Le Mouvement « Manko Wattu Sénégal » s’attaque à la Coalition « Yewwi Askan Wi ». Il accuse Khalifa Sall et ses camarades d’avoir fait fi des lois et règlements en vigueur dans ce pays, pour lancer une sordide campagne de levée de fonds pour, disent-ils, financer leurs activités politiques. Une situation déplorable qui inquiéte plus d'un, dont le leader de « Manko Wattu Sénégal » (MWS).
« Voici un précédent dangereux que ces voyous risquent de nous faire subir. C'est véritablement des irresponsables qui écornent, au vu et au su de tous, les fondements reluisants de notre système démocratique et économique. Donc, j'en appelle l'État à sévir au plus vite, afin de ranger cette triste coalition dans les tiroirs et nous sauver d'éventuelles poursuites de la part des pays frères de l'Uemoa et de la CEDEAO, du délit de blanchiment de capitaux », peste Ousmane Faye.
Ce dernier, non content, précise que lorsqu’on aspire à diriger un pays, on doit avoir le minimum requis de connaissances et d'éthique. Ce qui est loin d'être le cas avec l'opposition sénégalaise, qui a trop usé des largesses et de la tolérance du pouvoir. « YAW en fait trop avec cette sordide campagne de levée de fonds. C'est un pur misérabilisme que ces petits leaders politiques, sous le prétexte fallacieux de cotisations de ses membres, et avec une avidité effrénée et éhontée de recherche de gain, tentent par tous les moyens de se remplir les poches. Du jamais vu dans les grandes nations démocratiques. Et même, dans les pays qui se respectent tout simplement », alerte Ousmane Faye.
Pour le leader de MWS, « l'État ne peut plus laisser passer cette hérésie. S'il laisse faire ces mythomanes, ils vont plonger ce pays dans une situation indescriptible et déplorable. Vivement que le slogan Zéro tolérance soit appliqué à ces blanchisseurs de capitaux. Surtout que nous sommes dans une région africaine avec l'Uemoa et la CEDEAO, où le financement du terrorisme a atteint des couloirs jusque-là méconnus et imprévisibles. Le Sénégal ne mérite pas de vivre ce précédent dangereux que lui fait vivre la coalition YAW », se plaint Ousmane Faye.
« Voici un précédent dangereux que ces voyous risquent de nous faire subir. C'est véritablement des irresponsables qui écornent, au vu et au su de tous, les fondements reluisants de notre système démocratique et économique. Donc, j'en appelle l'État à sévir au plus vite, afin de ranger cette triste coalition dans les tiroirs et nous sauver d'éventuelles poursuites de la part des pays frères de l'Uemoa et de la CEDEAO, du délit de blanchiment de capitaux », peste Ousmane Faye.
Ce dernier, non content, précise que lorsqu’on aspire à diriger un pays, on doit avoir le minimum requis de connaissances et d'éthique. Ce qui est loin d'être le cas avec l'opposition sénégalaise, qui a trop usé des largesses et de la tolérance du pouvoir. « YAW en fait trop avec cette sordide campagne de levée de fonds. C'est un pur misérabilisme que ces petits leaders politiques, sous le prétexte fallacieux de cotisations de ses membres, et avec une avidité effrénée et éhontée de recherche de gain, tentent par tous les moyens de se remplir les poches. Du jamais vu dans les grandes nations démocratiques. Et même, dans les pays qui se respectent tout simplement », alerte Ousmane Faye.
Pour le leader de MWS, « l'État ne peut plus laisser passer cette hérésie. S'il laisse faire ces mythomanes, ils vont plonger ce pays dans une situation indescriptible et déplorable. Vivement que le slogan Zéro tolérance soit appliqué à ces blanchisseurs de capitaux. Surtout que nous sommes dans une région africaine avec l'Uemoa et la CEDEAO, où le financement du terrorisme a atteint des couloirs jusque-là méconnus et imprévisibles. Le Sénégal ne mérite pas de vivre ce précédent dangereux que lui fait vivre la coalition YAW », se plaint Ousmane Faye.