
Touché et coulé par l'escapade mauritanienne de Oumar Sarr, l'inspecteur de la police national laisse derrière lui un grand désordre. On signale, dans Le Quotidien, que pour les autorités de la République, le camouflet a été si difficile à accepter pour qu'il soit maintenu à son poste comme si de rien n'était. Finalement, le président de la République a tranché dans le vif pour éviter de cautionner le laxisme provoqué par la gestion de cette affaire ajoutée à son "manque d'autorité".