Mansour Sakho n’est pas le premier venu, mais a fini d’être l’attraction d’une arène dont son poulain, Yékini, est le roi respecté et incontesté. Né entre 1965 et 1966 à Keur Socé, sur la route de Keur Madiabel, après Kaolack, l’homme de confiance de Yékini a appris les rouages des pratiques mystiques sous l’ombre de son père, Abdoulaye Sakho. Après la disparition de ce dernier, le fils a pris le relais et, comme son père, allie la science avec ses activités commerciales.
Dans l’arène, Mansour n’est pas l’intermédiaire de Yékini avec les marabouts, mais un des hommes dont le roi compte sur la science pour asseoir son invincibilité. Avant lui, Mbaye Ndiaye, menuisier de profession, s’occupait des questions mystiques de Yékini, à côté du chauffeur Abass Ndiaye, ancien agent du ministère des Finances actuellement à la retraite. Mais la science infuse de Mansour a fini par le propulser au-devant de la scène. «Le Coran est son arme. Et ce n’est pas seulement Yékini qui sollicite ses services, de fortes personnalités lui rendent visite», renseigne son entourage.
Avec ses activités…mystiques, Mansour a mis sa famille à l’abri du besoin. A l’image de la star de l’arène, il roule en 4×4 et possède plusieurs véhicules de transport en commun. Un de ses proches : «Ses visiteurs l’apprécient parce qu’il n’est pas obnubilé par l’argent. En plus, ce n’est pas un radin. Ce qui fait que sa maison ne désemplit pas.»
Derrière son calme légendaire et son visage inoffensif se cache un talent fou de «farceur». «L’homme est ouvert, disponible et serviable.» Autant de qualités qui ont contribué à son rapprochement avec Yakhya Diop. Les deux hommes qui s’apprécient mutuellement ne ratent jamais l’occasion de raffermir leur complicité. A preuve, le fils de Mansour porte aujourd’hui le nom de… Yakhya Diop.
Saliou Gackou
Source L'Observateur via xibar
Dans l’arène, Mansour n’est pas l’intermédiaire de Yékini avec les marabouts, mais un des hommes dont le roi compte sur la science pour asseoir son invincibilité. Avant lui, Mbaye Ndiaye, menuisier de profession, s’occupait des questions mystiques de Yékini, à côté du chauffeur Abass Ndiaye, ancien agent du ministère des Finances actuellement à la retraite. Mais la science infuse de Mansour a fini par le propulser au-devant de la scène. «Le Coran est son arme. Et ce n’est pas seulement Yékini qui sollicite ses services, de fortes personnalités lui rendent visite», renseigne son entourage.
Avec ses activités…mystiques, Mansour a mis sa famille à l’abri du besoin. A l’image de la star de l’arène, il roule en 4×4 et possède plusieurs véhicules de transport en commun. Un de ses proches : «Ses visiteurs l’apprécient parce qu’il n’est pas obnubilé par l’argent. En plus, ce n’est pas un radin. Ce qui fait que sa maison ne désemplit pas.»
Derrière son calme légendaire et son visage inoffensif se cache un talent fou de «farceur». «L’homme est ouvert, disponible et serviable.» Autant de qualités qui ont contribué à son rapprochement avec Yakhya Diop. Les deux hommes qui s’apprécient mutuellement ne ratent jamais l’occasion de raffermir leur complicité. A preuve, le fils de Mansour porte aujourd’hui le nom de… Yakhya Diop.
Saliou Gackou
Source L'Observateur via xibar