Il s’agit des Parcelles Assainies, de Guédiawaye, de Rufisque, de Thiaroye, de Yeumbeul, de Diamaguène / Sicap-Mbao et de Keur Massar. L’annonce a été faite avant-hier par le chef du Bureau des Relations publiques de la Police nationale (BRP), le commissaire Mouhamed Guèye, lors d’un petit-déjeuner de presse.
La rencontre avait pour objectif de voir comment faire pour améliorer les relations entre les deux entités, dans le but d’éviter les affrontements, mais aussi de nouer un partenariat gagnant-gagnant.
Egalement, le commissaire Guèye a profité de cette rencontre pour faire la cartographie de la police, en termes d’infrastructures dans le pays. Il a énuméré 17 commissariats centraux, 7 urbains, 20 d’arrondissements, 2 spéciaux et 13 postes de police qui dépendent tous de la Direction de la Sécurité publique.
Concernant les relations entre les limiers et les hommes de médias, il a été question, durant deux tours d’horloge, de discuter et d’échanger pour arrondir les angles. Sur ce, le chef du BRP a promis la tenue de rencontres périodiques.
Mieux, toutes les suggestions et critiques des journalistes seront prises en compte, pour améliorer les relations entre les deux entités.
“Nous avons des journalistes responsables dans ce pays. Mais n’empêche, c’est toujours bon de leur rappeler leurs responsabilités. Ils peuvent déstabiliser un pays, s’ils ne le sont pas. Nous appelons chacun au sens de la responsabilité. Que chacun sache qu’il travaille pour la bonne marche du pays. Tout ce que nous voulons, c’est de recueillir l’avis des journalistes pour qu’on puisse savoir quelles sont les difficultés auxquelles ils sont confrontés concernant l’accès à l’information. Nous voulons juste jeter les jalons d’une collaboration franche entre nos deux entités’’, a expliqué le commissaire Guèye.
Selon qui, ils ont une lourde responsabilité, car ils jouent un rôle dans la conscientisation et l’information dans le pays.
“Il peut y avoir des incompréhensions entre nous, mais il faut vite les surmonter. Des couacs sont parfois constatés dans les théâtres d’opération, mais je pense que sur ce point, il faut qu’on parvienne à trouver une solution qui permettra aux journalistes d’être reconnus. Ce sera soit à travers un gilet et ou une carte de presse qu’ils mettront en évidence. Nous vous appelons à travailler dans ce sens. Si on parvient à identifier les personnels des médias, la presse sera protégée. Il faut que vous sachiez que la police n’a pas pour vocation de charger la presse’’, apaise-t-il.
Enquête
La rencontre avait pour objectif de voir comment faire pour améliorer les relations entre les deux entités, dans le but d’éviter les affrontements, mais aussi de nouer un partenariat gagnant-gagnant.
Egalement, le commissaire Guèye a profité de cette rencontre pour faire la cartographie de la police, en termes d’infrastructures dans le pays. Il a énuméré 17 commissariats centraux, 7 urbains, 20 d’arrondissements, 2 spéciaux et 13 postes de police qui dépendent tous de la Direction de la Sécurité publique.
Concernant les relations entre les limiers et les hommes de médias, il a été question, durant deux tours d’horloge, de discuter et d’échanger pour arrondir les angles. Sur ce, le chef du BRP a promis la tenue de rencontres périodiques.
Mieux, toutes les suggestions et critiques des journalistes seront prises en compte, pour améliorer les relations entre les deux entités.
“Nous avons des journalistes responsables dans ce pays. Mais n’empêche, c’est toujours bon de leur rappeler leurs responsabilités. Ils peuvent déstabiliser un pays, s’ils ne le sont pas. Nous appelons chacun au sens de la responsabilité. Que chacun sache qu’il travaille pour la bonne marche du pays. Tout ce que nous voulons, c’est de recueillir l’avis des journalistes pour qu’on puisse savoir quelles sont les difficultés auxquelles ils sont confrontés concernant l’accès à l’information. Nous voulons juste jeter les jalons d’une collaboration franche entre nos deux entités’’, a expliqué le commissaire Guèye.
Selon qui, ils ont une lourde responsabilité, car ils jouent un rôle dans la conscientisation et l’information dans le pays.
“Il peut y avoir des incompréhensions entre nous, mais il faut vite les surmonter. Des couacs sont parfois constatés dans les théâtres d’opération, mais je pense que sur ce point, il faut qu’on parvienne à trouver une solution qui permettra aux journalistes d’être reconnus. Ce sera soit à travers un gilet et ou une carte de presse qu’ils mettront en évidence. Nous vous appelons à travailler dans ce sens. Si on parvient à identifier les personnels des médias, la presse sera protégée. Il faut que vous sachiez que la police n’a pas pour vocation de charger la presse’’, apaise-t-il.
Enquête