Le mariage homosexuel par définition, est une union célébrée entre deux personnes (homme et femme) ayant la même tendance sexuelle. Il s’agit, en clair, de l’union d’un homme d’avec une femme (et non de deux hommes ou de deux femmes eux ou elles) ayant le même sexe. Mais aujourd’hui, force est d’admettre que le concept a profondément évolué.
L’une se fait appeler «B» et l’autre «F.C». Selon toute évidence, c’est « F.C » qui joue le rôle d’époux. Elle réside en Suède, pays de tolérance sexuelle par excellence. Quant à «B», elle vit dans la capitale malienne à Magnambougou, dans une villa que lui a généreusement offerte son «mari» depuis la Suède.
Cette dernière, « F.C », ne lésine pas sur les moyens. Elle est très riche et a entrepris de faire expatrier
son «épouse».
Le couple s’est connu à travers Internet, sur un site de rencontres. Depuis, elles n’ont jamais arrêté de se fréquenter. C’est F.C qui effectue régulièrement le déplacement sur Bamako. Sur place, elle partage la même villa et la même chambre que «B». Un secret de polichinelle pour les voisins du quartier Magnambougou !
Mais comment pareille union a pu être célébrée dans un pays où la pratique est prohibée et, de surcroit, par une autorité légitime, à savoir le maire du quartier ?
C’est au mois de d’Octobre-Novembre que le drôle mariage a été consacré, non au centre d’Etat civil, mais à domicile. De source bien au fait de l’histoire, un homme a pris la place de «F.C» et les papiers d’identité des deux époux ont été délibérément falsifiés. Le choix du domicile avait pour but de limiter la présence des curieux.
Dans la législation malienne, rien n’interdit la consécration d’une union civile à domicile par un officier d’Eta civil. La pratique se trouve cependant en porte-à-faux avec le principe de la publicité du mariage lequel constitue un acte public par excellence. En somme, le domicile est une propriété privée dont l’accès peut être limité alors que le mariage reste un acte public ouvert à tous. En célébrant donc une union à domicile, les époux peuvent restreindre l’accès de cette cérémonie à caractère public. La stratégie s’est avérée payante pour «B» et «F.C». Seul(es) les intimes, et quel(les) intimes, ont pu accéder ce jour, à l’autel.
Le maire dont la bonne foi n’est pas en cause, en tout cas, jusqu’à la preuve du contraire, a tout simplement usé d’une prérogative et a cautionné le fait.
Aujourd’hui, l’épouse «B», sur incitation de son « mari » FC cherche à s’expatrier en Suède où la pratique des unions libres est reconnue. Au Mali, elle n’a aucune valeur juridique puisque le code du mariage précise bien que l’union est célébrée entre homme et femme.
Un concept qui, malheureusement, connaît aujourd’hui ses limites dans la mesure où la science parvient dorénavant à faire changer le sexe biologique d’une personne. En somme, une femme peut désormais s’octroyer les caractères secondaires mâles et un homme de même par rapport aux attributs femelles. Toute chose qui met à défaut le principe malien selon lequel le mariage n’est célébré qu’entre homme et femme… «De naissance» n’aurait pas été de trop… Et si l’on revoyait sérieusement ce fameux code du mariage, sans passion, s’il vous plaît !
L’une se fait appeler «B» et l’autre «F.C». Selon toute évidence, c’est « F.C » qui joue le rôle d’époux. Elle réside en Suède, pays de tolérance sexuelle par excellence. Quant à «B», elle vit dans la capitale malienne à Magnambougou, dans une villa que lui a généreusement offerte son «mari» depuis la Suède.
Cette dernière, « F.C », ne lésine pas sur les moyens. Elle est très riche et a entrepris de faire expatrier
son «épouse».
Le couple s’est connu à travers Internet, sur un site de rencontres. Depuis, elles n’ont jamais arrêté de se fréquenter. C’est F.C qui effectue régulièrement le déplacement sur Bamako. Sur place, elle partage la même villa et la même chambre que «B». Un secret de polichinelle pour les voisins du quartier Magnambougou !
Mais comment pareille union a pu être célébrée dans un pays où la pratique est prohibée et, de surcroit, par une autorité légitime, à savoir le maire du quartier ?
C’est au mois de d’Octobre-Novembre que le drôle mariage a été consacré, non au centre d’Etat civil, mais à domicile. De source bien au fait de l’histoire, un homme a pris la place de «F.C» et les papiers d’identité des deux époux ont été délibérément falsifiés. Le choix du domicile avait pour but de limiter la présence des curieux.
Dans la législation malienne, rien n’interdit la consécration d’une union civile à domicile par un officier d’Eta civil. La pratique se trouve cependant en porte-à-faux avec le principe de la publicité du mariage lequel constitue un acte public par excellence. En somme, le domicile est une propriété privée dont l’accès peut être limité alors que le mariage reste un acte public ouvert à tous. En célébrant donc une union à domicile, les époux peuvent restreindre l’accès de cette cérémonie à caractère public. La stratégie s’est avérée payante pour «B» et «F.C». Seul(es) les intimes, et quel(les) intimes, ont pu accéder ce jour, à l’autel.
Le maire dont la bonne foi n’est pas en cause, en tout cas, jusqu’à la preuve du contraire, a tout simplement usé d’une prérogative et a cautionné le fait.
Aujourd’hui, l’épouse «B», sur incitation de son « mari » FC cherche à s’expatrier en Suède où la pratique des unions libres est reconnue. Au Mali, elle n’a aucune valeur juridique puisque le code du mariage précise bien que l’union est célébrée entre homme et femme.
Un concept qui, malheureusement, connaît aujourd’hui ses limites dans la mesure où la science parvient dorénavant à faire changer le sexe biologique d’une personne. En somme, une femme peut désormais s’octroyer les caractères secondaires mâles et un homme de même par rapport aux attributs femelles. Toute chose qui met à défaut le principe malien selon lequel le mariage n’est célébré qu’entre homme et femme… «De naissance» n’aurait pas été de trop… Et si l’on revoyait sérieusement ce fameux code du mariage, sans passion, s’il vous plaît !