Le plan rendu public lors d’une conférence de presse réclame aussi des « garanties pour l’organisation d’élections présidentielles transparentes et libres et auxquelles les membres de l’autorité provisoire ne peuvent se porter candidats ni appuyer une candidature de façon directe ou indirecte ». Un cinquième point de la proposition consiste à former un gouvernement d’union nationale chargé de gérer la période de transition avec la participation de tous les partis politiques représentés au Parlement ainsi que des autres formations disposant d’un poids électoral consistant.
Le plan en question propose également la création d’une Commission électorale nationale indépendante et invite tous les acteurs politiques nationaux et les partenaires extérieurs de la Mauritanie à encourager le dialogue entre les différentes parties. Le leader de l’opposition a indiqué, durant la même conférence de presse, que le président déchu Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi peut, s’il le souhaite, prendre part au dialogue préconisé en tant que représentant du Front national de défense de la démocratie (FNDD), hostile au coup d’Etat. Ould Daddah qui est aussi chef du Rassemblement des forces démocratiques (RFD), avait exprimé sa « compréhension » vis-à-vis du putsch dirigé par le général Mohamed Ould Abdelaziz tout en refusant la participation de son parti au gouvernement nommé par les militaires.
Challenger de Ould Cheikh Abdallahi (48% des voix) à la présidentielle de mars 2007, Ahmed Ould Daddah ne s’est pas encore exprimé sur son éventuelle candidature pour la prochaine élection, fixée au 6 juin 2009.
(Apa)
Le plan en question propose également la création d’une Commission électorale nationale indépendante et invite tous les acteurs politiques nationaux et les partenaires extérieurs de la Mauritanie à encourager le dialogue entre les différentes parties. Le leader de l’opposition a indiqué, durant la même conférence de presse, que le président déchu Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi peut, s’il le souhaite, prendre part au dialogue préconisé en tant que représentant du Front national de défense de la démocratie (FNDD), hostile au coup d’Etat. Ould Daddah qui est aussi chef du Rassemblement des forces démocratiques (RFD), avait exprimé sa « compréhension » vis-à-vis du putsch dirigé par le général Mohamed Ould Abdelaziz tout en refusant la participation de son parti au gouvernement nommé par les militaires.
Challenger de Ould Cheikh Abdallahi (48% des voix) à la présidentielle de mars 2007, Ahmed Ould Daddah ne s’est pas encore exprimé sur son éventuelle candidature pour la prochaine élection, fixée au 6 juin 2009.
(Apa)