
Le président du parti Forces Ouvertes pour la République et le Travail, Bara Ndiaye, a adressé une lettre ouverte au président de la République, Bassirou Diomaye Diakhar Faye, dans laquelle il attire son attention sur les « licenciements en cascade d'agents en raison de leur appartenance politique ».
Dans sa lettre, Bara Ndiaye écrit : « Je vous adresse cette lettre pour attirer votre attention sur une situation préoccupante qui mérite une intervention rapide et décisive de votre part. En effet, de nombreux agents d'entités du secteur parapublic sont actuellement victimes de licenciements en cascade, motivés non pas par leurs compétences ou leurs performances professionnelles, mais en raison de leur appartenance politique. C'est le cas au FONGIP, au Port autonome, à l'ASP, à la CDC, à TDS, au Grand Théâtre Doudou Ndiaye Rose, etc. D'ailleurs, depuis quelques jours, des structures comme l'ANASER et la Caisse des Dépôts et Consignations ont annoncé des plans sociaux. Cette démarche, pour nombre d’observateurs, relèverait d'une purge qui ne dit pas son nom. Cette situation, outre qu'elle porte atteinte aux droits fondamentaux des travailleurs, jette le discrédit sur notre administration et mine la confiance des citoyens dans les institutions de l'État. Les licenciements motivés par des considérations politiques sont contraires aux principes de la démocratie et de l'État de droit que nous chérissons tant. Ils fragilisent également la cohésion sociale et créent un climat de suspicion et de division au sein de l'administration publique. »
Selon lui, « l'administration publique doit être un espace de neutralité et de compétence, où seuls les critères de mérite et de performance prévalent. Les agents doivent pouvoir exercer leurs fonctions sans crainte de représailles ou de discriminations basées sur leurs opinions politiques. »
À cet effet, il sollicite l'intervention du chef de l'État afin que ces pratiques soient bannies dans l'administration. « Par conséquent, je vous demande respectueusement, Excellence Monsieur le Président de la République, d'intervenir pour mettre fin à ces pratiques injustes et discriminatoires. Il est essentiel que des mesures soient prises pour garantir la protection des droits des travailleurs et pour instaurer un climat de confiance et d'équité au sein de l'administration publique. Je vous prie de croire, Monsieur le Président, en l'expression de ma haute considération. »
Dans sa lettre, Bara Ndiaye écrit : « Je vous adresse cette lettre pour attirer votre attention sur une situation préoccupante qui mérite une intervention rapide et décisive de votre part. En effet, de nombreux agents d'entités du secteur parapublic sont actuellement victimes de licenciements en cascade, motivés non pas par leurs compétences ou leurs performances professionnelles, mais en raison de leur appartenance politique. C'est le cas au FONGIP, au Port autonome, à l'ASP, à la CDC, à TDS, au Grand Théâtre Doudou Ndiaye Rose, etc. D'ailleurs, depuis quelques jours, des structures comme l'ANASER et la Caisse des Dépôts et Consignations ont annoncé des plans sociaux. Cette démarche, pour nombre d’observateurs, relèverait d'une purge qui ne dit pas son nom. Cette situation, outre qu'elle porte atteinte aux droits fondamentaux des travailleurs, jette le discrédit sur notre administration et mine la confiance des citoyens dans les institutions de l'État. Les licenciements motivés par des considérations politiques sont contraires aux principes de la démocratie et de l'État de droit que nous chérissons tant. Ils fragilisent également la cohésion sociale et créent un climat de suspicion et de division au sein de l'administration publique. »
Selon lui, « l'administration publique doit être un espace de neutralité et de compétence, où seuls les critères de mérite et de performance prévalent. Les agents doivent pouvoir exercer leurs fonctions sans crainte de représailles ou de discriminations basées sur leurs opinions politiques. »
À cet effet, il sollicite l'intervention du chef de l'État afin que ces pratiques soient bannies dans l'administration. « Par conséquent, je vous demande respectueusement, Excellence Monsieur le Président de la République, d'intervenir pour mettre fin à ces pratiques injustes et discriminatoires. Il est essentiel que des mesures soient prises pour garantir la protection des droits des travailleurs et pour instaurer un climat de confiance et d'équité au sein de l'administration publique. Je vous prie de croire, Monsieur le Président, en l'expression de ma haute considération. »
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Source : https://www.dakaractu.com/Licenciements-d-agents-e...