Dans un premier temps, la rumeur disait qu’elle était arrêtée pour espionnage. Mais cette accusation a été vite balayée d’un revers de la main, car étant trop légère et ne reposant sur aucun fondement crédible. Pour qui connaît Fatou Camara sait que ce genre d’activités était hors de ses préoccupations.
Fatou Camara, dite Fatou « Show », avait fait, il y a quelques mois, les belles pages du magazine Icône dans un portrait fort élogieux. Ses belles photos avaient suscité l’admiration de beaucoup de lecteurs et de lectrices.
Cette journaliste et animatrice fort chevronnée trustait, comme tout le monde le sait, les sommets de l’audimat gambien. Elle avait, en même temps, dirigé pendant quelques mois la direction de la communication du Président Yaya Jammeh. Mais elle ne pouvait faire de vieux os sous les lambris dorés du palais présidentiel à cause, parait-il, de sa liberté de ton et d’initiatives. Ce qui, certainement, ne pouvait plaire au dictateur de Banjul.
Cependant, ce qui est malheureux et désolant, c’est que le fait qu’elle croupisse dans les geôles de Jammeh ne semble pas intéresser encore moins émouvoir ses confrères gambiens qui semblent se complaire dans un mutisme assourdissant. Par peur ? Peut être ! Mais nous ne sommes pas sans savoir que Fatou charriait beaucoup de jalousie autour d’elle, à cause de son succès et de sa réussite.
Elle est belle, charmante et agréable. Elle croquait la vie à belles dents. Elle a participé, de manière éloquente, à l’éclosion de nombreux jeunes talents dans le monde du show-biz gambien. La laissera-t-on moisir dans les geôles de Yaya Jammeh ? Pense t - on à sa famille et à ses enfants de bas âge ?
« M. Ouza Diallo, vous avez toujours revendiqué, avec bonheur et courage, votre amitié et vos bonnes relations avec le Président gambien. Donc « JOTNA » ( il est temps ) pour essayer de faire libérer, par ce dernier, une journaliste et une animatrice qui a tant fait pour les artistes de la Sénégambie. Votre mouvement « JOTNA » tient là une B. A. ( bonne action ) qui le grandira et le rendra crédible à jamais ».
Mansour DIENG
Directeur de Icône magazine
Fatou Camara, dite Fatou « Show », avait fait, il y a quelques mois, les belles pages du magazine Icône dans un portrait fort élogieux. Ses belles photos avaient suscité l’admiration de beaucoup de lecteurs et de lectrices.
Cette journaliste et animatrice fort chevronnée trustait, comme tout le monde le sait, les sommets de l’audimat gambien. Elle avait, en même temps, dirigé pendant quelques mois la direction de la communication du Président Yaya Jammeh. Mais elle ne pouvait faire de vieux os sous les lambris dorés du palais présidentiel à cause, parait-il, de sa liberté de ton et d’initiatives. Ce qui, certainement, ne pouvait plaire au dictateur de Banjul.
Cependant, ce qui est malheureux et désolant, c’est que le fait qu’elle croupisse dans les geôles de Jammeh ne semble pas intéresser encore moins émouvoir ses confrères gambiens qui semblent se complaire dans un mutisme assourdissant. Par peur ? Peut être ! Mais nous ne sommes pas sans savoir que Fatou charriait beaucoup de jalousie autour d’elle, à cause de son succès et de sa réussite.
Elle est belle, charmante et agréable. Elle croquait la vie à belles dents. Elle a participé, de manière éloquente, à l’éclosion de nombreux jeunes talents dans le monde du show-biz gambien. La laissera-t-on moisir dans les geôles de Yaya Jammeh ? Pense t - on à sa famille et à ses enfants de bas âge ?
« M. Ouza Diallo, vous avez toujours revendiqué, avec bonheur et courage, votre amitié et vos bonnes relations avec le Président gambien. Donc « JOTNA » ( il est temps ) pour essayer de faire libérer, par ce dernier, une journaliste et une animatrice qui a tant fait pour les artistes de la Sénégambie. Votre mouvement « JOTNA » tient là une B. A. ( bonne action ) qui le grandira et le rendra crédible à jamais ».
Mansour DIENG
Directeur de Icône magazine