De cette visite on analysera ses séjours au Maroc et à Tindouf, ville algérienne où sont séquestrés des sahraouis dans des campements.
Au Maroc, notamment dans ses provinces sahariennes, Monsieur Ross a eu toute la liberté de s’entretenir avec des représentants de la population qu’ils soient pro ou anti marocains.
A Laayoune et à Dakhla, les autorités marocaines n’ont donné aucune fin de non recevoir aux demandes de Monsieur Ross quant à sa volonté de rencontrer des tenants du séparatisme et de les entendre en toute quiétude et sans contrainte dans les bureaux de la MINURSO.
Il est donc clair, que le Maroc fort de ses droits n’a entravé en aucune façon la mission de Ross qui était d’écouter toutes les parties.
S’agissant de la seconde partie de sa visite à Tindouf, qui est aussi importante que celle effectuée au Maroc et dans ses provinces sahariennes qu’en retenir ?
Tout simplement ceci :
Ross, comme à son accoutumé à refuser sèchement de recevoir ou de s’entretenir avec les opposants du polisario.
En effet plusieurs Chefs de tribus sahraouis, dont le chef de tribu Saleh Ould Cheikh Ali Mohamed Sidi Ahmed, ont vu leur demande d’audience rejetées par Ross.
Il en fut de même avec l’artiste poète et musicien sahraoui Najm Allal, qui subit des exactions, torture et enlèvement pour avoir demander à voir Ross, sans que ce dernier ne réagisse.
On peut donc dire que Christopher Ross a failli à sa mission en adoptant une attitude peu professionnelle et non équitable.
Peu professionnelle lorsqu’il déclara que et je cite « solidaire avec les sahraouis, qu’il a dit en souffrance parce que réfugiés et loin de leur terre. »
Non équitable car à Laayoune il a pu rencontrer tous les séparatistes et les polisariens, en toute liberté et avec l’assentiment des autorités marocaines, alors qu’à Tindouf, il exclut sciemment les opposants au Polisario.
Il ressort donc que Monsieur Christopher Ross sert bel et bien les intérêts d’un lobby algérien, dont la seule raison d’exister est de contrôler les sahraouis, pour mieux les asservir et les instrumentaliser, pour nourrir son inimité aveugle à l’égard du Royaume du Maroc.
En ce sens, Monsieur Christopher Ross est devenu co-responsable des graves violations des droits de l’homme, que commet quotidiennement le Polisario, contre les sahraouis embastillés dans les camps de Tindouf en Algérie.
D’ailleurs Monsieur Edward Gabriel, un de ses anciens collègues du Département d’Etat américain a qualifié sa prestation dans la gestion de ce dossier du Sahara d’atermoiement infini.
Monsieur Gabriel a même confirmé que son ancien collègue n’avait aucune intention de proposer ou d'endosser une quelconque solution de compromis pour résoudre le conflit du Sahara, en dépit de ses suggestions indiquant le contraire.
Il est plus qu’urgent que Monsieur Ban Ki Moon disqualifie Christopher Ross, en raison de sa double version, une automatiquement en faveur de l’Algérie et l’autre systématiquement en défaveur du Maroc, et nomme un nouvel Envoyé Personnel plus crédible. La preuve vient d’en être faite par l’intéressé lui-même.
Les pays Arabes et musulmans unanimes ont toujours réaffirmé leur position constante et solidaire avec le Royaume du Maroc pour la préservation de son intégrité territoriale.
Derniers en date et non des moindres, les pays du Conseil de Coopération des Etats arabes du Golfe (CCG). C’est dire que l’Algérie est bien isolée dans son soutien imature aux séparatistes du polisario.
En Afrique et dans les Amériques, mais aussi en Europe, en Océanie les soutiens pour le polisario fondent comme neige au soleil.
Au final, Christopher Ross s’est disqualifié en adoptant une attitude version pro-algérienne et une autre anti-marocaine. Une position qui rend illusoire et caducque toutes ses pseudo tentatives de recherche d’une solution en conformité avec le plan proposé par le Maroc et accepté par la communauté internationale.
Farid Mnebhi.
Au Maroc, notamment dans ses provinces sahariennes, Monsieur Ross a eu toute la liberté de s’entretenir avec des représentants de la population qu’ils soient pro ou anti marocains.
A Laayoune et à Dakhla, les autorités marocaines n’ont donné aucune fin de non recevoir aux demandes de Monsieur Ross quant à sa volonté de rencontrer des tenants du séparatisme et de les entendre en toute quiétude et sans contrainte dans les bureaux de la MINURSO.
Il est donc clair, que le Maroc fort de ses droits n’a entravé en aucune façon la mission de Ross qui était d’écouter toutes les parties.
S’agissant de la seconde partie de sa visite à Tindouf, qui est aussi importante que celle effectuée au Maroc et dans ses provinces sahariennes qu’en retenir ?
Tout simplement ceci :
Ross, comme à son accoutumé à refuser sèchement de recevoir ou de s’entretenir avec les opposants du polisario.
En effet plusieurs Chefs de tribus sahraouis, dont le chef de tribu Saleh Ould Cheikh Ali Mohamed Sidi Ahmed, ont vu leur demande d’audience rejetées par Ross.
Il en fut de même avec l’artiste poète et musicien sahraoui Najm Allal, qui subit des exactions, torture et enlèvement pour avoir demander à voir Ross, sans que ce dernier ne réagisse.
On peut donc dire que Christopher Ross a failli à sa mission en adoptant une attitude peu professionnelle et non équitable.
Peu professionnelle lorsqu’il déclara que et je cite « solidaire avec les sahraouis, qu’il a dit en souffrance parce que réfugiés et loin de leur terre. »
Non équitable car à Laayoune il a pu rencontrer tous les séparatistes et les polisariens, en toute liberté et avec l’assentiment des autorités marocaines, alors qu’à Tindouf, il exclut sciemment les opposants au Polisario.
Il ressort donc que Monsieur Christopher Ross sert bel et bien les intérêts d’un lobby algérien, dont la seule raison d’exister est de contrôler les sahraouis, pour mieux les asservir et les instrumentaliser, pour nourrir son inimité aveugle à l’égard du Royaume du Maroc.
En ce sens, Monsieur Christopher Ross est devenu co-responsable des graves violations des droits de l’homme, que commet quotidiennement le Polisario, contre les sahraouis embastillés dans les camps de Tindouf en Algérie.
D’ailleurs Monsieur Edward Gabriel, un de ses anciens collègues du Département d’Etat américain a qualifié sa prestation dans la gestion de ce dossier du Sahara d’atermoiement infini.
Monsieur Gabriel a même confirmé que son ancien collègue n’avait aucune intention de proposer ou d'endosser une quelconque solution de compromis pour résoudre le conflit du Sahara, en dépit de ses suggestions indiquant le contraire.
Il est plus qu’urgent que Monsieur Ban Ki Moon disqualifie Christopher Ross, en raison de sa double version, une automatiquement en faveur de l’Algérie et l’autre systématiquement en défaveur du Maroc, et nomme un nouvel Envoyé Personnel plus crédible. La preuve vient d’en être faite par l’intéressé lui-même.
Les pays Arabes et musulmans unanimes ont toujours réaffirmé leur position constante et solidaire avec le Royaume du Maroc pour la préservation de son intégrité territoriale.
Derniers en date et non des moindres, les pays du Conseil de Coopération des Etats arabes du Golfe (CCG). C’est dire que l’Algérie est bien isolée dans son soutien imature aux séparatistes du polisario.
En Afrique et dans les Amériques, mais aussi en Europe, en Océanie les soutiens pour le polisario fondent comme neige au soleil.
Au final, Christopher Ross s’est disqualifié en adoptant une attitude version pro-algérienne et une autre anti-marocaine. Une position qui rend illusoire et caducque toutes ses pseudo tentatives de recherche d’une solution en conformité avec le plan proposé par le Maroc et accepté par la communauté internationale.
Farid Mnebhi.