LERAL.NET: Deux ans après avoir été porté à la tête de la communauté rurale de Djirédji, qu’est-ce qu’on peut retenir comme bilan ?
A Djirédji, c’est vrai qu’il y a des problèmes comme partout ailleurs que ça soit sur le plan des infrastructures, de l’éducation, de la santé…mais ce que je peux vous dire que faisant une petite comparaison avant et après l’alternance, je ne dis même pas de la communauté rurale mais de l’arrondissement même, je peux dire qu’à partir de l’école primaire tous les enfants de la localité rejoignent les grandes villes pour aller aux collèges et tout. Mais je peux vous dire qu’en moine, aujourd’hui nous avons trois collèges d’enseignements moyens dans chaque communauté rurale de la localité. Ça c’est un acquis de taille. Si je prends sur le plan des infrastructures, c’est vrai qu’on a un problème au niveau de la boucle du Boudié le tronçon qui quitte Marsassoum pour Sédhiou en passant par Djirédji, économiquement qui joue un rôle important. Avant l’alternance, on faisait entre Sédhiou et Djirédji deux heures de temps, aujourd’hui on fait 45mn parce que la route a été vraiment entretenue mais si le bitumage on en demande encore mais il y a une grande amélioration à ce niveau-là. Vous savez, on a toujours demandé à ce que Sédhiou soit érigé en région et on l’a eu avec l’alternance grâce au président Abdoulaye Wade. C’est une réalité ça.
LERAL.NET: Vous êtes aussi membre actif du mouvement de soutien créé par le dg du Cosec monsieur Abdoulaye Diop. C’est quoi la mission de ce mouvement de soutien ?
Ce mouvement mise en place par le DG du Cosec monsieur Abdoulaye Diop a vue l’adhésion massive des populations Sédhiouoises. Donc naturellement c’est ce qui a un peu dérangé certains responsables politique à Sédhiou car les gens ont été agréable surpris de voir qu’en moins de six mois d’existence, le mouvement occuper tout le terrain par ces actions. Parce que nous, on s’est dit que notre politique ce n’est pas les beaux discours, mais les actions concrètes sur le terrain et c’est ce que les populations ont compris. Le mouvement n’est pas venu pour déranger qui que ça soit, mais pour récupérer les frustrés du pds et de l’opposition. Aujourd’hui, le constat est là, si l’opposition occupait 25°/° avant la création du mouvement, aujourd’hui l’opposition n’occupe même pas 10°/° à Sédhiou et je pense que ça c’est un acquis.
LERAL.NET: Vous êtes opérateurs économiques. Comment expliquez-vous aujourd’hui cette crise économique que traverse la région sud du pays ?
La économique, elle n’est pas spécifique à Ziguinchor, ni en Casamance mais la crise elle est internationale, je pense que les gens honnêtes comprennent ça. Cependant, la Casamance a une particularité avec cette crise armée et les activités étaient paralysées de part et d’autres, mais on sent que les choses évoluent positivement. Quand on vient dans ces régions de la Casamance, on sent qu’il fait bon vivre, on ne sent pas cette tristesse qu’on voyait avant et les activités économiques commencent à redémarrer. A Ziguinchor par exemple, il y a certaines usines qui ont ouvert leurs portes, tu vas au niveau de l’agriculture, l’arachide par rapport aux autres variétés ou spéculations, on sent que les gens sont à l’aise même si il y a des poches qui pourront se stabiliser mais là, nous considérons que nous sommes sur la bonne voie avec cette crise qui est entrain de reculer un peu.
OSCAR GUEYE
A Djirédji, c’est vrai qu’il y a des problèmes comme partout ailleurs que ça soit sur le plan des infrastructures, de l’éducation, de la santé…mais ce que je peux vous dire que faisant une petite comparaison avant et après l’alternance, je ne dis même pas de la communauté rurale mais de l’arrondissement même, je peux dire qu’à partir de l’école primaire tous les enfants de la localité rejoignent les grandes villes pour aller aux collèges et tout. Mais je peux vous dire qu’en moine, aujourd’hui nous avons trois collèges d’enseignements moyens dans chaque communauté rurale de la localité. Ça c’est un acquis de taille. Si je prends sur le plan des infrastructures, c’est vrai qu’on a un problème au niveau de la boucle du Boudié le tronçon qui quitte Marsassoum pour Sédhiou en passant par Djirédji, économiquement qui joue un rôle important. Avant l’alternance, on faisait entre Sédhiou et Djirédji deux heures de temps, aujourd’hui on fait 45mn parce que la route a été vraiment entretenue mais si le bitumage on en demande encore mais il y a une grande amélioration à ce niveau-là. Vous savez, on a toujours demandé à ce que Sédhiou soit érigé en région et on l’a eu avec l’alternance grâce au président Abdoulaye Wade. C’est une réalité ça.
LERAL.NET: Vous êtes aussi membre actif du mouvement de soutien créé par le dg du Cosec monsieur Abdoulaye Diop. C’est quoi la mission de ce mouvement de soutien ?
Ce mouvement mise en place par le DG du Cosec monsieur Abdoulaye Diop a vue l’adhésion massive des populations Sédhiouoises. Donc naturellement c’est ce qui a un peu dérangé certains responsables politique à Sédhiou car les gens ont été agréable surpris de voir qu’en moins de six mois d’existence, le mouvement occuper tout le terrain par ces actions. Parce que nous, on s’est dit que notre politique ce n’est pas les beaux discours, mais les actions concrètes sur le terrain et c’est ce que les populations ont compris. Le mouvement n’est pas venu pour déranger qui que ça soit, mais pour récupérer les frustrés du pds et de l’opposition. Aujourd’hui, le constat est là, si l’opposition occupait 25°/° avant la création du mouvement, aujourd’hui l’opposition n’occupe même pas 10°/° à Sédhiou et je pense que ça c’est un acquis.
LERAL.NET: Vous êtes opérateurs économiques. Comment expliquez-vous aujourd’hui cette crise économique que traverse la région sud du pays ?
La économique, elle n’est pas spécifique à Ziguinchor, ni en Casamance mais la crise elle est internationale, je pense que les gens honnêtes comprennent ça. Cependant, la Casamance a une particularité avec cette crise armée et les activités étaient paralysées de part et d’autres, mais on sent que les choses évoluent positivement. Quand on vient dans ces régions de la Casamance, on sent qu’il fait bon vivre, on ne sent pas cette tristesse qu’on voyait avant et les activités économiques commencent à redémarrer. A Ziguinchor par exemple, il y a certaines usines qui ont ouvert leurs portes, tu vas au niveau de l’agriculture, l’arachide par rapport aux autres variétés ou spéculations, on sent que les gens sont à l’aise même si il y a des poches qui pourront se stabiliser mais là, nous considérons que nous sommes sur la bonne voie avec cette crise qui est entrain de reculer un peu.
OSCAR GUEYE