La demi-finaliste du concours littéraire du plus jeune écrivain francophone en 2013, Fatoumata Diallo, a sorti « Lettre à papa : aveux et confidences », son tout premier roman édité par Edilivre. La cérémonie de présentation et de dédicace s'est déroulée au centre culturel régional de Tambacounda, ce samedi 12 août.
« Entre amertume, culpabilité et regrets, les souvenirs d'une jeune femme qui a perdu son père qu'elle croyait être jusque-là une personne vouée à l'immortalité. Entre aveux et confidences, ce livre retrace l'aventure de l'auteure qui est à la quête d'un remède miracle pour se guérir de la douleur de la perte de son père, qui était le socle fondamental de sa famille et qu'elle considérait en même temps comme étant l'homme de sa vie ».
A ce sujet, Mlle Diallo écrira : « Oui ! Tu es parti. Que me reste-t-il, maintenant à part cette solitude qui m'écrase de jour en jour ».
Le choix de publier en premier ce roman n'est pas fortuit, selon ses confidences : « J'ai voulu le publier en premier, pour entamer ma carrière d'écrivaine avec quelque chose de sentimental ».
« Lettre à papa : aveu et confidences » est l'occasion aussi pour Fatoumata Diallo, philosophe de formation et informaticienne de profession, de parler des difficultés que rencontrent les personnes malades de la drépanocytose dans leur prise en charge médicale au Sénégal.
Selon elle, souffrante de cette maladie, leur situation doit être améliorée pour leur faciliter l'accès aux soins.
Elle a également tenu à mettre en garde la jeune génération contre les réseaux sociaux. Car, elle est convaincue que « l'utilisation abusive de ces réseaux n'est qu'une perte de temps ».
En tout, ce sont 74 pages qui ont été écrites dans un langage accessible et un style simple pour que le roman puisse être facilement compris par la plus jeune génération.
« Entre amertume, culpabilité et regrets, les souvenirs d'une jeune femme qui a perdu son père qu'elle croyait être jusque-là une personne vouée à l'immortalité. Entre aveux et confidences, ce livre retrace l'aventure de l'auteure qui est à la quête d'un remède miracle pour se guérir de la douleur de la perte de son père, qui était le socle fondamental de sa famille et qu'elle considérait en même temps comme étant l'homme de sa vie ».
A ce sujet, Mlle Diallo écrira : « Oui ! Tu es parti. Que me reste-t-il, maintenant à part cette solitude qui m'écrase de jour en jour ».
Le choix de publier en premier ce roman n'est pas fortuit, selon ses confidences : « J'ai voulu le publier en premier, pour entamer ma carrière d'écrivaine avec quelque chose de sentimental ».
« Lettre à papa : aveu et confidences » est l'occasion aussi pour Fatoumata Diallo, philosophe de formation et informaticienne de profession, de parler des difficultés que rencontrent les personnes malades de la drépanocytose dans leur prise en charge médicale au Sénégal.
Selon elle, souffrante de cette maladie, leur situation doit être améliorée pour leur faciliter l'accès aux soins.
Elle a également tenu à mettre en garde la jeune génération contre les réseaux sociaux. Car, elle est convaincue que « l'utilisation abusive de ces réseaux n'est qu'une perte de temps ».
En tout, ce sont 74 pages qui ont été écrites dans un langage accessible et un style simple pour que le roman puisse être facilement compris par la plus jeune génération.