Le pay-per-view (payer pour voir), nouvelle trouvaille des promoteurs de la lutte avec frappe, donne lieu à une inflation des cachets, contrairement aux prévisions des observateurs de la lutte avec frappe, qui prédisaient dans un passé récent le dégonflement de la bulle financière avec le retrait de certains sponsors.
Lancé avec le promoteur Luc Nicolaï lors du combat Gris Bordeaux-Balla Gaye 2 en mars dernier, le système est devenu la poule aux œufs d’or dans le montage des affiches.
Ce qui permet d’assister à une véritable pluie de millions de francs CFA dans l’escarcelle des têtes d’affiche de la lutte avec frappe comme au début des années 2000.
En dépit des récriminations des amateurs dont certains dénoncent la non maîtrise de la technologie, la tendance devrait aller vers la perpétuation de ce système pour les grandes affiches à venir.
D’ailleurs, Pape Thialiss Faye, qui a mis en place l’affiche Bombardier-Eumeu Sène, ne s’est pas gêné pour applaudir cette nouvelle trouvaille qui ouvre de grandes perspectives dans la lutte avec frappe.
"Le combat (entre Bombardier et Eumeu Sène) ne sera pas diffusé en direct mais en format Pay-per-view (Payer par vue) pour la modique somme de 1000 francs CFA. Luc Nicolaï a créé un système que nous allons imiter’’, avait déclaré Pape Thialis Faye, interrogé à l’époque par le quotidien spécialisé Sunu Lamb.
Gaston Mbengue, surnommé le Don King de la lutte avec frappe, s’est engagé dans la même stratégie, au grand désespoir de plusieurs amateurs lors du combat du 13 janvier dernier entre Balla Gaye 2 et Modou Lô.
En plus des dividendes de ce pay-per-view, on n'a rarement vu autant de monde autour d’un combat que lors de cette affiche du 13 janvier dernier.
Les lutteurs, plutôt les têtes d’affiche, sont les principaux bénéficiaires de ce système qui a fait ses preuves dans la boxe et autres sports de combat comme le kick-boxing.
À preuve, le cachet de 160 millions de francs CFA avancé par Sunu Lamb dans son édition de ce mardi pour convaincre le "Roi des arènes", Eumeu Sène, de faire face à Modou Lô, vaincu lors de sa dernière sortie contre Balla Gaye 2.
En dépit de sa défaite, Modou Lô, qui fait partie des lutteurs les plus populaires des arènes sénégalaises, ne serait pas loin de cette somme pour avoir donné la possibilité au Roi de la lutte avec frappe de prendre sa revanche.
Selon les mêmes sources, lors du récent combat entre le Roc des Parcelles Assainies et Balla Gaye 2, les deux lutteurs auraient émargé autour d’une centaine de millions de francs CFA chacun.
Et pour l’autre affiche devant opposer Boy Niang 2 à Lac de Guiers, les deux lutteurs auraient perçu chacun une soixantaine de millions de francs, si l’on en croit différents commentaires.
Un montant pas de même niveau que les cachets perçus par les précédents lutteurs, mais des gains importants quand même sous nos tropiques.
Cela donne une nouvelle attractivité à la lutte avec frappe qui pourrait voir le nombre de ses licenciés accroitre, une indication déjà perceptible à travers l’affluence enregistrée lors de l’affiche du 13 janvier dernier.
Aps
Lancé avec le promoteur Luc Nicolaï lors du combat Gris Bordeaux-Balla Gaye 2 en mars dernier, le système est devenu la poule aux œufs d’or dans le montage des affiches.
Ce qui permet d’assister à une véritable pluie de millions de francs CFA dans l’escarcelle des têtes d’affiche de la lutte avec frappe comme au début des années 2000.
En dépit des récriminations des amateurs dont certains dénoncent la non maîtrise de la technologie, la tendance devrait aller vers la perpétuation de ce système pour les grandes affiches à venir.
D’ailleurs, Pape Thialiss Faye, qui a mis en place l’affiche Bombardier-Eumeu Sène, ne s’est pas gêné pour applaudir cette nouvelle trouvaille qui ouvre de grandes perspectives dans la lutte avec frappe.
"Le combat (entre Bombardier et Eumeu Sène) ne sera pas diffusé en direct mais en format Pay-per-view (Payer par vue) pour la modique somme de 1000 francs CFA. Luc Nicolaï a créé un système que nous allons imiter’’, avait déclaré Pape Thialis Faye, interrogé à l’époque par le quotidien spécialisé Sunu Lamb.
Gaston Mbengue, surnommé le Don King de la lutte avec frappe, s’est engagé dans la même stratégie, au grand désespoir de plusieurs amateurs lors du combat du 13 janvier dernier entre Balla Gaye 2 et Modou Lô.
En plus des dividendes de ce pay-per-view, on n'a rarement vu autant de monde autour d’un combat que lors de cette affiche du 13 janvier dernier.
Les lutteurs, plutôt les têtes d’affiche, sont les principaux bénéficiaires de ce système qui a fait ses preuves dans la boxe et autres sports de combat comme le kick-boxing.
À preuve, le cachet de 160 millions de francs CFA avancé par Sunu Lamb dans son édition de ce mardi pour convaincre le "Roi des arènes", Eumeu Sène, de faire face à Modou Lô, vaincu lors de sa dernière sortie contre Balla Gaye 2.
En dépit de sa défaite, Modou Lô, qui fait partie des lutteurs les plus populaires des arènes sénégalaises, ne serait pas loin de cette somme pour avoir donné la possibilité au Roi de la lutte avec frappe de prendre sa revanche.
Selon les mêmes sources, lors du récent combat entre le Roc des Parcelles Assainies et Balla Gaye 2, les deux lutteurs auraient émargé autour d’une centaine de millions de francs CFA chacun.
Et pour l’autre affiche devant opposer Boy Niang 2 à Lac de Guiers, les deux lutteurs auraient perçu chacun une soixantaine de millions de francs, si l’on en croit différents commentaires.
Un montant pas de même niveau que les cachets perçus par les précédents lutteurs, mais des gains importants quand même sous nos tropiques.
Cela donne une nouvelle attractivité à la lutte avec frappe qui pourrait voir le nombre de ses licenciés accroitre, une indication déjà perceptible à travers l’affluence enregistrée lors de l’affiche du 13 janvier dernier.
Aps