Selon Amara Traoré, les gens qui ont avancé des chiffres dans la presse sur son salaire l’on fait juste pour le mettre en mal avec la population : « Je n’ai jamais demandé 12 millions de salaire plus 60 millions de prime de signature. Les gens qui ont donné ces chiffres à la presse doivent aller jusqu’au bout. Ils cherchent à me mettre en mal avec le peuple », confie le sélectionneur national. Avant de préciser : « Dans un contrat, il y a des termes technique, on peut dire : Je gagne 100 mille, mais vous me faites une avance sur salaire de 40 mille », cela revient à la même chose », explique –t-il.
Toutefois, dans cet entretien parcouru par leral, le sélectionneur nationale estime qu’il n’est pas un mercenaire : « je ne suis pas un mercenaire, je m’inscris dans la durée pour la reconstruction de notre football. Et même dans une durée, il y a toujours des objectifs. Il ya deux ans, l’objectif était la qualification. On l’a atteint.
Sur un éventuel contrat avec comme objectif « gagner la Can 2012 » Amara Traoré est formel : « C’est prématuré d’en discuter. Je n’ai jamais vu un entraineur qui signe pour dire « je vais gagner la Can ». Mais je suis déterminer, engager et prêt à continuer le contrat que j’ai signé avec mon pays. » Pour clore le débat Amara souligne « j’ai toute la latitude de partir mais, je n’ose pas, parce que je ne m’appartiens plus. Ce débat ne s’impose pas pour notre pays, parce que dans 15 jours je serais en fin de contrat. Je ne partirai pas tant qu’on n’ira pas jusqu’au bout de cette affaire. Je refuse même de discuter avec d’autres personnes. Je prépare la Can comme si c’est moi qui devais y être.
Toutefois, dans cet entretien parcouru par leral, le sélectionneur nationale estime qu’il n’est pas un mercenaire : « je ne suis pas un mercenaire, je m’inscris dans la durée pour la reconstruction de notre football. Et même dans une durée, il y a toujours des objectifs. Il ya deux ans, l’objectif était la qualification. On l’a atteint.
Sur un éventuel contrat avec comme objectif « gagner la Can 2012 » Amara Traoré est formel : « C’est prématuré d’en discuter. Je n’ai jamais vu un entraineur qui signe pour dire « je vais gagner la Can ». Mais je suis déterminer, engager et prêt à continuer le contrat que j’ai signé avec mon pays. » Pour clore le débat Amara souligne « j’ai toute la latitude de partir mais, je n’ose pas, parce que je ne m’appartiens plus. Ce débat ne s’impose pas pour notre pays, parce que dans 15 jours je serais en fin de contrat. Je ne partirai pas tant qu’on n’ira pas jusqu’au bout de cette affaire. Je refuse même de discuter avec d’autres personnes. Je prépare la Can comme si c’est moi qui devais y être.