Modou Diagne Fada n’a pas encore dit son dernier mot, selon EnQuête qui renseigne que, face à la stratégie d’Abdoulaye Wade de le débarquer de la tête du groupe parlementaire libéral, il a promis une réponse juridico-administrative pour contrer ce qu’il considère comme une forfaiture. Ce, surtout que de l’avis du groupe des réformateurs, « le comité directeur du Pds s’est fourvoyé sur toute la ligne dans la mesure où ils ont été trahi par le coup de fil qu’a passé le pape du Sopi à Fada le jour même de la fameuse réunion ».
Selon Pape Biram Ndiaye, porte-parole du jour des réformateurs, « Abdoulaye Wade a appelé Fada quatre heures avant la réunion du Comité directeur pour lui dire qu’au nom de la parité, il a choisi Aida Mbodj pour le remplacer à la tête du groupe parlementaire « Libéraux et démocrates ». A l’en croire, Abdoulaye Wade lui aurait, par la même occasion, reproché de se positionner comme le plan B du Pds en perspective de la prochaine élection présidentielle. Autre grief que le leader du Pds a contre Fada, selon M. Ndiaye, c’est le fait de ne pas avoir assez mouillé le maillot dans le combat pour la libération de Karim Wade.
Les réformateurs estiment qu'il n’y a pas que Karim Wade qui est prison. Il y a d’autres frères de parti qui sont plus importants du fait de leurs responsabilités comme le secrétaire général de l’Ujtl et du Meel. Mieux, ils soulignent que la question de la parité a été déjà réglée au niveau de l’Assemblée nationale donc les arguments avancés par Wade ne tiennent pas la route. « Fada et le groupe des réformateurs ont cautionné le choix de Karim Wade comme candidat du parti à l’élection présidentielle de 2017 et n’ont jamais retenu officiellement dans leurs réunions que le parti devait avoir un plan B même si, par ailleurs, il devait y en avoir ».
Au regard de tous ces arguments avancés pour justifier le remplacement de Modou Diagne Fada à la tête du groupe parlementaire libéral, les réformateurs en sont arrivés à la conclusion que le Pds a transféré les problèmes du Pds à l’Assemblée nationale qui n’a absolument rien à voir avec les problèmes internes du parti.
Selon Pape Biram Ndiaye, porte-parole du jour des réformateurs, « Abdoulaye Wade a appelé Fada quatre heures avant la réunion du Comité directeur pour lui dire qu’au nom de la parité, il a choisi Aida Mbodj pour le remplacer à la tête du groupe parlementaire « Libéraux et démocrates ». A l’en croire, Abdoulaye Wade lui aurait, par la même occasion, reproché de se positionner comme le plan B du Pds en perspective de la prochaine élection présidentielle. Autre grief que le leader du Pds a contre Fada, selon M. Ndiaye, c’est le fait de ne pas avoir assez mouillé le maillot dans le combat pour la libération de Karim Wade.
Les réformateurs estiment qu'il n’y a pas que Karim Wade qui est prison. Il y a d’autres frères de parti qui sont plus importants du fait de leurs responsabilités comme le secrétaire général de l’Ujtl et du Meel. Mieux, ils soulignent que la question de la parité a été déjà réglée au niveau de l’Assemblée nationale donc les arguments avancés par Wade ne tiennent pas la route. « Fada et le groupe des réformateurs ont cautionné le choix de Karim Wade comme candidat du parti à l’élection présidentielle de 2017 et n’ont jamais retenu officiellement dans leurs réunions que le parti devait avoir un plan B même si, par ailleurs, il devait y en avoir ».
Au regard de tous ces arguments avancés pour justifier le remplacement de Modou Diagne Fada à la tête du groupe parlementaire libéral, les réformateurs en sont arrivés à la conclusion que le Pds a transféré les problèmes du Pds à l’Assemblée nationale qui n’a absolument rien à voir avec les problèmes internes du parti.