Après la condamnation de Luc Nicolaï à 5 ans de prison dont deux ferme dans l’affaire de la drogue du Lamantin Beach (Saly), d’aucuns ont pensé que cette sanction est synonyme de retraite pour le promoteur de lutte. Ils ont tous faux, selon le chargé de la communication du CNG de lutte, interrogé par le journal EnQuête. "Luc Nicolaï peut bel et bien poursuivre ses activités de promoteur quand il aura fini de purger sa peine", affirme Thierno Kâ qui indique qu’il s’agit d’une affaire purement privée qui n’a rien à voir avec la lutte. En revanche, s’il s’agissait d’un lutteur, le CNG ferait en sorte qu’il ne puisse plus pratiquer la lutte.