La décision de Winston Tubman semble irréversible. Son directeur de campagne Georges Solo affirme « c'est un choix très clair, on ne va pas au second tour, c'est la position du CDC ».
Arrivé en seconde position, l'opposant qui a dénoncé des fraudes, a pourtant obtenu des aménagements en vue du vote du 8 novembre : la démission du président de la commission électorale qu'il jugeait en partie responsable de ces fraudes, la présence d'un nombre plus important d'observateurs pour garantir un vote démocratique.
Alors qu'il a salué ces actions, Winston Tubman décide de se retirer de la course et appelle à un rassemblement ce samedi 5 novembre devant les locaux de son parti. Une manifestation qu'il veut « pour la paix » et, c'est plus ambigu « pour un scrutin transparent ».
Le candidat du CDC, Congrès pour le changement démocratique, peut-il encore changer d'avis? Son directeur de campagne laisse planer le doute en déclarant : « On va voir ce que Ellen Johnson-Sirleaf va faire, si elle va y aller seule. Si elle décide de ne pas y aller ou si elle veut encore discuter ».
Des conseillers de la présidente sortante déclarent qu'elle est décidée à suivre le processus électoral. Un vote qui se déroulera comme prévu, affirme la directrice de la commission électorale Elisabeth Nelson : « Malgré l'appel au boycott du CDC, nous sommes tenus par un mandant constitutionnel à organiser le second tour et c'est ce que nous allons faire ».
Arrivé en seconde position, l'opposant qui a dénoncé des fraudes, a pourtant obtenu des aménagements en vue du vote du 8 novembre : la démission du président de la commission électorale qu'il jugeait en partie responsable de ces fraudes, la présence d'un nombre plus important d'observateurs pour garantir un vote démocratique.
Alors qu'il a salué ces actions, Winston Tubman décide de se retirer de la course et appelle à un rassemblement ce samedi 5 novembre devant les locaux de son parti. Une manifestation qu'il veut « pour la paix » et, c'est plus ambigu « pour un scrutin transparent ».
Le candidat du CDC, Congrès pour le changement démocratique, peut-il encore changer d'avis? Son directeur de campagne laisse planer le doute en déclarant : « On va voir ce que Ellen Johnson-Sirleaf va faire, si elle va y aller seule. Si elle décide de ne pas y aller ou si elle veut encore discuter ».
Des conseillers de la présidente sortante déclarent qu'elle est décidée à suivre le processus électoral. Un vote qui se déroulera comme prévu, affirme la directrice de la commission électorale Elisabeth Nelson : « Malgré l'appel au boycott du CDC, nous sommes tenus par un mandant constitutionnel à organiser le second tour et c'est ce que nous allons faire ».