Élu meilleur joueur de cette Coupe du monde, comme en 2014, Lionel Messi a surtout réussi à atteindre le Graal, avec ce titre de champion du monde conquis de haute lutte face à l’équipe de France.
Auteur d’un doublé, il aura pesé de tout son poids sur cette finale (3-3, 4-2 t.a.b). Son dernier match en Coupe du monde lui permet d’entrer à jamais au panthéon du football mondial.
Il pensait avoir tout fait mais ce Mondial a encore failli lui échapper.
Lionel Messi s’est d’abord occupé de l’ouverture du score sur un penalty plein de sang-froid (1-0, 22e), le quatrième de son Mondial. Il a ensuite lancé les siens vers l’un des plus beaux buts en transition de cette Coupe du monde, avec une remise délicate au départ de l’action (2-0, 38e).
Cela aurait dû suffire, l’Argentine aurait dû gagner sans histoire. Mais ce n’est pas l’histoire de cette sélection, encore moins celle de cette équipe.
Auteur d’un doublé, il aura pesé de tout son poids sur cette finale (3-3, 4-2 t.a.b). Son dernier match en Coupe du monde lui permet d’entrer à jamais au panthéon du football mondial.
Il pensait avoir tout fait mais ce Mondial a encore failli lui échapper.
Lionel Messi s’est d’abord occupé de l’ouverture du score sur un penalty plein de sang-froid (1-0, 22e), le quatrième de son Mondial. Il a ensuite lancé les siens vers l’un des plus beaux buts en transition de cette Coupe du monde, avec une remise délicate au départ de l’action (2-0, 38e).
Cela aurait dû suffire, l’Argentine aurait dû gagner sans histoire. Mais ce n’est pas l’histoire de cette sélection, encore moins celle de cette équipe.