La menace que font peser les groupes armés occupant le Nord du Mali depuis plusieurs mois sur la population et l’intégrité du Mali est indéniable. Leurs exactions sont connues et ont provoqué la fuite de centaine de milliers de personnes. Aussi, leur descente vers Mopti début janvier 2013 a provoqué de très fortes inquiétudes et a mené les actuelles autorités maliennes à demander une intervention militaire française.
L’intervention française semble avoir mis un coup d’arrêt à l’offensive vers le sud du pays de mouvements armés qui se revendiquent d’un islam radical et le soulagement des Maliens en ce moment est compréhensible.
Aujourd’hui, la France qui prétendait tout d’abord n’intervenir que pour bloquer les groupes armés au Nord, a revu ses buts de guerre et continue une phase offensive de sa guerre au Mali. Divers motifs militaires et politiques à l’opération Serval rendent cette opération critiquable.
L’intervention française semble avoir mis un coup d’arrêt à l’offensive vers le sud du pays de mouvements armés qui se revendiquent d’un islam radical et le soulagement des Maliens en ce moment est compréhensible.
Aujourd’hui, la France qui prétendait tout d’abord n’intervenir que pour bloquer les groupes armés au Nord, a revu ses buts de guerre et continue une phase offensive de sa guerre au Mali. Divers motifs militaires et politiques à l’opération Serval rendent cette opération critiquable.