
Au moment où le Sénégal pleure ses morts suite aux violentes émeutes consécutives à l’affaire Ousmane Sonko, la gendarmerie nationale regrette la blessure du brave et jeune lieutenant Mohamed Tony Kâ, dont la main a été amputée. « Le Témoin » quotidien révèle les circonstances dans lesquelles cet officier du Gign s’est blessé par une grenade offensive.
Tenez ! Après avoir dégoupillé la grenade, le gendarme Kâ avait environ dix secondes pour la lancer avant qu’elle n’explose. Hélas, à cet instant précis et crucial, le lieutenant Kâ a voulu éviter des pierres lancées dans sa direction. Ce moment d’inattention lui a été fatal. Boum ! Il n’a rien vu venir et s’est retrouvé avec une main en lambeaux.
Evacué d’urgence à l’hôpital Principal, le lieutenant Mohamed Tony Kâ, très courageux, a laissé entendre avant que sa main ne soit amputée « J’ai fait le…con ! Mais ce sont des choses qui arrivent dans un théâtre d’opération ». Avec foi dans l’épreuve, il a relativisé : « C’est le destin ! », a-t-il ajouté à l’endroit de ses camarades d’armes venus lui rendre visite. « Le Témoin » jure que la Gendarmerie nationale voire la Patrie lui sera reconnaissante. Nous disons ceci : Mon lieutenant, du courage ! Tu n’as pas fait le « con », c’est un incident de tir, car le meilleur est à venir !
Tenez ! Après avoir dégoupillé la grenade, le gendarme Kâ avait environ dix secondes pour la lancer avant qu’elle n’explose. Hélas, à cet instant précis et crucial, le lieutenant Kâ a voulu éviter des pierres lancées dans sa direction. Ce moment d’inattention lui a été fatal. Boum ! Il n’a rien vu venir et s’est retrouvé avec une main en lambeaux.
Evacué d’urgence à l’hôpital Principal, le lieutenant Mohamed Tony Kâ, très courageux, a laissé entendre avant que sa main ne soit amputée « J’ai fait le…con ! Mais ce sont des choses qui arrivent dans un théâtre d’opération ». Avec foi dans l’épreuve, il a relativisé : « C’est le destin ! », a-t-il ajouté à l’endroit de ses camarades d’armes venus lui rendre visite. « Le Témoin » jure que la Gendarmerie nationale voire la Patrie lui sera reconnaissante. Nous disons ceci : Mon lieutenant, du courage ! Tu n’as pas fait le « con », c’est un incident de tir, car le meilleur est à venir !