« Les attitudes stigmatisantes peuvent nuire à la cohésion sociale et provoquer un éventuel isolement social des groupes stigmatisés. Cela pourrait contribuer à une diffusion large du virus. Car, cela peut, dans une certaine mesure, pousser la communauté à cacher la maladie pour éviter la discrimination, empêcher la communauté de se faire soigner immédiatement, l’empêcher d’adopter les comportements propices à la bonne santé. Les conséquences se traduisent par des problèmes de santé plus graves et par des difficultés à endiguer une épidémie », a-t-il ajouté.
Abbé Alain Atapa : «Nous devons soutenir et aider l’autre»
Lui emboîtant le pas, Abbé Alain Atapa, représentant de l'Archevêque de Dakar, a martelé qu’« il faut que nous puissions être charitables. Et être charitable, ce n'est pas seulement donner du pain, de l'eau à telle ou telle personne.
Mais c’est plutôt comment faire pour nous protéger nous-mêmes et protéger celui qui est là et qui vit avec nous. Car, nous nous sommes le gardien de notre propre frère ».
De son avis, « surtout dans notre pays, le Sénégal, comme on le dit, les gens se fréquentent, le ressenti est important pour nous de pouvoir vivre ensemble, de ne pas stigmatiser, ne pas sortir quelqu’un de notre cœur, de notre famille, de notre quartier, de notre travail. Bien au contraire, nous devons soutenir et aider l’autre. Et comme le dit Saint-Jean de Lacroix, au soir de notre vie, nous serons jugés par amour. Dieu voit la sincérité de notre coeur. Et c'est ce qu'il attend de nous ».
Vox Populi
Abbé Alain Atapa : «Nous devons soutenir et aider l’autre»
Lui emboîtant le pas, Abbé Alain Atapa, représentant de l'Archevêque de Dakar, a martelé qu’« il faut que nous puissions être charitables. Et être charitable, ce n'est pas seulement donner du pain, de l'eau à telle ou telle personne.
Mais c’est plutôt comment faire pour nous protéger nous-mêmes et protéger celui qui est là et qui vit avec nous. Car, nous nous sommes le gardien de notre propre frère ».
De son avis, « surtout dans notre pays, le Sénégal, comme on le dit, les gens se fréquentent, le ressenti est important pour nous de pouvoir vivre ensemble, de ne pas stigmatiser, ne pas sortir quelqu’un de notre cœur, de notre famille, de notre quartier, de notre travail. Bien au contraire, nous devons soutenir et aider l’autre. Et comme le dit Saint-Jean de Lacroix, au soir de notre vie, nous serons jugés par amour. Dieu voit la sincérité de notre coeur. Et c'est ce qu'il attend de nous ».
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