Après sa condamnation à deux ans de prison pour viol, le journaliste s'était pourvu en cassation et le dossier enrôlé à la chambre criminelle de la Cour de cassation. Dans un tel cas de figure, renseigne le journal, il ne pouvait bénéficier de la liberté conditionnelle. Mais, le 17 décembre dernier, Cheikh Yérim a produit une lettre de désistement. Le 02 janvier, la Cour suprême lui en a donné acte. Ce qui fait que la procédure enclenchée devant la Cour Suprême a été annulée. Il a pu ainsi bénéficier d'une liberté conditionnelle.