Au Liban, un mois et une semaine après la double explosion du port du Beyrouth qui a fait 192 morts et plus de 6 500 blessés, un gigantesque incendie est en cours une nouvelle fois au port de la capitale libanaise. Il s'est déclaré en tout début d'après-midi ce jeudi 10 septembre.
On ne connait toujours pas l’origine de cet incendie qui ravage en ce moment même les entrepôts de la zone franche du port, un secteur durement touché par la catastrophe du 4 août.
Les flammes se sont déclarées dans un hangar où sont stockés des pneus ou des huiles de moteur, des matières hautement inflammables. En quelques minutes, le feu s’est étendu à d’autres entrepôts provoquant un vent de panique parmi les ouvriers. Encore traumatisés par la double explosion du nitrate d’ammonium, les employés ont quitté les lieux en courant dans tous les sens.
Même spectacle dans les rues autour du port où les automobilistes ont fait demi-tour dans un grand désordre pour s’éloigner des lieux à la vue des flammes gigantesques alors qu’un épais nuage de fumée noire enveloppait une partie de Beyrouth.
L’armée libanaise a demandé aux ouvriers d’évacuer le port et aux riverains de ne pas s’approcher du périmètre de l’incendie. La défense civile, les pompiers et des hélicoptères de l’armée sont à l’œuvre pour tenter de maitriser le sinistre. Au moins une personne souffrant d’asphyxie a été prise en charge par la Croix-Rouge.
Avec RFI
On ne connait toujours pas l’origine de cet incendie qui ravage en ce moment même les entrepôts de la zone franche du port, un secteur durement touché par la catastrophe du 4 août.
Les flammes se sont déclarées dans un hangar où sont stockés des pneus ou des huiles de moteur, des matières hautement inflammables. En quelques minutes, le feu s’est étendu à d’autres entrepôts provoquant un vent de panique parmi les ouvriers. Encore traumatisés par la double explosion du nitrate d’ammonium, les employés ont quitté les lieux en courant dans tous les sens.
Même spectacle dans les rues autour du port où les automobilistes ont fait demi-tour dans un grand désordre pour s’éloigner des lieux à la vue des flammes gigantesques alors qu’un épais nuage de fumée noire enveloppait une partie de Beyrouth.
L’armée libanaise a demandé aux ouvriers d’évacuer le port et aux riverains de ne pas s’approcher du périmètre de l’incendie. La défense civile, les pompiers et des hélicoptères de l’armée sont à l’œuvre pour tenter de maitriser le sinistre. Au moins une personne souffrant d’asphyxie a été prise en charge par la Croix-Rouge.
Avec RFI