Dans l’enseignement primaire le taux de scolarisation des filles atteint 95,9% contre 89,2% chez les garçons. Il n’en demeure pas moins que beaucoup de filles quittent l’école juste en classe de Cm2 . Toutes choses qui semblent être liées, selon Kalidou Diallo, ministre de l’éducation Préscolaire, de l’Elémentaire, du Moyen secondaire et des Langues Nationales, qui s’exprimait avant hier à l’ouverture de la Conférence internationale sur l’éducation des filles, organisée à Dakar sur l’Initiative des Nations Unies pour l’éducation des filles (Ungei).
Parmi les causes du déséquilibre on peut également relever « un environnement scolaire inadapté aux spécificités des filles, des curricula et des curricula qui n’ intégrent pas la dimension genre ». De même que « des violences physiques ou morales qui leur sont faites ». Le ministre Kalidou Diallo a précisé également qu’ « au niveau du Moyen et du Secondaire, des efforts importants restent à faire pour atteindre la parité, malgré les progrès réalisés dans ce sous secteur ». Et d’ajouter « même si on note qu’en 2009 un écart de 4,8 points de taux de transition en faveur des garçons, les effectifs des filles se sont accrus en moyenne annuelle de 12% entre 2007 et 2009, contre 7,7% pour les garçons ».
Pour Ann Thérèse Ndong Diatta, la directrice du Bureau Régional de l’UNESCO pour l’éducation en Afrique (BREDA) pour améliorer le maintien des filles à l’école, il faut « Améliorer les programmes en intégrant nos pratiques culturelles dans les apprentissages ». Cette amélioration passera nécessairement également par « l’intégration et l’utilisation de nos langues maternelles », a-t-elle conclu en substance.
Parmi les causes du déséquilibre on peut également relever « un environnement scolaire inadapté aux spécificités des filles, des curricula et des curricula qui n’ intégrent pas la dimension genre ». De même que « des violences physiques ou morales qui leur sont faites ». Le ministre Kalidou Diallo a précisé également qu’ « au niveau du Moyen et du Secondaire, des efforts importants restent à faire pour atteindre la parité, malgré les progrès réalisés dans ce sous secteur ». Et d’ajouter « même si on note qu’en 2009 un écart de 4,8 points de taux de transition en faveur des garçons, les effectifs des filles se sont accrus en moyenne annuelle de 12% entre 2007 et 2009, contre 7,7% pour les garçons ».
Pour Ann Thérèse Ndong Diatta, la directrice du Bureau Régional de l’UNESCO pour l’éducation en Afrique (BREDA) pour améliorer le maintien des filles à l’école, il faut « Améliorer les programmes en intégrant nos pratiques culturelles dans les apprentissages ». Cette amélioration passera nécessairement également par « l’intégration et l’utilisation de nos langues maternelles », a-t-elle conclu en substance.