‘’Les citoyens épris de paix et de justice attendent de lui (le président de la République, Macky Sall), un changement de démarche dans sa gouvernance, qui doit conduire à la libération des nombreux détenus politiques et à la suppression des artifices juridico-politiques entravant l’éligibilité de certains candidats’’, a dit son coordonnateur, Mamadou Mbodj, lors d’une conférence de presse.
Le mouvement qu’il dirige, réclame aussi ‘’la levée du blocus sur le domicile d’Ousmane Sonko et la mise en place d’une commission d’enquête indépendante chargée de situer les responsabilités’’ sur les violences meurtrières de début juin dernier – 16 à 30 morts ont été dénombrés, selon diverses sources.
Selon l’opposant Ousmane Sonko, ‘’presque 700’’ personnes arrêtées lors de récentes manifestations de l’opposition, sont actuellement en détention.
Le procureur du Tribunal de Grande Instance de Dakar a annoncé mi-juin, l’arrestation de 410 personnes au cours de manifestations de l’opposition.
En parlant de ‘’blocus sur le domicile d’Ousmane Sonko’’, le Mouvement des forces vives de la nation F24 fait allusion aux visites interdites par les forces de l’ordre aux proches, militants et avocats de l’opposant, à son domicile à Dakar.
Le F24, constitué de partis politiques, de syndicats de travailleurs et d’organisations de la société civile, fait de l’‘’organisation d’une élection présidentielle inclusive, transparente et apaisée en 2024’’, une revendication.
La démocratie sénégalaise ‘’redore son blason’’ avec la décision de Macky Sall de ne pas être candidat à l’élection présidentielle du 25 février 2024, selon le F24. Il juge cette décision ‘’salutaire’’. ‘’i[Macky Sall s’est finalement [abstenu] de suivre les ministres, maires et militants qui, pendant plusieurs mois, l’invitaient à renoncer au respect de la parole donnée]i’’ pour présenter sa candidature au prochain scrutin présidentiel, a dit M. Mdodj.
Le mouvement qu’il dirige invite les Sénégalais à ‘’rester mobilisés et vigilants, pour défendre les acquis démocratiques’’ du pays.
Macky Sall a annoncé sa décision ne pas être candidat en 2024, dans un contexte de vives tensions préélectorales, accentuées par la volonté qui lui était prêtée de vouloir se maintenir au pouvoir au-delà de son mandat en cours.
APS
Le mouvement qu’il dirige, réclame aussi ‘’la levée du blocus sur le domicile d’Ousmane Sonko et la mise en place d’une commission d’enquête indépendante chargée de situer les responsabilités’’ sur les violences meurtrières de début juin dernier – 16 à 30 morts ont été dénombrés, selon diverses sources.
Selon l’opposant Ousmane Sonko, ‘’presque 700’’ personnes arrêtées lors de récentes manifestations de l’opposition, sont actuellement en détention.
Le procureur du Tribunal de Grande Instance de Dakar a annoncé mi-juin, l’arrestation de 410 personnes au cours de manifestations de l’opposition.
En parlant de ‘’blocus sur le domicile d’Ousmane Sonko’’, le Mouvement des forces vives de la nation F24 fait allusion aux visites interdites par les forces de l’ordre aux proches, militants et avocats de l’opposant, à son domicile à Dakar.
Le F24, constitué de partis politiques, de syndicats de travailleurs et d’organisations de la société civile, fait de l’‘’organisation d’une élection présidentielle inclusive, transparente et apaisée en 2024’’, une revendication.
La démocratie sénégalaise ‘’redore son blason’’ avec la décision de Macky Sall de ne pas être candidat à l’élection présidentielle du 25 février 2024, selon le F24. Il juge cette décision ‘’salutaire’’. ‘’i[Macky Sall s’est finalement [abstenu] de suivre les ministres, maires et militants qui, pendant plusieurs mois, l’invitaient à renoncer au respect de la parole donnée]i’’ pour présenter sa candidature au prochain scrutin présidentiel, a dit M. Mdodj.
Le mouvement qu’il dirige invite les Sénégalais à ‘’rester mobilisés et vigilants, pour défendre les acquis démocratiques’’ du pays.
Macky Sall a annoncé sa décision ne pas être candidat en 2024, dans un contexte de vives tensions préélectorales, accentuées par la volonté qui lui était prêtée de vouloir se maintenir au pouvoir au-delà de son mandat en cours.
APS