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Les terribles révélations de Cheikh Bamba Diéye

Certains l’appellent « le député du peuple » à cause de ses sorties remarquées à l’Assemblé. D’autre, « l’homme qui a repris Saint-Louis », ville dont il a arraché la Mairie à la coalition Sopi et pour laquelle il nourrit de grandes ambitions. Lui, le ton mesuré, le discours structuré,donne l’impression d’être assis sur les enseignements de son défunt père, également son « ami », et sur la défense des intérêts de ce peuple dont il se réclame tant. Rien ne semble pouvoir l’ébranler .Il est l’invité de « First class ».


Rédigé par leral.net le Lundi 6 Juillet 2009 à 00:22 | | 9 commentaire(s)|

Les terribles révélations de Cheikh Bamba Diéye
Qui est Cheikh Bamba Dieye ?

Cheikh Bamba DIEYE est un jeune sénégalais né à Saint-Louis le 12 novembre 1965. J’ai fait mes premières humanités là-bas où j’ai fréquenté l’école coranique puis l’école française. Ensuite mon père, pour les besoins de l’administration territoriale, a été affecté à Thiès puis à Gossas. Ensuite, je suis revenu poursuivre mon cursus scolaire à Saint louis au lycée technique André Peytavin pour revenir a Dakar et enfin m’exiler en Algérie où j’ai suivi des études d’ingénierie en travaux publics. Je suis revenu travailler avec mon père qui était architecte - paysagiste de métier. Cela m’a permis d’assurer la direction technique de la société qu’il avait crée et, aujourd’hui, je suis devenu le manager général de deux sociétés. Mon entrée en politique date de 199O, date de la démission de Cheikh Habiboulaye du PS

Quel type d’enfance avez-vous eu puisque vous êtes né à « Santhiaba », quartier populaire par excellence ?

Toute notre vie était bercée par l’école coranique et l’école française, un mouvement cyclique. Et puis comme tout jeune de « Santhiaba », nous nous regroupions pour pratiquer toutes les activités de jeunesse et surtout fréquenter le fleuve et la mer. C’est un environnement d’une sociabilité extrême où les gens étaient mêlés et la famille au sens le plus large du terme. Et les grands parents jouaient un rôle très important, et sous ce rapport la, je suis très redevable a ma grand-mère qui a également veillé à mon éducation .C’est toute cette joie qui a caractérisé mon enfance avec, bien entendu quelques îlots de tristesse.

On connaît votre cursus, et savons que vous êtes ingénieur des travaux publics. Mais est ce dés votre retour d’Algérie où vous étudiez que vous avez travaillé avec votre père ?

Absolument et je dois ajouter que tout autant qu’il était mon père, il était mon maître spirituel et surtout … mon ami. Son ouverture d’esprit permettait cela et nous étions vraiment des amis très proches. Cela m’a été très profitable et je vous assure qu’on n’avait pas besoin de discuter pour se comprendre .Nous avions par son génie et sa facilité à éduquer réussi à avoir les mêmes réactions et je ne le remercierai jamais assez pour son rôle de père, certes mais surtout pour avoir accepté de se rabaisser à mon niveau pour prendre en charge mes déficits et mon incapacité dans beaucoup de domaines et joué le jeu pour que je tente de m’élever à son niveau.

Qu’est ce qui vous a marqué chez lui ?

Son amour pour la vérité était obsessionnel et il a su nous l’inculquer. De cela, je ne le remercierai jamais assez, Mais vous n’imaginerez jamais le niveau de rectitude qu’il avait atteint par rapport aux valeurs qu’il s’était données comme mode et comme cadre d’évolution. Cela lui valait d’ailleurs souvent d’être à couteaux tirés avec les parents à cause de sa trop grande droiture et franchise.

De quand date votre entrée en politique ?

La relation qui me liait à mon père a fait que sa cause est tout de suite devenue la mienne. Donc, mon entrée en politique coïncide avec la sienne. C’était dans la période fin 85 et début 90. Il avait donné une nouvelle orientation à sa vie qui était aussi le prolongement de ses actes. Donc mon action auprès de cheikh ce n’était pas pour servir la politique en tant que telle au début, mais pour servir un ami, un compagnon qui se trouvait aussi être mon père. J’avais observé au cours de nos nombreuses années de compagnonnage qu’il n’était jamais entré dans une chose futile et sans intérêt. Donc je pouvais le suivre les yeux fermés Quand il a voulu monter son parti, je m’étais occupé de ce dossier et j’avais fait toutes les démarches pour que l’FSDBJ voie le jour. C’était en avril- mai 96.et j’en suis dés lors devenu le porte parole

Et après sa mort qu’est ce qui s’est passé ?

Sa mort a été très douloureusement ressentie même s’il ne faut pas perdre de vue que c’était mon maître spirituel et m’avait toujours préparé à cette séparation inéluctable.
Nous étions sur la route de Saint-Louis et il y a eu cet accident malheureux Et pourtant, en apparence, il semblait le moins atteint car moi j’avais de très graves blessures et on pensait que c’était moi qui allais en mourir. Mais c’est lorsque je sortais du coma que lui a sombré. Nous sommes, cependant, des disciples de Cheikh Ahmadou Bamba et nous ’avons pris cette épreuve avec une grande élévation. Je voudrais encore remercier tous mes proches, amis et toute la classe politique qui, en ces moments là, nous ont témoigné un grand dévouement, du Président de la République au dernier des sénégalais et je me souviens encore avec émotion de ces moments de solidarité et d’humanité.

Est-ce que vous avez pris tout de suite la direction du parti ?

Non… Tout de suite après j’ai du me rendre à l’hôpital pour encore d’autre analyse parce que je ne me sentais pas du tout bien. Il ya eu une période de latence ; nous avons décidé d’organiser en bonne et due forme un congrès à l’ENDS le 26 juin 2002 et c’est par la suite qu’il a été décidé que je deviendrai le secrétaire général. Il a fallu attendre février 2003 à l’ouverture de la permanence du parti pour travailler politiquement. L’année 2002 a été une année très difficile.
Vous étiez donc S.G mais il n’y avait pas d’élections à ce moment?

Il y a eu ces législatives en 2005 qui avait été reportées et qui nous ont laissés dans l’attente. Nous voulions établir un programme parce qu’avec la disparition de Cheikh Bamba Dièye très peu de gens s’étaient intéressé au parti et à ce niveau, sa disparition a crée un effritement de la base du parti. Certains ont pensé qu’il nous était impossible de reconstruire le parti et j’ai du aller faire le pied de grue chez certains militants pour leur faire entendre raison, remotiver les gens à réorganiser une formation politique, leur faire savoir que c’était encore possible et qu’on avait encore une chance d’exister. Nous nous sommes donc reprèparés, les gens ont pensé que nous n’avions plus d’argent, plus de notoriété mais ils oubliaient que notre force résidait, en fait, dans notre discours politique. Et nous nous étions préparés pour 2005 pour créer un déclic dans la tête des sénégalais. Nous nous sommes encore réorganisés pour 2007 mais le président de la république à séparé les législatives et les présidentielles pour des raisons que nous savons tous et pour brouiller les zones d’interférence.. Nous avions pensé que ces élections présidentielles malgré la mise qui était extrêmement élevée pouvaient être un outil de promotion, de valorisation mais aussi un outil de marketing politique et c’est cela qui a justifié notre désir de participer à ces élections. Et nous avons accepté d’en payer le prix en terme de dépenses financières.

Nous avions tous un point en commun quelque soit l’importance du candidat, ce sont les 5 minutes de télévision et Dieu nous a permis dés le premier discours de marquer la différence. je vous indiquerai, pour l’anecdote que le premier discours que nous avions présenté lors des élections pour 5minutes avait été préparé pendant des semaines pour simplement dire combien nous étions accrochés à la rigueur qui devait caractériser notre campagne. Chaque mot avait été pesé, jugé, ausculté, le ton et la manière dont on devait prononcer le discours aussi bien en wolof qu’en le français, tout avait été minutieusement préparé.

Et les objectifs ont été atteints puisque vous avez vous avez capitalisé des votes…

Absolument… pour pouvoir l’utiliser comme élément d’avance par rapport à l’objectif que nous avions de reconquérir notre place à l’assemblée nationale. Nous avions eu 37000 voix et n’eut été quelques petits problèmes, nous aurions pu avoir deux députés à l’Assemblée nationale. Cela dit, notre trajectoire doit rassurer tous les sénégalais parce que le fait de ne pas avoir de l’argent n’est pas un handicap en soi. Le handicap serait cette incapacité de ne pas pouvoir poser Ses objectifs et de ne pas pouvoir les adapter aux moyens dont nous disposons.

Après les législatives, il ya eu les locales, l’image que les gens retiennent c’est l’homme qui a battu les candidats du parti au pouvoir à Saint Louis( Rires)… comme vous le savez Saint Louis est notre cœur. Mes liens avec cette ville, je ne peux même pas les qualifier. Je ne vis et respire que pour ma ville et cela ne date pas d’aujourd’hui. Nous étions entrés dans la danse politique pour sauver la ville de saint louis Le FSDBJ n’était pas une entreprise politique en tant que telle. C’était plutôt une entreprise citoyenne et notre réflexion a conclu que cheikh Bamba Diéye, natif de saint louis ne puisse pas se présenter aux locales poserait beaucoup de problèmes et d’incompréhension. Naturellement, nous avions proclamé partout que nous étions intéressés par la ville de saint louis et son devenir, nous avons travaillé avec la même méthode que pendant les élections précédentes, avons ciblé les besoins des Saint Louisiens et leurs demandes et c’est fort de toute cette expérience que nous sommes venus sur place travailler avec les éléments de Benno Siggil Sénégal, ce qui n’était pas facile au départ. Mais nous nous sommes, au finish, retrouvés dans une liste commune Nous avons bataillé fermement, durement pour gagner chaque parcelle de Saint louis car nous avions dit que la bataille ne se ferait pas maison par maison mais chambre par chambre (rires)… nous sommes entrés dans les chambres et avons mis chacun devant ses responsabilités. Nous n’avons pris que des engagements que nous nous sentions capables de tenir Je crois que cela a ajouté au fait qu’ils nous ont vu à l’Assemblée prendre en charge les préoccupations des gens leur a donné confiance, Elles se sont dits que s’ils avaient un de leur fils capable de prendre en charge avec autant de finesse, d’intelligence les préoccupations du peuple, et bien « charité bien ordonnée commence par soi même ». et ils ont voulu me donner cette opportunité de sauver saint louis et prouver au reste du Sénégal que ce n’est pas seulement une théorie mais une pratique des méthodes biens huilées dont nous sommes porteurs aujourd’hui, il fallait lui accorder leur confiance.

Pensiez vous réellement gagner?

En fait, dés le début de la campagne je savais qu’on allait gagner. Je l’ai senti dés le début de la campagne. Il y avait un vécu, les populations avaient ras le bol des situations qu’elles vivaient avec la Coalition Sopi. Je peux même dire que n’importe quel candidat qui se serait présenté pouvait l’emporter sur la coalition. Notre succès était en grande partie du à une parfaite communication avec Vieux GAYE qui a su développer un activisme extrêmement important mais aussi avec la présence de communicateur hors pair tel maître Alioune Badara CISSE, des éléments du parti socialiste, de l’AFP, de Madame Aida MBAYE et de la LDMPT, des gens qui étaient rompus à la pratique politique et avec une grande expérience dans le domaine. C’est tout cela qui a fait que je n’étais pas surpris de notre victoire. Bien entendu il y avait, après, un grand sentiment de satisfaction du travail accompli mais immédiatement après c’était surtout beaucoup d’humilité par rapport à l’immensité du travail qui nous attend.

Qu’est que vous avez trouvé à la mairie? D’aucuns parlent d’un déficit de 350 millions FCFA de dettes ?

Absolument vous avez bien fait de le souligner parce que j’ai pris mes sources au niveau du Trésor. Dans les papiers de passation de pouvoir, l’ancienne équipe a estimé leurs dettes à 230 millions, ce que je trouve insuffisant parce qu’il y a des chapitres que je peux ajouter. Ce que le trésor m’a donné à l’époque comme estimatif c’était 350 millions de FCA et même lors du premier conseil municipal j’ai donné les deux chiffres pour dire voila c’est ce qu’il ya et je communiquerai sur le définitif mais croyez moi c’est au delà de 350 millions de FCA. L’existant c’est une mairie pléthorique, où on a recruté tous azimuts, des gens qui n’avaient pas le profil du poste et qui aujourd’hui sont à à la mairie depuis des années. La question est aujourd’hui de savoir si il est sage ou salutaire de les faire partir ? Je dis NON catégoriquement…parce que nous sommes dans un pays extrêmement pauvre et que les gens vivent dans de telles conditions, que si tu les libères, cela veut dire que tu les laisses totalement démunis .Alors je préfère faire le pari avec ces gens que nous allons non seulement accentuer leur niveau de formation, mais aussi leur ouvrir des opportunités et leurs donner les possibilités de s’améliorer, afin de relever leur niveau et avoir des aptitudes pour des postes où ils pourront exprimer virtuellement leur talent nouvellement acquis au profit de leur collectivité locale.

L’autre aspect est qu’il ya un redéploiement nécessaire du personnel qu’il faudra faire pour permettre aux activités de la mairie d’être efficientes. Nous avons épongé toutes les dettes maintenant pour pouvoir nous atteler à d’autres chantiers plus importants. La mairie n’avait pas de téléphone, d’internet, avait des arriérés vis-à-vis de l’ADM (Agence de Développement Municipal), la Sonatel, la SDE et nous sommes en train de nous acquitter de tout cela. Le téléphone et l’internet sont en train de revenir à la Mairie de Saint-Louis. Je veux rassurer tout le monde que c’est étape par étape nous allons régler tout cela. Nous avons passé des accords avec l’université de saint louis avec les impôts pour revoir l’assiette fiscal, relever le niveau de notre perception….

Votre ambition pour la mairie de saint louis ?

D’abord faire de saint louis la ville la plus belle du Sénégal, la plus propre, la mieux gérée et la plus structurée. Nous avons des atouts immenses, nous sommes la plus ancienne des cités du Sénégal. Nous fêtons cette année nos 450 ans et à ce niveau nous devons mériter notre standing. La ville de Saint louis a été classée patrimoine mondial de l’humanité, c’est un acte incommensurable mais malheureusement aujourd’hui du fait du laxisme de certains, au nombre desquels des hautes autorités de ce pays, qui ont fait des constructions anarchiques, Saint louis risque d’être déclassifiée.

Et perdre cette reconnaissance.. Je voudrais attirer l’ensemble de la collectivité nationale que Saint louis n’appartient même plus au sénégalais mais à l’ensemble de l’humanité car reconnue comme telle. Est-il normal que cette ville puis courir le risque d’être déclassifiée. Par la faute, je le répète, d’autorités qui ont construit dans des conditions qui sont en porta faux avec le PNSB qui est pourtant un décret présidentiel qui définit le cadre dans lequel on doit construire dans la ville. Je n’hésiterai pas personnellement à les nommer, le moment venu. Je pense que l’on ne peut pas siéger au Gouvernement, avoir des fonctions dans la haute administration et être en porta faux avec le décret présidentiel.

Quel regard portez-vous sur la situation politique actuelle au Sénégal ?

Tout le monde parle de dialogue politique aujourd’hui, mais il reste quand même beaucoup d’efforts à faire. On ne sent pas encore de la part de l’exécutif des actions qui vont véritablement dans le sens d’améliorer la situation actuelle, dramatique de notre économie. Chaque jour, c’est des dépenses inutiles, qui sont prioritaires, des dépenses qui ne vont pas dans le sens des besoins des sénégalais. Nous sommes aussi dans une situation où on ne nous donne pas les bonnes informations sur l’ANOCI, les problèmes fonciers, etc , ce qui veut dire que l’on immobilise à tort des ressources humaines, de l’argent sur une durée plus longue que la durée prévue. Ce que nous déplorons encore c’est les ratés dans l’élaboration de certains chantiers et il ya du gâchis. Des problèmes d’études se posent aussi. Ce que nous devons évaluer, par exemple, ce sont ces hôtels qui devaient être prêts pour l’OCI et qui ne le sont pas. Ce sont ces travaux effectués sans études rigoureuses, et que l’on ne nous dise pas que c’est du bon travail. Nous sommes en république et l’argent qui doit être dépensé n’appartient à personne. L’autre aspect politique du problème est le dialogue. Personne n’est opposé au dialogue mais il ya des préalables pour tout dialogue. Moi je pense qu’il appartient au président de la république de donner des gages pour crédibiliser le dialogue. Nous sommes dans une situation où l’assemblée nationale ne répond plus à la composition politique de ce pays. Si le président veut donner du crédit qu’il prétend à l’opposition, il doit dissoudre l’Assemblée nationale afin de nous permettre d’avoir une Assemblée nationale en phase avec la composition politique réelle. Donc, si le Président de la République décidait, compte tenu de ce que la constitution lui donne, de dissoudre l’Assemblée, de convoquer les législatives alors son appel au dialogue et son retour à l’orthodoxie en matière d’utilisation de nos ressources sera crédible. Il n’y aurait aucun sénégalais qui refuserait de lui répondre parce que de mon point de vue, l’Assemblée composée majoritairement de l’opposition pourra dissoudre le Sénat et récupérer les milliards qui sont dépensés là-bas, organiser les dépenses publiques, revoir la taille du gouvernement, apaiser le climat social et ensemble travailler pour l’émergence de notre pays Et cela n’est point sorcier. Il n’est pas normal que nous soyons un pays pauvre et que nous ayons des goûts de luxe. Le problème que nous avons aujourd’hui est un problème de rectification de « l’homosenegalensis » il faudrait que l’on se départisse de nos « senegalaiseries » et prenions les habits de citoyen du monde en phase avec les objectifs de développement et cela n’est possible que par le travail

Cheick Bamba Dièye président ?

Non ? Je ne vis pas pour être président je vis quotidiennement et me contente de gérer et le soir que je puisse être en conformité avec mes convictions de la journée.. Mes deux fonctions, celle a l’Assemblée et a la Mairie de Saint Louis m’englobent totalement mais ne m « empêchent d’être ouvert sur ce qui va se passe dans le pays et je suis habilité comme tout les autres a aussi avoir des dispositions et des attitudes concernant le pays. Maintenant d’ici 2012 le chemin est encore long on verra au fil du temps ce qu’en pensent les sénégalais et mon parti et si j’aurai l’aptitude a gérer cela

Votre dernier mot ?

D’abord dire aux Saint Louisiens que nous allons fêter nos 450 ans en l’étalant sur deux ans et je lance un appel a la diaspora pour que nous puissions nous retrouver pour faire de notre ville une référence .Et nous avons d’ambitieux programme pour eux. Et a l’endroit des sénégalais, je leur dirai que chaque sénégalais prennent la responsabilité de s’engager personnellement a l’instar des sénégalais,et a l’exemple d’Obama, de choisir l’homme ou la femme qui devrait présider a l’avenir de notre pays C’est un choix individuel et qu’ensemble ils travaillent pour lui donner les moyens financiers et humains pour réussir a sa mission et mesurer de ce fait l’engagement politique et citoyen de chacun.

Alio Informatique


1.Posté par modou le 06/07/2009 04:50 | Alerter
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ki mo digne pour etre le president de tout les senegalais

2.Posté par Leral le 06/07/2009 12:53 | Alerter
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Voilà un politicien au moins qui n'a pas l'insulte à la bouche et qui a des arguments solides. Mais Bamba Dieye, saint-louis fête ses 350 ans et non 450 ans comme vous le dite. Et n'oubliez pas de mentionner le nom de Masseck au moins car le projet des 350 ans de ndar, c'est lui qui l'a initié aprés un voyage au canada. Mais cas même vous êtes un bon maire car vous savez parler avec les gens et vos idées sont nobles et louables

3.Posté par SALIOU DIENG TAMBACOUNDA le 06/07/2009 12:56 | Alerter
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Moi je suis de l'URD mon parti, mais je suis un fan's de Mr le maire Cheikh Bamba Diéye de par sa jeunesse,son fran parler,de sa vision des problémes des sénégalais,de son discourt et franchement il fait parti de la reléve de demain et il faut compter sur lui.Je lui voue beaucoups de respects et d'admiration et de sympatis.Cela ne veut pas dire que je veux aller dans son parti car je suis le premier militant deL 'URD et de son SG Djibo Leyti Ka par conviction.
Le discourt de cheikh bamba diéye est trés écouté et suivi par la jeunesse et des adultes et musulmans aussi et la différence c'est que lui quand il arle c'est comme s'il posait le probléme de chaque sénégalais on se retrouve dans son discourt et ses positions et moi honnétement j'aurais souhaiter que les députés de l'urd aient le méme ton,le méme discourt contrairement à cet alliance avec les libéraux qui ne fait que l'affaire de Abdoulaye Wade de sa famille et de ceux qui sont dans le gouvernement. mais pas pour les sénégalais.Et l'assemblée nationale doit étre dissoute parceque illégitime élu que par moins de 30% des sénégalais dans des conditions anti démocratiques et comme que l'opposition n'allait pas prendre part,le président wade a financé des gens pour qu'ils créent des partis politiques reconnus en moins de 24 heures avec de plus 50 millions pour chacun.L'opposition représentative a été écarter par des pratiques aussi connus politiquement.Le SENA est illégitime comment le président peut il choisir les 95% des sénateurs et vouloir nous dire que c'est une institution?Nous ne sommes pas dans une monarchie et Cheikh Bamba diéye est vraiment le député du PEUPLE,le vrai député du PEUPLE et je l'encourage vivement et je le soutiendrais toujours dans ses idées et son engagement pour la défence des intérets des sénégalais

4.Posté par SIMPETING le 06/07/2009 13:43 | Alerter
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salut;voila un homme digne respectable;et qui respecte les senegalais a travers ses prises de position par rapport aux nombreuses questions politiques ;économiques;sociales etc...
Il faut que les senegalais prennent leurs responbilites et sachent que ce pays a besoin de lui pour le redressement
En tout cas l'alternance generationnelle se fera et CHEIKH BAMBA DIEYE sera incontournable
FSDBJ sakaw sa kanam;2012 présidence laniou wakh

5.Posté par Militant le 06/07/2009 19:02 | Alerter
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Son « starisme » et ses references à Obama devraient nous rappeler l’adage américain « Talk is cheap ». Ou est-il quand les gens sont au front et dans les tranchées ? Devons-nous oublié son passage illustre dans la CAP21, son appartenance au groupe parlementaire de Fada/War-Wi ? Son retournement de veste pour rejoindre les non-inscrits n’est intervenu qu’à la dernière minute durant la dernière phase allant vers les fameuses locales ? Cheikh OBAMA Dieye ? Vous parlez….

6.Posté par .I . OUATTARA SIMPATISANT le 07/07/2009 11:05 | Alerter
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Je dirais tout simplement voila un homme integre , avec une vision de bonne foie et digne d'un sénégalais .

7.Posté par aida le 07/07/2009 16:39 | Alerter
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mon cher Saliou ,on ne peut vraiment pas te comprendre.Comment tu peux etre un militant convaincu de L'URD et epouser la ligne politique de Bamba DIEYE.Entre Djibo et lui il faut choisir.la discipline de parti l'exige.Mefier vous des dires et des declarations Bamba DIEYE est plein de contradictions,voir le commentaire de Militant un peu plus haut.En sus ne disait il pas avec l'euphorie de sa victoire qu' est candidat en2012 derriere personne pour ensuite nuancer dans ce présent entretien. N'allez pas vite en besogne et evitons les jugements hatifs. A y voir de pret tu es un de ses militants masqués

8.Posté par boulene gnou sonal le 07/07/2009 19:05 | Alerter
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Tiens le second natif de Saint Louis qui me marque dans cette même journée, en bien évidemment : Mr Cheikh Bamba Dieye et Mme Ndoumbé Niang déléguée du personnel de l'hôtel indépendance!

En fait c'est un peu ça le Sénégal des ressources humaines de qualité mais ........

9.Posté par madiop le 08/07/2009 11:10 | Alerter
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Mr le president cheikh bamba dieye , nous vous remercions de votre engagement pour saint louis et pour le senegal et nous sommes convaincus qu'avec vous , saint louis rattrapera son retard de 25 ans cause par les deux regimes

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