La déposition sur procès-verbal (Pv) de la femme mariée Ngoné S, 30 ans, prostituée clandestine, au commissariat de police de Yeumbeul, a fait tiquer et laisser sans voix les flics enquêteurs. Ces derniers ont entendu des vertes et des pas mûres lors de ce face-à-face. Ainsi, lorsqu’une belle de nuit accepte de se confier sur ses parties de plaisir charnel tarifées, elle lâche parfois des bombes à forte détonation.
La police tombe sur une scène d’ébats sexuels ; des préservatifs et une tablette de viagra
Quand les agents de police appuyés par des éléments de la brigade de recherches ont fait irruption dans la maison de passe, ils ont trouvé sur les lieux le présumé proxénète Cheikh S. et ses deux clients Amadou G, et Bassirou C, qui attendaient leur tour pour… décompresser. Ces derniers sont aussitôt pris dans la nasse des limiers, qui procèdent à une perquisition du lieu de débauche, pénètrent dans une chambre et surprennent le nommé Dame Mb. en train d’entretenir des rapports sexuels avec la travailleuse du sexe Ngoné S, mariée. Ils les embarquent dans le panier à salades, fouillent le coin et découvrent un lot de capotes et une tablette de viagra.
«Je couche avec 4 à 7 hommes moyennant 2000 F chacun durant une nuit»
A la police, Ngoné S, mariée et mère d’un enfant, a reconnu les griefs et affirme avoir intégré le réseau par le biais d’une copine prostituée établie à Louga qui, selon elle, l’a mise en rapport avec le présumé proxénète Cheikh S, aux fins de vendre ses charmes. Elle indique avoir fait la connaissance de celui-ci lors d’une course au marché hebdomadaire dénommé «altiné» (lundi) de la commune. Ainsi, elle déclare s’être rendue au domicile de Cheikh sis à Yeumbeul Nord, route de la marine française, où elle soutient avoir couché cette nuit-là avec quatre (4) hommes moyennant 2000 francs. «Quand je suis arrivée là-bas, Cheikh m’a mise en rapport avec quatre clients. J’ai couché avec eux moyennant 3000 francs chacun. Il gagne 1000 francs sur chaque client. La 2ème fois, coïncidant avec la nuit de mon arrestation, j’ai ‘’encaissé’’ 7 clients. J’ai commencé à fréquenter la maison de passe depuis une semaine. D’autres femmes viennent là-bas pour se prostituer. Cheikh s’occupe des clients, donne les chambres et distribue les capotes. Je ne dispose pas de carnet sanitaire. Je ne suis pas une professionnelle. J’en suis à mes premières expériences», a-t-elle confié aux enquêteurs.
Les mis en cause livrent des versions différentes et s’accusent mutuellement
Quant aux autres membres du réseau, ils ont livré des versions aussi diverses que variées aux policiers. Le présumé proxénète Cheikh S. avoue son forfait et déclare avoir fait venir des clients dans la maison de débauche pour des séances de passe tarifées avec des femmes du quartier. Il a battu en brèche les allégations de Ngoné S. et soutient que celle-ci se rendait d’elle-même chez lui avec des clients pour solliciter une chambre. Les nommés Dame Mb, soudeur, 37 ans, et Amadou G, marchand ambulant, 22 ans, ont nié les délits d’ouverture et exploitation d’une maison de débauche et proxénétisme et indiquent être de simples clients. Bassirou C. agriculteur, a abondé dans le même sillage et déclare être hôte du présumé proxénète.
Tout ce monde a été déféré, ce lundi 14 août dernier, au parquet par la police de Yeumbeul pour ouverture, exploitation d’une maison de débauche, proxénétisme et non inscription aux fichiers sanitaires.
Vieux Père NDIAYE
INFORME DES AGISSEMEENTS DE SON EPOUSE
Le mari pète les plombs et verses de chaudes larmes
Les agents de police du commissariat de la commune de Yeumbeul ont encore fait preuve de tact et de professionnalisme, sous les ordres éclairés du chef de service Ibrahima Diouf, dans le traitement du dossier de démantèlement du réseau de proxénétisme et de prostitution clandestine à Yeumbeul Nord, route de la marine française, jeudi 10 août dernier, vers 23 heures.
La méthode douce et professionnelle de la police pour informer l’époux
Quand les flics ont découvert le statut matrimonial de la belle de nuit Ngoné S, ils ont usé de méthode douce pour appeler le mari de la dame et l’informer de ses agissements lubriques délictuels. «Ils ont téléphoné au mari pour lui dire que son épouse a été interpellée puis conduite au commissariat de police pour des motifs de vérification de pièce d’identité. Quand l’époux est venu à la police, ils lui ont dit que sa femme a été appréhendée dans une maison de débauche, où elle entretenait des rapports sexuels avec quelqu’un dans une pièce. Il a failli piquer un infarctus et a disjoncté. Il n’en revenait pas. Il a aussitôt commencé à verser de chaudes larmes comme un bambin», ont soutenu nos informateurs.
V. P. NDIAYE jotay
La police tombe sur une scène d’ébats sexuels ; des préservatifs et une tablette de viagra
Quand les agents de police appuyés par des éléments de la brigade de recherches ont fait irruption dans la maison de passe, ils ont trouvé sur les lieux le présumé proxénète Cheikh S. et ses deux clients Amadou G, et Bassirou C, qui attendaient leur tour pour… décompresser. Ces derniers sont aussitôt pris dans la nasse des limiers, qui procèdent à une perquisition du lieu de débauche, pénètrent dans une chambre et surprennent le nommé Dame Mb. en train d’entretenir des rapports sexuels avec la travailleuse du sexe Ngoné S, mariée. Ils les embarquent dans le panier à salades, fouillent le coin et découvrent un lot de capotes et une tablette de viagra.
«Je couche avec 4 à 7 hommes moyennant 2000 F chacun durant une nuit»
A la police, Ngoné S, mariée et mère d’un enfant, a reconnu les griefs et affirme avoir intégré le réseau par le biais d’une copine prostituée établie à Louga qui, selon elle, l’a mise en rapport avec le présumé proxénète Cheikh S, aux fins de vendre ses charmes. Elle indique avoir fait la connaissance de celui-ci lors d’une course au marché hebdomadaire dénommé «altiné» (lundi) de la commune. Ainsi, elle déclare s’être rendue au domicile de Cheikh sis à Yeumbeul Nord, route de la marine française, où elle soutient avoir couché cette nuit-là avec quatre (4) hommes moyennant 2000 francs. «Quand je suis arrivée là-bas, Cheikh m’a mise en rapport avec quatre clients. J’ai couché avec eux moyennant 3000 francs chacun. Il gagne 1000 francs sur chaque client. La 2ème fois, coïncidant avec la nuit de mon arrestation, j’ai ‘’encaissé’’ 7 clients. J’ai commencé à fréquenter la maison de passe depuis une semaine. D’autres femmes viennent là-bas pour se prostituer. Cheikh s’occupe des clients, donne les chambres et distribue les capotes. Je ne dispose pas de carnet sanitaire. Je ne suis pas une professionnelle. J’en suis à mes premières expériences», a-t-elle confié aux enquêteurs.
Les mis en cause livrent des versions différentes et s’accusent mutuellement
Quant aux autres membres du réseau, ils ont livré des versions aussi diverses que variées aux policiers. Le présumé proxénète Cheikh S. avoue son forfait et déclare avoir fait venir des clients dans la maison de débauche pour des séances de passe tarifées avec des femmes du quartier. Il a battu en brèche les allégations de Ngoné S. et soutient que celle-ci se rendait d’elle-même chez lui avec des clients pour solliciter une chambre. Les nommés Dame Mb, soudeur, 37 ans, et Amadou G, marchand ambulant, 22 ans, ont nié les délits d’ouverture et exploitation d’une maison de débauche et proxénétisme et indiquent être de simples clients. Bassirou C. agriculteur, a abondé dans le même sillage et déclare être hôte du présumé proxénète.
Tout ce monde a été déféré, ce lundi 14 août dernier, au parquet par la police de Yeumbeul pour ouverture, exploitation d’une maison de débauche, proxénétisme et non inscription aux fichiers sanitaires.
Vieux Père NDIAYE
INFORME DES AGISSEMEENTS DE SON EPOUSE
Le mari pète les plombs et verses de chaudes larmes
Les agents de police du commissariat de la commune de Yeumbeul ont encore fait preuve de tact et de professionnalisme, sous les ordres éclairés du chef de service Ibrahima Diouf, dans le traitement du dossier de démantèlement du réseau de proxénétisme et de prostitution clandestine à Yeumbeul Nord, route de la marine française, jeudi 10 août dernier, vers 23 heures.
La méthode douce et professionnelle de la police pour informer l’époux
Quand les flics ont découvert le statut matrimonial de la belle de nuit Ngoné S, ils ont usé de méthode douce pour appeler le mari de la dame et l’informer de ses agissements lubriques délictuels. «Ils ont téléphoné au mari pour lui dire que son épouse a été interpellée puis conduite au commissariat de police pour des motifs de vérification de pièce d’identité. Quand l’époux est venu à la police, ils lui ont dit que sa femme a été appréhendée dans une maison de débauche, où elle entretenait des rapports sexuels avec quelqu’un dans une pièce. Il a failli piquer un infarctus et a disjoncté. Il n’en revenait pas. Il a aussitôt commencé à verser de chaudes larmes comme un bambin», ont soutenu nos informateurs.
V. P. NDIAYE jotay