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Les secrets d'une brouille entre Idrissa Seck et Macky Sall

On en sait un peu plus sur le différend entre Idrissa Seck et Macky Sall. Les sorties au vitriol du maire de Thiès contre le régime de Macky Sall s’expliqueraient par le fait que ce dernier se montrerait de moins en moins ouvert à ses alliés de Benno bokk yakaar (Bby). Ce, à tel point que d’autres « compagnons », tel Ousmane Tanor Dieng, sont en train de danser sur la même musique qu’Idrissa Seck.


Rédigé par leral.net le Samedi 11 Mai 2013 à 09:26 | | 7 commentaire(s)|

Les secrets d'une brouille entre Idrissa Seck et Macky Sall
En marge de la cérémonie d’installation, mercredi dernier, du Conseil économique, social et environnemental (Cese), l’ancien Premier ministre, Idrissa Seck, maintient la cadence dans ses critiques contre le régime de Macky Sall. Le natif de la Cité du rail, qui dénonçait la mesure d’interdiction de la marche des libéraux, a fait savoir qu'« interdire une marche au Sénégal au 21e siècle, c’est totalement inacceptable ». C'est comme s'il n’entend plus accorder de répit au successeur de Wade, au motif que « ses erreurs s’accumulent de jour en jour ». Le leader de Rewmi, qui semble avoir adopté depuis quelques temps la posture d’un « opposant au pouvoir », ne rate aucune occasion pour critiquer l’action du gouvernement du Premier ministre Abdoul Mbaye. Selon EnQuête, le maire de Thiès décrie « la situation difficile du pays» tout en exhortant le gouvernement à « accélérer la cadence ».

Mais le problème entre les deux hommes serait en réalité moins lié aux déclarations médiatiques et médiatisées d’Idrissa Seck qu’à une absence de communication entre les leaders de la coalition Bby dont est (encore) membre le leader de Rewmi. Pourtant, Macky Sall, lui, se garde jusque-là de réponde à son allié politique et minimise. « C’est son droit de critiquer, ça n’a aucune espèce d’importance pour moi », avait-il déclaré depuis les Etats Unis où il était en visite officielle. Cette brouille entre ces deux anciens Premier ministres, dont les dommages collatéraux commencent à se faire sentir - limogeage du Dr Abdourahmane Diouf de la direction de la Sones - préoccupent au plus haut niveau certaines familles religieuses. Lors d’une visite à Touba, Idy a été interpellé par un marabout commun à Macky Sall et à lui. Ce dernier s’inquiétait de la dégradation de leurs rapports.



1.Posté par lpv le 11/05/2013 11:46 | Alerter
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Pourquoi Idrissa Seck et le parti rewmi dérangent ?

Le cas Idrissa Seck, est le nouveau sujet de prédilection au sein des coursives de l’APR. Quelques « fédayins » apristes, prennent pour cible, le maire de Thies.Samba Thiam, lui suggère de prendre la porte, quand Djibril Ware et dernièrement More Ngom, s’insurgent de la tonalité du discours de REWMI. Le dernier communique du secrétariat national de REWMI est passé par là .Le dit communique, invite simplement, dans ses grandes lignes, à un respect de l’Etat de droit et de la séparation des pouvoirs.

Mais depuis que le maire de Thiès, a annoncé son intention de remodeler son parti afin d’en faire un vrai appareil de conquête du pouvoir, le peuple « beige- marron » est entré en transe, pris d’une soudaine panique.
Voir Idrissa Seck déployer tout son génie, adossé à une vraie machine politique, a certainement de quoi inquiéter.
Mais, il serait naif, d’assimiler ces attaques, à de simples manœuvres issues de militants zélés. Ces sorties, sont l’écho du ressentiment des plus hauts responsables de l’APR, à l’égard du leader de REWMI.
En realite, Idrissa Seck dérange, pour plusieurs raisons.
D’abord, le choix du maire de Thiès, de garder sa liberté et son indépendance d’esprit, n’est pas vu d’un bon œil. La première salve d’indignation est intervenue lors de la dernière fête de korite.Au sortir de la prière, sur le perron de la mosquée de Moussante, parlant des débuts de Macky Sall, Idy lâche la phrase qui fâche : « …IL n’y a aucune avancée significative… ».Cette soufflante du maire de Thiès fait mouche, mais il reste impassible.
A la vérité, Idrissa Seck est formaté de la sorte. Il n’a jamais été homme politique à refouler ses convictions pour des intérêts partisans.
Souvenez-vous le 3 Février 2003, en pleine déclaration de politique générale, il refuse de s’engager sur les délais fantaisistes avancés par Wade, dans le cadre des grands projets présidentiels.
Au cours de la même année, le journaliste écrivain Abdou latif Coulibaly, sort son brulot : « Wade un opposant au pouvoir : l’alternance piégée».Wade demande à Idy de polémiquer avec le journaliste, il lui opposa un refus ferme, au nom de la liberté d’expression.
Quand des velléités de succession dynastique commencent à naitre chez le clan Wade, Idrissa Seck, leur dit le fond de sa pensée en ces termes : « Le président de la république n’a ni ascendant, ni descendant, c’est une créature constitutionnelle à incarnation humaine variable… »
Mieux, dans une mémorable lettre adressée aux sénégalais, à l’occasion de la création du parti Rewmi, il décline sa ligne de conduite par ceci : « J’aurai pu dire oui à tout, n’exprimer aucun désaccord, ni sur le projet de loi EZZAN, ni sur la place de la famille dans l’Etat, ni sur les délais irréalistes des nombreuses promesses presidentielles.Et conserver tous les privilèges attachés à ma position d’alors de quasi président de la Republique. Mais un homme d’Etat ne transige pas avec la vérité, même s’il faut se retrouver seul contre tous… »
Sous ce rapport, vouloir astreindre idrissa Seck, à une obligation de réserve au nom de Benno Bokk Yakkar, c’est le meconnaitre.Le leader de Rewmi a une bien plus haute idée de sa mission au service du Sénégal.
Ensuite les aperistes auraient souhaité, voir Idrissa Seck, s’arrimer à Ousmane Tanor Dieng, Moustapha Niass et Abdoulaye Bathily, en jouant un rôle officiel ou officieux. Lors du dernier sommet de l’union africaine, tenu à Addis Abeba, un reportage est passé en « prime time» à la RTS.C’est Macky Sall, s’adressant aux journalistes, avec en arrière plan, Ousmane Tanor Dieng et Abdoulaye Bathily, debouts derrière lui. L’image est saisissante et parlante. Elle pourrait à bien des égards, s’intituler : « Macky et ses apôtres! »
Par contre Idrissa Seck, a clarifier, depuis l’entre deux tours de la présidentielle, les bases de son soutien à Macky Sall.A savoir qu’il le soutient sans condition et veillera, à ne pas l’encombrer. C’est ce serment, qui dicte sa conduite actuelle.
Enfin, dans la construction d’un Sénégal de stabilité et de progres, aucune voix n’est de trop, même celle discordante. Car le débat contradictoire, est dans les démocraties avancées, le terreau d’où jaillit la vérité.
Que le peuple « beige-marron », se la tienne pour dit et s’attaque aux vrais problèmes de l’heure. Les sénégalais les attendent sur la réduction de la pauvreté, sur le relèvement du pouvoir d’achat des ménage, sur une fourniture normale d’éléctricité, sur le chômage des jeunes…
En somme que leur pompeux « Yonnu Yokute », cesse d’être un mirage et devienne une réalité palpable.


ABDOULAYE DJIGO
layemail80@gmail.com

2.Posté par lu pour vous le 11/05/2013 11:47 | Alerter
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Idrissa Seck : La vraie histoire d’un homme politique longtemps incompris

D’autres comme Thomas Sankara, Patrice Lumumba ou encore Mamadou DIA ont été incompris et combattus. Ils ont été Isolés politiquement ou tués puisqu’ils avaient décidé de servir les masses et non un clan. Ils avaient en commun l’amour de leur patrie basée sur des ressources africaines et sur un désir de briser les chaînes de la domination coloniale. Leur volonté inébranlable de servir humblement les populaces s’adossait sur l’éthique. A l’image de ces valeureux fils d’Afrique, Idrissa Seck a été aussi traqué et embastillé par un système politique pour avoir simplement commis le pêché de s’adosser sur des valeurs religieuses et morales afin de mener, dans la constance, son action politique.

Quand on évoque l’histoire, des exemples ne manquent pas pour démontrer cette voie que Mara s’était tracée avant et surtout après l’accession du PDS au pouvoir en 2000. Il n’est jamais tombé dans l’ivresse du pouvoir. Il est resté fidèle à sa posture de départ et encré dans la défense du bien commun. Quand par exemple l’autre lui avait rappelé le code des Grands Bandits qui ne se « manifestent qu’au moment du partage du butin », lui préférait lui rappeler les paroles divines sur le partage du butin qui devrait revenir « aux nécessiteux, aux voyageurs en détresse, aux orphelins, … », bref aux masses défavorisées. « Encore tes versets » lui avait-il lancé, « toujours mes versets » lui avait répondu Idy. Le fossé s’était très tôt creusé et il fallait alors l’anéantir politiquement. Il gênait. La machine à embastiller et à calomnier a alors été lancée, l’argument de l’enrichissement illicite utilisé, des fouilles jusque dans des fosses sceptiques qui n’ont rien pu démontrer, organisées. Des jeux vidéo brandis comme des preuves.

De ces agressions « physiques, politiques, personnelles et judiciaires », Idrissa Seck n’en est certainement pas sorti indemne. Il a dû résister face à l’offensive. Il a dû s’entourer de toutes les garanties pour se battre dignement. Il a été alors peint comme un homme qui ne s’intéressait pas aux vécus de ses compatriotes, hautin, pressé, inaccessible et intéressé que par la station présidentielle. Que de faux préjugés pour un homme qui très tôt s’est engagé dans la défense des intérêts collectifs et dans l’éclosion des talents individuels. « Les lignes de connexion entre lui et ses compatriotes » ont été ainsi brisées par cette tentative d’isolement réussie en partie. Mais « Allah a rendu vaines leurs manœuvres. Allah a rendu vaines leurs ruses » et la vérité, loin des fausses certitudes, s’entrevoit de jour en jour.

Pour cause, cet homme politique décrit comme une personne qui se suffit à lui-même, n’a jamais varié dans ses positions. Il s’est battu pendant plus de trente années à côté d’un homme et pour des valeurs. Et quand son ancienne formation politique a commencé à dévier de son idéal de changement, il n’a pas hésité à se lever et à leur dire la vérité. Il n’a pas hésité à se démarquer même au risque d’anéantir ses ambitions politiques et de se mettre à dos un puissant système. Il a toujours choisi d’être loyal d’abord vis-à-vis de lui-même, et ensuite par rapport aux valeurs qu’on lui a inculquées depuis son enfance. Pour lui « la loyauté n’est pas synonyme de génuflexion ». La vérité est toujours à dire.
Ce fut le cas quand, utilisant un métaphore, il avait fait comprendre à Karim Wade fils d’Adoulaye Wade qu’il ne devait en aucun cas se prévaloir des prérogatives de son père pour prétendre nourrir des ambitions politiques au risque de se mettre sur le banc des accusés et de se retrouver pendu. Le père rapportant cette discussion à un de leurs amis communs déclara que « Mara avait parlé à Karim en grand frère ». Il en serait aujourd’hui autrement si le Pére et le fils l’avaient écouté.
Ce fut aussi le cas quand on a voulu qu’il défende des projets chimériques alors qu’il a toujours refusé de « défendre l’indéfendable ». On se souvient encore de ce coup de fil en pleine déclaration de politique générale lui intiment l’ordre de parler des « éléphants blancs du Président ». Ce qu’il avait catégoriquement refusé.
Ce fut le cas lorsque, la machine de la dévolution monarchique du pouvoir, soubassement de ses problèmes politiques qui lui a valu six mois de détention arbitraire, a été lancée et qu’il s’y était opposée et qu’on lui prêtait de vouloir organiser un « coup d’état assis, rampant et puis debout ».
Ce fut encore le cas, alors qu’il était seul au comité directeur du PDS, et qu’il s’était opposé, avec des arguments solides, à la troisième candidature de trop et anticonstitutionnelle de Abdoulaye Wade. Seul devant tous, il avait fait entendre une voix discordante qui ne disait rien d’autre que la vérité que les autres ne méprenaient pas mais qu’ils ne voulaient pas entendre.
Pour tous ces combats politiques, il a été d’abord décrié, rabroué, dénigré avant d’y être rejoint par d’autres franges de la classe politique sénégalaise qui ont tenté elles aussi de le mettre à l’écart. « Condamner le blâmable et approuver le convenable » a toujours été son credo et continuera certainement de guider ses actions politiques.

S’il faut encore le rappeler, Idrissa Seck est un homme politique aguerri. Aux côtés de Abdoulaye pendant plus de trois décennies, avoir été son Directeur de Campagne en 1998 et en 2000, il connaît bien les rouages de la politique sénégalaise et ne peut ni se prendre pour un Président avant l’heure ni méconnaître ses obligations entant que leader politique. Toute nouvelle situation appelle nécessairement une nouvelle conscience. C’est ce qu’il voulait faire comprendre aux uns et aux autres lors de sa déclaration du dernier jour de la campagne présidentielle du Février 2012 en affirmant qu’il était de loin mieux outillé que les autres candidats en liste pour battre campagne jusque dans les fins fonds du Sénégal, mais qu’il avait préféré rester à la place de l’indépendance pour continuer la bataille de principe qu’il avait commencée avant tout le monde et bien avant le 23 Juin 2011.

« Guddi bo guiss beutieuk laay waadjal ».

Aujourd’hui, il décide d’aller rencontrer ses compatriotes et leur parler afin de rétablir la vérité. Il y a eu beaucoup d’incompréhension, beaucoup de fausses interprétations, mais point de maladresses comme veulent le faire croire ou le croient certains. L’homme était la cible d’un régime de hors la loi et il lui fallait déployer toute une stratégie pour continuer à exister politiquement tout en se gardant de faire dans les compromis ou compromissions. Ce que nous devrons retenir est que son idéal politique s’adosse sur la morale et la religion au service exclusif des intérêts communs. Pour cela, il sera toujours combattu, mais nous espérons qu’il restera toujours DEBOUT, aidé en cela par d’autres citoyens épris de justice et de vérité, puisque nulle ne doute que le Sénégal a besoin de lui et lui du Sénégal pour un Etat républicain fort, libéré des comploteurs et respecté dans le monde.

Haby Sirah DIA
Habydia.blogspot.com
habysirahdia@yahoo.fr

3.Posté par Ngaary le 11/05/2013 13:42 | Alerter
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Haby Sirah Dia, tu veux mettre Idy celui qui s'est enrichi grâce aux fonds politiques au même niveau que ceux, de leur vie ont tous fui la richesse?

4.Posté par junior le 11/05/2013 16:45 | Alerter
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QUE DOUDOU WADE ET CIE SE TAISENT A JAMAIS
La sortie de l’ancien premier ministre, Souleymane Ndéné Ndiaye, contre ses frère libéraux a été accueillie comme un tôlé chez les copains à Doudou Wade.
En effet, après la lettre de vérité de Souleymane Ndéné Ndiaye, Doudou Wade et compagnie se sont constitué en bouclier en essayant de faire croire aux sénégalais qu’ils sont les représentants légitimes du Pds, dans le champ politique sénégalais.
Alors qu’en réalité, ni Doudou Wade ni ses copains n’ont la capacité de mobilisation autour de leur personne. Car, sur l’échiquier politique sénégalais, ils ne représentent absolument rien du tout car ne pesant même pas un gramme.
En réalité, ils veulent prendre le Pds en otage à leur tête le neveu de l’ancien président de la République, Doudou Wade qui essaye de placer ses copains dans des postes stratégiques du parti.
D’où l’idée de mise en place des fédérations à travers le pays, en voulant faire croire qu’ils sont représentatives et capables de conduire le navire Pds.
Doudou Wade, Omar Sarr, Modou Diagne Fada entre autres veulent se faire passer comme les dignes héritiers de l’œuvre de Me Abdoulaye Wade en tympanisant les sénégalais à travers la presse toute confondue.
Mais, qu’ils sachent que les journaux ne prouvent en rien la popularité d’un politique, au contraire essayent de faire passer un politique comme un leader.
Car pour être leader, il faut une base solide et dans cette base solide, il faut impérativement des militants déterminés et capables de défendre les intérêts d’un parti.
Cependant, tel n’est pas le cas chez ceux qui s’agitent dans les chaînes de télévisions, les radios, les sites web et dans les journaux pour convaincre les sénégalais.
Les vrais responsables politiques, qui ont une base politique solide sont dans l’ombre en train d’observer les incapables en attendant qu’ils finissent leurs minables minutions politiques dans des champs inutiles.
L’on ne détermine nullement un vrai politique à travers ses sorties médiatiques commandités, mais en évaluant sa base politique.
Tous ceux qui s’agitent aujourd’hui, se réclamant du Pds n’ont aucun poids politique dans le Sénégal d’aujourd’hui.
Aller dans leur fief, vous verrez que ce n’est qu’une coquille vide et sans intérêts.
C’est plus facile de danser devant les écrans de télés ou devant les micros des radios que de vivre les dures réalités du terrain politique.
Les sorties multiples des apprentis politiques à l’image de Doudou Wade, Omar Sarr ou encore Modou Diagne Fada s’expliquent tout simplement parce qu’ils aiment se regarder à la télévision, s’écouter sur les ondes des radios et se lire dans les journaux.
Bref, ils ne font que d’amuser la galerie en jouant à la comédie politique comme dans 100% Jamel Deblouze dans les salles parisiennes.
Le Parti démocratique sénégalais n’est ni la propriété de Doudou Wade encore moins d’Omar Sarr.
Le Pds appartient à ceux qui croient à sa vision et non à des marionnettes qui passent tout leur temps à parler au lieu de descendre à leur base pour travailler.
Ils ne sont pas les seuls à pouvoir diriger, il y a d’autres plus crédibles, plus populaires et plus pertinents qu’eux.
Ils doivent savoir raison garder et arrêter de narguer les sénégalais dans leur politique mensongère.
Car, les locales de 2014 doit être un tournant décisif pour eux. Ces échéances détermineront leur poids politique sur l’échiquier PDS et non en politique.
C’est facile de se croire d’être au-dessus de la mêlée alors qu’en réalité même un vendeur de « thiaf » du coin de la rue réfléchit mieux que soi.
Doudou Wade, Omar Sarr, Modou Diagne Fada et Cie doivent comprendre que la politique bananière ne passera plus au Sénégal.
Et que le Pds ne sera pas la propriété d’une bande de copain, mais de vrais militants.
Souleymane Ndéné Ndiaye à raison, il a dit tout haut ce que les autres pensent tout bas.
Comme on le dit, la vérité fait mal et c’est pourquoi certains ont jugé nécessaire de le répondre à travers des mensonges.
A suivre……

5.Posté par ziz le 11/05/2013 22:38 | Alerter
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Nous nous ne sommes pas dupes et nous comprenons que même si Macky sall est incapable de satisfaire les besoins il en a la très bonne intention .en temps que croyant seule l'intention prime sur tout .

6.Posté par ziz le 11/05/2013 22:38 | Alerter
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Nous nous ne sommes pas dupes et nous comprenons que même si Macky sall est incapable de satisfaire les besoins il en a la très bonne intention .en temps que croyant seule l'intention prime sur tout .

7.Posté par eclaireur le 11/05/2013 22:53 | Alerter
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Le défaut de la démocratie sénégalaise c'est de ne pas interdire la transhumance politique elle pourrit le système. Lorsqu’une nous sanctionnons un régime, comme le PDS, la majeurs partie des lieutenants migrent vers le PARTI au pouvoir avec des postes à désassemblé ou de direction, or ces personnes n'ont pas changé de caractères, de comportement, ils sont ceux qu'ils sont. Ce phénomène ternie et modifie le choix des sénégalais, qui en élisant un nouveau président voulaient mettre hors de nuire tous les anciens tenants du pouvoir.

Si Macki a fait une grosse erreurs, cet bien c'est celle de vouloir recruter les anciens du PDS pendant se massifier de cette façon.
Je propose d'interdire la transhumance dans la loi électorale.

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