Sur la crise universitaire
Je commencerai par m’incliner devant la mémoire du défunt Bassirou FAYE et prier pour que le bon Dieu l’accueille dans son paradis.
Cette crise est regrettable mais elle était aussi inévitable car l’université était devenue un volcan explosif. Le problème fondamental de l’université c’est son surpeuplement. Cette situation a engendré des problèmes d’orientations des nouveaux bacheliers, d’inscriptions des étudiants, d’hébergement, de restauration etc. Si avec tous ces problèmes, on n’y ajoute le retard permanent dans le paiement des bourses, vous comprendrez qu’il fallait un jour ou l’autre s’attendre à cette situation.
Toutefois, je salue la manière dont le président de la République a géré cette crise en appelant tous les acteurs de l’université à des concertations pour bâtir avec rigueur et constance une université de la République, mais aussi en donnant des instructions fermes à son gouvernement pour que la lumière soit faite sur la mort de l’étudiant Bassirou FAYE. Donc, je pense que le président Macky devait être jugé sur la manière dont il a géré la crise universitaire et non sur les soubassements de cette crise, qui remontent des années 60.
Sur la réduction du mandat du Président Macky SALL
Il est vrai que le Président Macky SALL, a pris l’engagement ferme de réduire son mandat de 7 à 5 ans. Certains pensent que quel que soit le coût, il faut que le président respecte ses engagements. Mais pour, les priorités sont ailleurs. Ma conviction est qu’un pays comme le Sénégal ou tout est urgence, ne peut pas se payer le luxe d’organiser un référendum dans le seul but de réduire un mandat présidentiel.
Hier, le slogan de l’opposition et de la société civile était « touche pas à ma constitution » et en l’espace de deux ans, on revient pour dire « touche à ma constitution », alors que des gens se sont battus jusqu’à donner leur vie pour le respect des dispositions constitutionnelles. C’est n’est pas sérieux et ca n’honore pas notre démocratie.
En tout état de cause s’il y’a référendum, le comité de soutien à l’action du Président Macky SALL que je dirige battrai campagne contre cette volonté du Chef de l’Etat de réduire son mandat car la volonté d’une personne même fut-il président de la République ne peut en aucun cas prévaloir sur la volonté populaire.
Sur les attaques d’idrissa SECK et du PDS
Au Sénégal, on a tout sauf une opposition républicaine. Je peux comprendre qu’on ait une ambition présidentielle, mais aller jusqu’à se réjouir du malheur des autres, ca devient de la méchanceté et de l’hypocrisie et je pense que idrissa SECK l’est. Il est obsédé par le pouvoir mais il faut qu’il sache qu’on ne nait pas président, on le devient.
Au moment ou tous les pays se mobilisent pour échapper au virus Ebola, lui idrissa seck, annonce la présence du virus au Sénégal dans le seul but d’instaurer la panique dans le pays afin de profiter de cette situation.
D’ailleurs, je me demande comment un intellectuel de la dimension de Abdourahmane DIOUF peut se laisser berner par idrissa SECK et être membre d’un parti caserne comme le Rewmi.
Le PDS a aussi essayé de profiter de la crise universitaire pour déstabiliser le régime du président Macky. Heureusement, il y’avait un Etat fort qui a fait à toutes les manœuvres de l’opposition.
Maintenant, je pense que le gouvernement doit reprendre sa marche. Il doit le faire en étant attentif aux demandes du pays. Le gouvernement doit être uni dans l’action et être à l’écoute des populations.
Sur la coalition Benno Bokk Yakaar
Par rapport à la coalition Benno Bokk Yakaar, je pense qu’il est temps que notre parti l’APR prenne ses responsabilités. Cette coalition n’a plus sa raison d’être car elle a atteint ses limites. Toutefois, le président Macky SALL doit discuter avec tous les leaders de parti qui composent cette coalition en vue de leur faire comprendre qu’il a besoin d’une entité nouvelle pour le défendre, défendre sa politique, vulgariser ses actions mais surtout pour soutenir sa candidature à la prochaine élection présidentielle. Pour moi cette nouvelle entité c’est l’Alliance pour la Majorité Présidentielle qui doit fédérer les mouvements et structures politiques épousant la vision du Président Macky SALL.
L’APR est en coalition avec Tanor DIENG et non avec le Parti Socialiste. C’est pourquoi le Président Macky SALL, lui voue beaucoup de respect et d’admiration, mais dès l’instant que les plus grands responsables de ce parti ont fait savoir à tout le monde qu’ils présenteront un candidat à la prochaine élection présidentielle. Alors arrêtons de dire qu’ils ne jouent pas franc jeu avec l’APR, ils ont été clairs, la balle est alors dans notre camp et je pense que notre parti l’APR doit prendre ses responsabilités. Dire que sans la coalition Benno Bokk Yakaar, le président Macky SALL ne peut pas avoir un second mandat, est une hérésie.
Tous ceux qui ne sont pas prêt à cheminer avec nous, libérons-les. Il est évident qu’ils renforceront l’opposition mais on n’a pas à s’inquiéter de ça car si on ne fait pas face à une forte opposition, on fera face au peuple directement.
Nous faisons confiance au président Macky SALL et au Plan Sénégal Emergent.
Mamadou Ngom NIANG
Président du Comité de Soutien à l’Action du Président Macky SALL
Je commencerai par m’incliner devant la mémoire du défunt Bassirou FAYE et prier pour que le bon Dieu l’accueille dans son paradis.
Cette crise est regrettable mais elle était aussi inévitable car l’université était devenue un volcan explosif. Le problème fondamental de l’université c’est son surpeuplement. Cette situation a engendré des problèmes d’orientations des nouveaux bacheliers, d’inscriptions des étudiants, d’hébergement, de restauration etc. Si avec tous ces problèmes, on n’y ajoute le retard permanent dans le paiement des bourses, vous comprendrez qu’il fallait un jour ou l’autre s’attendre à cette situation.
Toutefois, je salue la manière dont le président de la République a géré cette crise en appelant tous les acteurs de l’université à des concertations pour bâtir avec rigueur et constance une université de la République, mais aussi en donnant des instructions fermes à son gouvernement pour que la lumière soit faite sur la mort de l’étudiant Bassirou FAYE. Donc, je pense que le président Macky devait être jugé sur la manière dont il a géré la crise universitaire et non sur les soubassements de cette crise, qui remontent des années 60.
Sur la réduction du mandat du Président Macky SALL
Il est vrai que le Président Macky SALL, a pris l’engagement ferme de réduire son mandat de 7 à 5 ans. Certains pensent que quel que soit le coût, il faut que le président respecte ses engagements. Mais pour, les priorités sont ailleurs. Ma conviction est qu’un pays comme le Sénégal ou tout est urgence, ne peut pas se payer le luxe d’organiser un référendum dans le seul but de réduire un mandat présidentiel.
Hier, le slogan de l’opposition et de la société civile était « touche pas à ma constitution » et en l’espace de deux ans, on revient pour dire « touche à ma constitution », alors que des gens se sont battus jusqu’à donner leur vie pour le respect des dispositions constitutionnelles. C’est n’est pas sérieux et ca n’honore pas notre démocratie.
En tout état de cause s’il y’a référendum, le comité de soutien à l’action du Président Macky SALL que je dirige battrai campagne contre cette volonté du Chef de l’Etat de réduire son mandat car la volonté d’une personne même fut-il président de la République ne peut en aucun cas prévaloir sur la volonté populaire.
Sur les attaques d’idrissa SECK et du PDS
Au Sénégal, on a tout sauf une opposition républicaine. Je peux comprendre qu’on ait une ambition présidentielle, mais aller jusqu’à se réjouir du malheur des autres, ca devient de la méchanceté et de l’hypocrisie et je pense que idrissa SECK l’est. Il est obsédé par le pouvoir mais il faut qu’il sache qu’on ne nait pas président, on le devient.
Au moment ou tous les pays se mobilisent pour échapper au virus Ebola, lui idrissa seck, annonce la présence du virus au Sénégal dans le seul but d’instaurer la panique dans le pays afin de profiter de cette situation.
D’ailleurs, je me demande comment un intellectuel de la dimension de Abdourahmane DIOUF peut se laisser berner par idrissa SECK et être membre d’un parti caserne comme le Rewmi.
Le PDS a aussi essayé de profiter de la crise universitaire pour déstabiliser le régime du président Macky. Heureusement, il y’avait un Etat fort qui a fait à toutes les manœuvres de l’opposition.
Maintenant, je pense que le gouvernement doit reprendre sa marche. Il doit le faire en étant attentif aux demandes du pays. Le gouvernement doit être uni dans l’action et être à l’écoute des populations.
Sur la coalition Benno Bokk Yakaar
Par rapport à la coalition Benno Bokk Yakaar, je pense qu’il est temps que notre parti l’APR prenne ses responsabilités. Cette coalition n’a plus sa raison d’être car elle a atteint ses limites. Toutefois, le président Macky SALL doit discuter avec tous les leaders de parti qui composent cette coalition en vue de leur faire comprendre qu’il a besoin d’une entité nouvelle pour le défendre, défendre sa politique, vulgariser ses actions mais surtout pour soutenir sa candidature à la prochaine élection présidentielle. Pour moi cette nouvelle entité c’est l’Alliance pour la Majorité Présidentielle qui doit fédérer les mouvements et structures politiques épousant la vision du Président Macky SALL.
L’APR est en coalition avec Tanor DIENG et non avec le Parti Socialiste. C’est pourquoi le Président Macky SALL, lui voue beaucoup de respect et d’admiration, mais dès l’instant que les plus grands responsables de ce parti ont fait savoir à tout le monde qu’ils présenteront un candidat à la prochaine élection présidentielle. Alors arrêtons de dire qu’ils ne jouent pas franc jeu avec l’APR, ils ont été clairs, la balle est alors dans notre camp et je pense que notre parti l’APR doit prendre ses responsabilités. Dire que sans la coalition Benno Bokk Yakaar, le président Macky SALL ne peut pas avoir un second mandat, est une hérésie.
Tous ceux qui ne sont pas prêt à cheminer avec nous, libérons-les. Il est évident qu’ils renforceront l’opposition mais on n’a pas à s’inquiéter de ça car si on ne fait pas face à une forte opposition, on fera face au peuple directement.
Nous faisons confiance au président Macky SALL et au Plan Sénégal Emergent.
Mamadou Ngom NIANG
Président du Comité de Soutien à l’Action du Président Macky SALL