Quelque soit l’issue d’un combat de lutte, le lutteur qu’il soit gagnant ou perdant conserve l’intégralité de son cachet. Les lutteurs reçoivent la totalité de leur argent même si leur combat s’est conclu sur un « nul ». Ce 04 avril 2011, Lac de Guiers 2 et Modou Lô ont empoché chacun 75 millions de francs Cfa ! Au moment où les spectateurs, téléspectateurs et organisateurs du combat sont très déçus par la prestation des deux protagonistes.
Pour éviter de tels désagréments dans le futur, les promoteurs doivent revoir les contrats qu’ils signent avec les lutteurs. Primo, il faut dire aux lutteurs que si leur combat se termine sur un « nul », ils ne vont percevoir que 50% de leur cachet initial. Un combat « nul » annule à moitié le contrat scellé avec le promoteur. Secundo, il serait préférable de conclure avec les deux camps des lutteurs mis en compétition un cachet global. Par exemple, entre Lac de Guiers 2 et Modou Lô, on pouvait leur proposer un cachet global de 150 millions de francs Cfa (75 millions de francs Cfa pour chaque lutteur en filigrane). Et après la fin du combat, les 60% du cachet global vont être alloués au vainqueur.
Les « 50% du cachet initial » en cas de match nul et le « cachet global » avec 60% pour le vainqueur sont des clauses contraignantes d’un futur contrat pour éviter les combats nuls et les faux combats. Les promoteurs et le Comité national de gestion de la lutte doivent explorer ces pistes de réflexion pour que les contrats soient un peu plus bétonnés. De ce fait, le promoteur n’aura plus le cœur meurtri quand il va compter des dizaines de millions de nos maigres francs Cfa à des lutteurs qui ont tout fait sauf lutter. La lutte est un simple jeu, a-t-on l’habitude de dire, mais chercher des sponsors et payer des millions de francs en moins de 24 heures, ce n’est point un jeu. Plus de respect aux spectateurs, aux sponsors et aux promoteurs.
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Pour éviter de tels désagréments dans le futur, les promoteurs doivent revoir les contrats qu’ils signent avec les lutteurs. Primo, il faut dire aux lutteurs que si leur combat se termine sur un « nul », ils ne vont percevoir que 50% de leur cachet initial. Un combat « nul » annule à moitié le contrat scellé avec le promoteur. Secundo, il serait préférable de conclure avec les deux camps des lutteurs mis en compétition un cachet global. Par exemple, entre Lac de Guiers 2 et Modou Lô, on pouvait leur proposer un cachet global de 150 millions de francs Cfa (75 millions de francs Cfa pour chaque lutteur en filigrane). Et après la fin du combat, les 60% du cachet global vont être alloués au vainqueur.
Les « 50% du cachet initial » en cas de match nul et le « cachet global » avec 60% pour le vainqueur sont des clauses contraignantes d’un futur contrat pour éviter les combats nuls et les faux combats. Les promoteurs et le Comité national de gestion de la lutte doivent explorer ces pistes de réflexion pour que les contrats soient un peu plus bétonnés. De ce fait, le promoteur n’aura plus le cœur meurtri quand il va compter des dizaines de millions de nos maigres francs Cfa à des lutteurs qui ont tout fait sauf lutter. La lutte est un simple jeu, a-t-on l’habitude de dire, mais chercher des sponsors et payer des millions de francs en moins de 24 heures, ce n’est point un jeu. Plus de respect aux spectateurs, aux sponsors et aux promoteurs.
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