Lors d'une conférence de presse, les membres du collectif ont vivement dénoncé l'implication présumée du promoteur dans des actes de violence, affirmant que des individus musclés auraient été mobilisés pour agresser violemment les occupants de la Cité. Parmi les revendications principales du collectif figure la demande d'un audit des 28 hectares de terrain en litige, considéré comme essentiel pour résoudre le conflit.
Le secrétaire général du collectif, Cheikh Ahmed Tidiane Mbow a exposé la genèse du litige : « En 2009, nous nous sommes regroupés en coopérative appelée la Coopérative du collectif des enseignants pour l’habitat social. Et en 2010, nous avons bénéficié de ce site devenu une cité habitée et digne de son nom, parce qu'habité à 80 %. Depuis lors, tous les attributaires de terrain ont gardé leur délibération qu’ils possèdent en bonne et due forme signée par l’ancien Président de la délibération spéciale et le préfet de Rufisque. C’est à partir de 2020 qu’un nommé El Hadji Dia, dit ''Ousso'', est venu avec sa famille et une bande de nervis s'accaparer de nos parcelles sans titre ni droit », a-t-il laissé entendre.
Les membres du collectif affirment avoir alerté à maintes reprises les autorités locales de la situation, mais déclarent que les actions entreprises n'ont pas été suffisantes pour résoudre le problème. Des rencontres avec des fonctionnaires et des représentants gouvernementaux ont eu lieu, mais les résultats concrets se sont fait attendre.
« Le vrai problème jamais posé est que les enseignants insistent sur les surfaces déjà occupées par chaque partie et trouvent la solution sur un audit des 28 ha de l'extension de Tivaoune Peulh », a souligné Mbaye Ba.
Le collectif exhorte désormais les autorités à prendre des mesures concrètes pour résoudre ce litige foncier, soulignant les conséquences économiques et sociales préjudiciables pour les enseignants et les résidents de la Cité.
Malgré nos efforts pour obtenir la version des faits de l'accusé, El Hadji Dia, alias ''Ousso'', toutes nos tentatives sont jusqu'à présent restées infructueuses. Leral.net se réserve le droit de permettre à l'accusé de répondre à toute information concernant cette affaire.
Birame Khary Ndaw
Le secrétaire général du collectif, Cheikh Ahmed Tidiane Mbow a exposé la genèse du litige : « En 2009, nous nous sommes regroupés en coopérative appelée la Coopérative du collectif des enseignants pour l’habitat social. Et en 2010, nous avons bénéficié de ce site devenu une cité habitée et digne de son nom, parce qu'habité à 80 %. Depuis lors, tous les attributaires de terrain ont gardé leur délibération qu’ils possèdent en bonne et due forme signée par l’ancien Président de la délibération spéciale et le préfet de Rufisque. C’est à partir de 2020 qu’un nommé El Hadji Dia, dit ''Ousso'', est venu avec sa famille et une bande de nervis s'accaparer de nos parcelles sans titre ni droit », a-t-il laissé entendre.
Les membres du collectif affirment avoir alerté à maintes reprises les autorités locales de la situation, mais déclarent que les actions entreprises n'ont pas été suffisantes pour résoudre le problème. Des rencontres avec des fonctionnaires et des représentants gouvernementaux ont eu lieu, mais les résultats concrets se sont fait attendre.
« Le vrai problème jamais posé est que les enseignants insistent sur les surfaces déjà occupées par chaque partie et trouvent la solution sur un audit des 28 ha de l'extension de Tivaoune Peulh », a souligné Mbaye Ba.
Le collectif exhorte désormais les autorités à prendre des mesures concrètes pour résoudre ce litige foncier, soulignant les conséquences économiques et sociales préjudiciables pour les enseignants et les résidents de la Cité.
Malgré nos efforts pour obtenir la version des faits de l'accusé, El Hadji Dia, alias ''Ousso'', toutes nos tentatives sont jusqu'à présent restées infructueuses. Leral.net se réserve le droit de permettre à l'accusé de répondre à toute information concernant cette affaire.
Birame Khary Ndaw