Au cours d’une rencontre avec presse ce mercredi, ils s’en sont pris à la direction d’Expresso qu’ils accusent de favoriser le personnel soudanais. Les travailleurs indiquent que depuis l’annonce de la création d’un syndicat, les soucis ont commencé.
« La création de ce syndicat a rendu folle de colère notre direction générale. Quand elle en a été informée, sa première réponse a été le licenciement de deux de nos camarades ; aujourd’hui, douze personnes ont été licenciées injustement. Mais, nous avons décidé de nous battre », a informé, Fatou Camara, employée de Expresso.
Pour cette bataille, les travailleurs des postes et télécoms comptent saisir la voie légale. « Nous comptons déposer une préavis de grève, mettre la pression sur les dirigeants d’Expresso et organiser une grande marche avec tous les défenseurs des travailleurs », a déclaré Mme Diafouné.
Ces travailleurs peuvent compter sur le soutien de la parlementaire Adji Mergane Kanouté, qui compte en parler à l’Assemblée nationale. « Je m’en vais donc à l’Assemblée saisir la Commission des lois, du travail et des droits humains ; je saisirai également la Commission de la communication et de la culture pour que ce problème soit résolus et que les Sénégalais soient rétablis dans leurs droits », a-t-elle promis.
Leral.net
« La création de ce syndicat a rendu folle de colère notre direction générale. Quand elle en a été informée, sa première réponse a été le licenciement de deux de nos camarades ; aujourd’hui, douze personnes ont été licenciées injustement. Mais, nous avons décidé de nous battre », a informé, Fatou Camara, employée de Expresso.
Pour cette bataille, les travailleurs des postes et télécoms comptent saisir la voie légale. « Nous comptons déposer une préavis de grève, mettre la pression sur les dirigeants d’Expresso et organiser une grande marche avec tous les défenseurs des travailleurs », a déclaré Mme Diafouné.
Ces travailleurs peuvent compter sur le soutien de la parlementaire Adji Mergane Kanouté, qui compte en parler à l’Assemblée nationale. « Je m’en vais donc à l’Assemblée saisir la Commission des lois, du travail et des droits humains ; je saisirai également la Commission de la communication et de la culture pour que ce problème soit résolus et que les Sénégalais soient rétablis dans leurs droits », a-t-elle promis.
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