En ce début du mois de juillet, intéressons-nous à ces placardisés ayant aujourd’hui des velléités de départ. Et commençons par l’un des plus fameux que la Ligue 1 nous offre : Kevin Gameiro. Placardisé l’attaquant parisien acheté 11 M€ l’été dernier ? Oui et non. Non au début de la dernière saison, où il entamait sa carrière parisienne avec envie et détermination. Oui après l’arrivée de Carlo Ancelotti qui a vite pris des mesures radicales quant à son trio d’attaque.
Gameiro a alors vu l’entraîneur italien instaurer un système sans véritable attaquant de pointe et n’a alors bénéficié que de titularisations épisodiques, au cours desquelles il a rarement convaincu. Pire, il s’est vu doubler dans la hiérarchie par Guillaume Hoarau. Au final, malgré ses 27 titularisations et ses 11 buts en championnat, Kevin Gameiro a achevé sa saison d’une drôle de manière, étant devenu la cinquième roue du carrosse offensif parisien (Nenê, Pastore, Ménez, Hoarau). Ajoutez à cela la volonté du PSG de recruter un attaquant de classe mondiale et vous obtenez un joueur qui a compris que son temps de jeu allait fondre comme neige au soleil.
« Seul Kevin Gameiro m’a dit qu’il voulait partir. Je comprends sa situation, mais il n’a pas d’offre concrète. On a parlé avec le FC Valence, mais ils ont arrêté avant de faire une offre », révélait ainsi le directeur sportif Leonardo en juin dernier. Pas fou, Gameiro a compris qu’il devait changer d’air pour retrouver le plaisir de jouer et de marquer, lui qui a perdu dans la capitale l’insouciance de ses débuts. Mais tant que le PSG n’a pas trouvé chaussure à son pied sur le marché des transferts, il ne lâchera pas Gameiro, qui doit finalement espérer aujourd’hui voir un concurrent de poids débarquer à Paris. Un comble.
Aurélien Léger-Moëc
Gameiro a alors vu l’entraîneur italien instaurer un système sans véritable attaquant de pointe et n’a alors bénéficié que de titularisations épisodiques, au cours desquelles il a rarement convaincu. Pire, il s’est vu doubler dans la hiérarchie par Guillaume Hoarau. Au final, malgré ses 27 titularisations et ses 11 buts en championnat, Kevin Gameiro a achevé sa saison d’une drôle de manière, étant devenu la cinquième roue du carrosse offensif parisien (Nenê, Pastore, Ménez, Hoarau). Ajoutez à cela la volonté du PSG de recruter un attaquant de classe mondiale et vous obtenez un joueur qui a compris que son temps de jeu allait fondre comme neige au soleil.
« Seul Kevin Gameiro m’a dit qu’il voulait partir. Je comprends sa situation, mais il n’a pas d’offre concrète. On a parlé avec le FC Valence, mais ils ont arrêté avant de faire une offre », révélait ainsi le directeur sportif Leonardo en juin dernier. Pas fou, Gameiro a compris qu’il devait changer d’air pour retrouver le plaisir de jouer et de marquer, lui qui a perdu dans la capitale l’insouciance de ses débuts. Mais tant que le PSG n’a pas trouvé chaussure à son pied sur le marché des transferts, il ne lâchera pas Gameiro, qui doit finalement espérer aujourd’hui voir un concurrent de poids débarquer à Paris. Un comble.
Aurélien Léger-Moëc