Placé sous le thème « L’audiovisuel africain en mutation : lignes d’évolution et nouveaux enjeux », cette 10e Conférence des instances de régulation de la communication d’Afrique, s’étale sur trois jours. Point d’orgue de cette conférence, le séminaire thématique fournira aux participants une occasion propice pour croiser leurs perspectives et enrichir leur réflexion commune autour des enjeux économiques, culturels, technologiques et professionnels, liés à la transformation et au développement de l’audiovisuel africain, dans un contexte de mutations multiples et profondes de l’écosystème global des médias et de la communication.