Le monde en devenir : Réflexions sur le nouvel ordre économique international » et « Aux sources du futur : La problématique mondiale et les missions de l’UNESCO », ce sont les deux ouvrages qu’Amadou Mahtar Mbow a publiés. La cérémonie de dédicace a eu lieu en présence de plusieurs universitaires, hommes politiques, lettrés...
En présentant les deux livres, le Pr Fadel Dia et sa collègue Aminata Diaw Cissé ont salué la profondeur de la réflexion d’Amadou Mahtar Mbow qui semble emprunter le langage des Altermondialistes qui persistent et signent « qu’un autre monde est possible ». Ce que la Pr Aminata Diaw Cissé appelle, aussi « l’audace de penser ».
« Ce livre n’est dirigé contre personne mais il est une analyse lucide du nouvel ordre mondial », précise l’auteur de « Le Monde en devenir : Réflexions sur le nouvel ordre mondial », Amadou Mahtar Mbow, une manière de rassurer les détracteurs du Nouvel ordre mondial de l’information et de la communication (Nomic).
En faite, ladite publication, renchérit Aminata Diaw Cissé, doit pousser à tirer deux enseignements. Le premier, c’est le renversement des perspectives, une invite à suivre une voie bien tracée par l’ancien directeur général de l’Unesco. Car, explique la philosophe, « le véritable problème, aujourd’hui, du monde, c’est le marché, le capitalisme, le nouvel ordre » ; le second enseignement à tirer, c’est l’actualité permanente du monde sur les questions de l’environnement, de l’identité, de l’éducation, en ce sens que l’œuvre qui les régit, est producteur de marginalisation, ou ce qu’Amadou Mahtar Mbow appelle « inégalités ».
« Aux sources du futur : la problématique mondiales et les missions de l’Unesco », dans ce second livre Amadou Mhtar Mbow dit définir les objectifs que l’Unesco devra poursuivre sur l’évolution du monde tout en se projetant dans le futur ; car soutient-t-il « le monde est caractérisé par d’énormes inégalités ». Or, explique-t-il, « la paix et la sécurité ne peuvent exister dans le monde tant qu’il n’y a pas de justice ».
L’auteur rappelle que « Le monde en devenir : Réflexions sur le nouvel ordre économique international » est écrit il y a 36 ans et « Aux sources du futur : La problématique mondiale et les missions de l’Unesco » il y a 30 ans.
SOURCE:Ferloo
En présentant les deux livres, le Pr Fadel Dia et sa collègue Aminata Diaw Cissé ont salué la profondeur de la réflexion d’Amadou Mahtar Mbow qui semble emprunter le langage des Altermondialistes qui persistent et signent « qu’un autre monde est possible ». Ce que la Pr Aminata Diaw Cissé appelle, aussi « l’audace de penser ».
« Ce livre n’est dirigé contre personne mais il est une analyse lucide du nouvel ordre mondial », précise l’auteur de « Le Monde en devenir : Réflexions sur le nouvel ordre mondial », Amadou Mahtar Mbow, une manière de rassurer les détracteurs du Nouvel ordre mondial de l’information et de la communication (Nomic).
En faite, ladite publication, renchérit Aminata Diaw Cissé, doit pousser à tirer deux enseignements. Le premier, c’est le renversement des perspectives, une invite à suivre une voie bien tracée par l’ancien directeur général de l’Unesco. Car, explique la philosophe, « le véritable problème, aujourd’hui, du monde, c’est le marché, le capitalisme, le nouvel ordre » ; le second enseignement à tirer, c’est l’actualité permanente du monde sur les questions de l’environnement, de l’identité, de l’éducation, en ce sens que l’œuvre qui les régit, est producteur de marginalisation, ou ce qu’Amadou Mahtar Mbow appelle « inégalités ».
« Aux sources du futur : la problématique mondiales et les missions de l’Unesco », dans ce second livre Amadou Mhtar Mbow dit définir les objectifs que l’Unesco devra poursuivre sur l’évolution du monde tout en se projetant dans le futur ; car soutient-t-il « le monde est caractérisé par d’énormes inégalités ». Or, explique-t-il, « la paix et la sécurité ne peuvent exister dans le monde tant qu’il n’y a pas de justice ».
L’auteur rappelle que « Le monde en devenir : Réflexions sur le nouvel ordre économique international » est écrit il y a 36 ans et « Aux sources du futur : La problématique mondiale et les missions de l’Unesco » il y a 30 ans.
SOURCE:Ferloo
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