C'est sur un ton ferme que le Secrétaire général du Parti socialiste (Ps), Ousmane Tanor Dieng, a démenti, hier, l'information selon laquelle il existerait un malaise au sein de sa formation politique. «Il n'y a pas de passes d'armes entre Khalifa Sall et un autre membre du Bureau politique. C'est une pure invention montée de toutes pièces. Entre Khalifa Sall et moi, nous avons des relations d'excellente qualité, ça, c'est clair. Idem avec Me Aïssata Tall Sall. Maintenant, sur telle ou telle question, des gens peuvent ne pas avoir les mêmes points de vue, c'est normal», indique Ousmane Tanor Dieng, qui s'exprimait lors de l'émission «Par conviction» sur 2STv.
S'agissant du débat relatif au candidat naturel du Ps, Ousmane Tanor estime que «c'est un débat sémantique. Ce qui est naturel et souhaitable, c'est qu'il y ait plusieurs candidats. Les camarades qui veulent se présenter selon les critères du parti peuvent le faire. Le Ps est un parti démocratique». Et pour corroborer son propos, il rappelle : «En 2000, c'est moi-même qui ait eu l'initiative, pour le poste de Secrétaire général, qu'on fasse un appel à candidatures».
En conséquence, Ousmane Tanor Dieng déclare qu'«il n'y a pas de quoi fouetter un chat. Le débat soulevé par la presse est extérieur au parti». Ce débat, selon lui, «n'a aucune utilité».
«Ce qui est a l'ordre du jour, c'est discuter sûr une candidature unique au sein de Bennoo». C'est pourquoi il affirme qu'il ne faut pas compter sur lui pour alimenter un tel débat.
M. Dieng se dit convaincu que «le fond du problème, c'est qu'il y a des gens qui craignent le Ps, puisque c'est un parti qui dérange». Et d'avertir : «Mais, nous ferons face. Nous ne pourrons empêcher des gens de continuer à imaginer, mais cela ne nous gêne pas. Le Ps restera débout».
Jacques Ngor SARR
Source Le Populaire
S'agissant du débat relatif au candidat naturel du Ps, Ousmane Tanor estime que «c'est un débat sémantique. Ce qui est naturel et souhaitable, c'est qu'il y ait plusieurs candidats. Les camarades qui veulent se présenter selon les critères du parti peuvent le faire. Le Ps est un parti démocratique». Et pour corroborer son propos, il rappelle : «En 2000, c'est moi-même qui ait eu l'initiative, pour le poste de Secrétaire général, qu'on fasse un appel à candidatures».
En conséquence, Ousmane Tanor Dieng déclare qu'«il n'y a pas de quoi fouetter un chat. Le débat soulevé par la presse est extérieur au parti». Ce débat, selon lui, «n'a aucune utilité».
«Ce qui est a l'ordre du jour, c'est discuter sûr une candidature unique au sein de Bennoo». C'est pourquoi il affirme qu'il ne faut pas compter sur lui pour alimenter un tel débat.
M. Dieng se dit convaincu que «le fond du problème, c'est qu'il y a des gens qui craignent le Ps, puisque c'est un parti qui dérange». Et d'avertir : «Mais, nous ferons face. Nous ne pourrons empêcher des gens de continuer à imaginer, mais cela ne nous gêne pas. Le Ps restera débout».
Jacques Ngor SARR
Source Le Populaire