A madame la première dame du Sénégal
Sans nul doute l'inquiétude se lit actuellement sur votre visage et que le stress l'emporte sur votre sommeil après ce Jeudi 23 Juin 2011 qui a vu le Sénégal dans sa majorité vous lancer un message très sérieux.
Un message qui cache que votre fils Karim Wade n'est et ne sera jamais accepté comme président de la république du Sénégal. Un Sénégal que vous prenez pour un royaume au point de croire que tous vos caprices sont réalisables.
Je me permets de vous adresser cette lettre ouverte pour vous faire accepter que vous vous trompiez lourdement madame Wade. Force est de constater que vous avez trop pris les sénégalais pour des moins que rien, ignorant que si vous êtes à cette posture de première dame c'est grâce au vote des sénégalais qui ont fait confiance à votre mari. Votre mari, qui apparemment est complétement déconnecté des attentes des sénégalais et vous qui deviez être son oreiller vous le poussez à faire de votre fils son remplaçant.
A quoi bon insister sur ce projet? Pourquoi cette obsession de vouloir faire de Karim Wade un président alors qu'il n'inspire aucun destin présidentiel? Dans un passé récent, votre mari monsieur le président Abdoulaye Wade vous faisait croire que Karim a bien travaillé, alors que vous même savez que votre fils ne peut relever les défis qui attendent le Sénégal.
Madame la première dame, je vous demande de revoir les présidences des couples Senghor et Diouf et de vous en inspirer car vous êtes en train de creuser la propre tombe de votre fils et vous risquez de vous retrouver à l'hôpital chagrinant sur son sort tellement il a beaucoup de comptes à rendre au peuple sénégalais. Des comptes que vous savez plus que tout le monde dans ce pays.
Faites un petit tour dans le passé et rappelez-vous de Madame Elisabeth Diouf, une personne dynamique, chaleureuse, humaine, à l’écoute de tous les Sénégalais et qui naturellement était plus aimée que vous au Sénégal.
Une première dame qui s’était donné pour objectif principal la réalisation d’un vaste programme social, en vue de venir en aide aux couches les moins favorisées de la population sénégalaise. Et qui pourtant avait des fils comme vous, d'ailleurs des fils plus instruits que le vôtre, mais en aucun moment elle n'a songé à inciter son mari le prédisent Abdou Diouf à se faire remplacer par un de leur rejeton.
Et vous, vous madame Viviane Wade, comme vous le devinez, vous êtes la première dame la plus méprisée de toute l'histoire de la République du Sénégal. Par vos désirs de gâter votre fils unique, vous êtes en train de ternir l'image de toute une nation.
Une nation qui ne vous a pas vue naître, mais qui vous a ouverte ses bras jusqu'à bercer vos enfants juste pour vous offrir sa Téranga qu'elle a de plus cher parce-que vous a épousé un de ses fils. Un de ses fils, que l'on croyait au soir du 19 Mars 2000 l'espoir de toute cette même nation que vous êtes en cours de mettre en mal juste pour les beaux yeux de votre Karim mal aimé et qui ne sera jamais aimé par le peuple, le peuple de votre cher mari.
Madame la première dame, je vous adresse cette lettre ouverte pour vous exprimer le sentiment de tous les sénégalais que vous croyez passifs dans votre insistance à imposer votre fils qui risque de finir mal et vous aussi vous risquez de finir mal.
Les sénégalais dans leur majorité exprime leur Y'en a Marre à l'encontre de votre petite famille qui empêche la République d'avancer, vous êtes en quelque sorte la mère poisse du fils poisse qui porte malheur aux sénégalais.
S'il vous plait madame la première dame reconnaissez qu'après les locales de 2009, que ce Jeudi noir est la 2éme preuve pour vous que Karim ne sera jamais président dans ce Sénégal, et que vous vous êtes trompée de pays comme de peuple.
Pour le bien d'une fin de règne comme la vôtre, pensez madame la première dame à reconnaitre l’incapacité physique et mentale de votre mari et à préparer vos valises afin de quitter ce pays avec la manière car je vous le jure au nom d'ALLAH que les sénégalais sont prêts à vous donner le même sort que Simone Gbagbo et les forces Licornes de Nicolas Sarkozy n'auront pas le temps de vous sauver vous citoyenne française et votre famille.
Vous avez essayé deux fois de faire imposer votre fils, à la mairie de Dakar et au ticket de vice-présidence à côté de son père, le peuple est sorti massivement et violemment dire non, alors admettez que vous avez échoué et réfléchissez sur votre départ, car plus vous insistez plus le peuple exigera votre arrestation à vous et à celles de vos enfants après votre perte d’immunité présidentielle.
Madame la première dame, mettez-vous devant une glace et regardez-vous, ensuite réfléchissez si l'avenir politique de Karim Wade mérite toutes ces morts et toutes ces violences qui commencent à hanter le Sénégal.
Dites à votre mari qu'un dictateur n’a pas de concurrent à sa taille tant que le peuple ne relève pas le défi, et le peuple est debout pour relever ce défi, sachez le bien.
Je remercie d'avance votre sagesse de grande dame pour raisonner votre mari comme votre fils. Sachez pour une fois être une mère de famille prévoyante et protectrice car le mépris et la haine vous attendent dehors.
Je vous prie d'agréer, madame la première dame l'expression de ma très haute considération!!!
Auteur: Tahirou Sarr, Tah!
Tah85@live.fr
Sans nul doute l'inquiétude se lit actuellement sur votre visage et que le stress l'emporte sur votre sommeil après ce Jeudi 23 Juin 2011 qui a vu le Sénégal dans sa majorité vous lancer un message très sérieux.
Un message qui cache que votre fils Karim Wade n'est et ne sera jamais accepté comme président de la république du Sénégal. Un Sénégal que vous prenez pour un royaume au point de croire que tous vos caprices sont réalisables.
Je me permets de vous adresser cette lettre ouverte pour vous faire accepter que vous vous trompiez lourdement madame Wade. Force est de constater que vous avez trop pris les sénégalais pour des moins que rien, ignorant que si vous êtes à cette posture de première dame c'est grâce au vote des sénégalais qui ont fait confiance à votre mari. Votre mari, qui apparemment est complétement déconnecté des attentes des sénégalais et vous qui deviez être son oreiller vous le poussez à faire de votre fils son remplaçant.
A quoi bon insister sur ce projet? Pourquoi cette obsession de vouloir faire de Karim Wade un président alors qu'il n'inspire aucun destin présidentiel? Dans un passé récent, votre mari monsieur le président Abdoulaye Wade vous faisait croire que Karim a bien travaillé, alors que vous même savez que votre fils ne peut relever les défis qui attendent le Sénégal.
Madame la première dame, je vous demande de revoir les présidences des couples Senghor et Diouf et de vous en inspirer car vous êtes en train de creuser la propre tombe de votre fils et vous risquez de vous retrouver à l'hôpital chagrinant sur son sort tellement il a beaucoup de comptes à rendre au peuple sénégalais. Des comptes que vous savez plus que tout le monde dans ce pays.
Faites un petit tour dans le passé et rappelez-vous de Madame Elisabeth Diouf, une personne dynamique, chaleureuse, humaine, à l’écoute de tous les Sénégalais et qui naturellement était plus aimée que vous au Sénégal.
Une première dame qui s’était donné pour objectif principal la réalisation d’un vaste programme social, en vue de venir en aide aux couches les moins favorisées de la population sénégalaise. Et qui pourtant avait des fils comme vous, d'ailleurs des fils plus instruits que le vôtre, mais en aucun moment elle n'a songé à inciter son mari le prédisent Abdou Diouf à se faire remplacer par un de leur rejeton.
Et vous, vous madame Viviane Wade, comme vous le devinez, vous êtes la première dame la plus méprisée de toute l'histoire de la République du Sénégal. Par vos désirs de gâter votre fils unique, vous êtes en train de ternir l'image de toute une nation.
Une nation qui ne vous a pas vue naître, mais qui vous a ouverte ses bras jusqu'à bercer vos enfants juste pour vous offrir sa Téranga qu'elle a de plus cher parce-que vous a épousé un de ses fils. Un de ses fils, que l'on croyait au soir du 19 Mars 2000 l'espoir de toute cette même nation que vous êtes en cours de mettre en mal juste pour les beaux yeux de votre Karim mal aimé et qui ne sera jamais aimé par le peuple, le peuple de votre cher mari.
Madame la première dame, je vous adresse cette lettre ouverte pour vous exprimer le sentiment de tous les sénégalais que vous croyez passifs dans votre insistance à imposer votre fils qui risque de finir mal et vous aussi vous risquez de finir mal.
Les sénégalais dans leur majorité exprime leur Y'en a Marre à l'encontre de votre petite famille qui empêche la République d'avancer, vous êtes en quelque sorte la mère poisse du fils poisse qui porte malheur aux sénégalais.
S'il vous plait madame la première dame reconnaissez qu'après les locales de 2009, que ce Jeudi noir est la 2éme preuve pour vous que Karim ne sera jamais président dans ce Sénégal, et que vous vous êtes trompée de pays comme de peuple.
Pour le bien d'une fin de règne comme la vôtre, pensez madame la première dame à reconnaitre l’incapacité physique et mentale de votre mari et à préparer vos valises afin de quitter ce pays avec la manière car je vous le jure au nom d'ALLAH que les sénégalais sont prêts à vous donner le même sort que Simone Gbagbo et les forces Licornes de Nicolas Sarkozy n'auront pas le temps de vous sauver vous citoyenne française et votre famille.
Vous avez essayé deux fois de faire imposer votre fils, à la mairie de Dakar et au ticket de vice-présidence à côté de son père, le peuple est sorti massivement et violemment dire non, alors admettez que vous avez échoué et réfléchissez sur votre départ, car plus vous insistez plus le peuple exigera votre arrestation à vous et à celles de vos enfants après votre perte d’immunité présidentielle.
Madame la première dame, mettez-vous devant une glace et regardez-vous, ensuite réfléchissez si l'avenir politique de Karim Wade mérite toutes ces morts et toutes ces violences qui commencent à hanter le Sénégal.
Dites à votre mari qu'un dictateur n’a pas de concurrent à sa taille tant que le peuple ne relève pas le défi, et le peuple est debout pour relever ce défi, sachez le bien.
Je remercie d'avance votre sagesse de grande dame pour raisonner votre mari comme votre fils. Sachez pour une fois être une mère de famille prévoyante et protectrice car le mépris et la haine vous attendent dehors.
Je vous prie d'agréer, madame la première dame l'expression de ma très haute considération!!!
Auteur: Tahirou Sarr, Tah!
Tah85@live.fr