Le général Ould Abdel Aziz, qui s'exprimait à l'occasion de la fête d'El Fitr, a exhorté ses compatriotes à resserrer les rangs, à « faire preuve de solidarité » et à redoubler d'efforts, « pour l'édification d'une Mauritanie solide et prospère »
Outre la lutte contre le terrorisme, l'homme fort de la Mauritanie a promis d'œuvrer pour la lutte contre les défis majeurs auxquels son pays fait face. Il s'est engagé pour cela, à s'attaquer à la pauvreté et l'ignorance, tout en réformant l'administration en consolidant la démocratie.
Ce discours intervient seulement à 5 jours de l'expiration de l'ultimatum de l'Union Africaine (UA) pour le rétablissement, dans ses fonctions, du Président renversé Ould Cheikh Abdallahi. faute de quoi le pays sera soumis à l'isolement.
Réagissant à la menace d'un embargo international, suspendu au non respect de l'exigence de l'UA, le premier ministre mauritanien M. Moulaye Ould Mohamed Leghdaf avait donné un début de la réponse de Nouakchott : « tout embargo est lourd, mais s'il y a embargo il faut le vivre ».
Plusieurs sensibilités politiques, organisations de la société civile et notabilités religieuses avait critiqué énergiquement cette position de l'UA, qui a, d'un autre côté, le soutien de franges anti-putsch, dans le pays.
Outre la lutte contre le terrorisme, l'homme fort de la Mauritanie a promis d'œuvrer pour la lutte contre les défis majeurs auxquels son pays fait face. Il s'est engagé pour cela, à s'attaquer à la pauvreté et l'ignorance, tout en réformant l'administration en consolidant la démocratie.
Ce discours intervient seulement à 5 jours de l'expiration de l'ultimatum de l'Union Africaine (UA) pour le rétablissement, dans ses fonctions, du Président renversé Ould Cheikh Abdallahi. faute de quoi le pays sera soumis à l'isolement.
Réagissant à la menace d'un embargo international, suspendu au non respect de l'exigence de l'UA, le premier ministre mauritanien M. Moulaye Ould Mohamed Leghdaf avait donné un début de la réponse de Nouakchott : « tout embargo est lourd, mais s'il y a embargo il faut le vivre ».
Plusieurs sensibilités politiques, organisations de la société civile et notabilités religieuses avait critiqué énergiquement cette position de l'UA, qui a, d'un autre côté, le soutien de franges anti-putsch, dans le pays.