La marche qui était prévue à Dakar aujourd’hui, sur l’itinéraire allant de la police des Parcelles assainies au rond point de la case de Cambérène, devait inaugurer de fait la semaine nationale d’action déclinée par le Cadre d’action de la société civile (Casc) entre ce jour, samedi 31 juillet, et le mercredi 07 août. Une semaine nationale d’action qui restait la consécutive de l’Assemblée générale que les organisations regroupées au sein du Casc ont tenue le 20 juillet dernier.
La rencontre avait en effet permis à ces structures dont la Csa, le Forum civil, l’Unsas, la Fgts, le Collectif des résidents et imams de Guédiéwaye et de la banlieue de Dakar et alii, d’élaborer un plan d’action à court terme qui se déclinait en plusieurs points. Tout d’abord, ce plan devait coïncider selon les promoteurs, au déclenchement d’une semaine nationale d’action du 31 juillet au 07 août 2010 pour protester contre les coupures. Par là, il s’agissait selon eux de « créer et de maintenir la pression sociale jusqu’à ce qu’une solution structurelle concertée et consensuelle soit trouvée relativement à l’électricité, avec des structures et mécanismes de suivi pour sa mise en œuvre ». A ce niveau d’ailleurs, ces organisations réunies au sein du Casc avaient affirmé qu’ « un audit de la gestion de la Senelec sera exigée » avant de préciser que « La démission volontaire ou forcée du Ministre actuel serait de nature à faciliter cet audit ».
Le second volet du plan d’action du Casc établissait « la mobilisation autour de la question des inondations pour que, là aussi, en synergie avec les populations et les autorités, une solution structurelle et durable, concertée et consensuelle soit trouvée ». Et de stipuler que « Sans doute, une réduction drastique du train de vie dispendieux de l’Etat rendrait possibles de telles mesures ». Enfin, le plan d’action du Casc prévoyait « une marche de protestation contre les modalités de la distribution des intrants agricoles et contre la marginalisation des organisations autonomes au profit du syndicat récemment créé par le gouvernement sera organisée en début août à Kaolack ».
Aux dernières nouvelles, les organisations de la société civile ont été mis devant le fait avec l’interdiction de leur marche. Pour rappel, le Cadre de concertation et d’action de la société civile (Casc), qui a été créé le 04 mai 2010, est une structure ouverte aux personnalités indépendantes, Ong, associations et syndicats sénégalais partageant sa dynamique d’action pour la promotion du progrès social et économique du Sénégal, dans toutes ses formes, et de l’Etat de Droit.
La rencontre avait en effet permis à ces structures dont la Csa, le Forum civil, l’Unsas, la Fgts, le Collectif des résidents et imams de Guédiéwaye et de la banlieue de Dakar et alii, d’élaborer un plan d’action à court terme qui se déclinait en plusieurs points. Tout d’abord, ce plan devait coïncider selon les promoteurs, au déclenchement d’une semaine nationale d’action du 31 juillet au 07 août 2010 pour protester contre les coupures. Par là, il s’agissait selon eux de « créer et de maintenir la pression sociale jusqu’à ce qu’une solution structurelle concertée et consensuelle soit trouvée relativement à l’électricité, avec des structures et mécanismes de suivi pour sa mise en œuvre ». A ce niveau d’ailleurs, ces organisations réunies au sein du Casc avaient affirmé qu’ « un audit de la gestion de la Senelec sera exigée » avant de préciser que « La démission volontaire ou forcée du Ministre actuel serait de nature à faciliter cet audit ».
Le second volet du plan d’action du Casc établissait « la mobilisation autour de la question des inondations pour que, là aussi, en synergie avec les populations et les autorités, une solution structurelle et durable, concertée et consensuelle soit trouvée ». Et de stipuler que « Sans doute, une réduction drastique du train de vie dispendieux de l’Etat rendrait possibles de telles mesures ». Enfin, le plan d’action du Casc prévoyait « une marche de protestation contre les modalités de la distribution des intrants agricoles et contre la marginalisation des organisations autonomes au profit du syndicat récemment créé par le gouvernement sera organisée en début août à Kaolack ».
Aux dernières nouvelles, les organisations de la société civile ont été mis devant le fait avec l’interdiction de leur marche. Pour rappel, le Cadre de concertation et d’action de la société civile (Casc), qui a été créé le 04 mai 2010, est une structure ouverte aux personnalités indépendantes, Ong, associations et syndicats sénégalais partageant sa dynamique d’action pour la promotion du progrès social et économique du Sénégal, dans toutes ses formes, et de l’Etat de Droit.