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MENACE DE MORT, INTERDIT DE SÉJOUR AU SÉNÉGAL : Mame Thierno Birahim Mbacké Niang paie pour ses propos

Les sorties de Mame Thierno Birahim Mbacké Niang, demi-frère de Serigne Modou Kara Mbacké, commencent à lui coûter cher. Après ses attaques contre son frère, il voulait rentrer en catimini au Sénégal pour aller au chevet de sa mère souffrante. Mais des personnes l’ont appelé pour l’en dissuader. Elles ont menacé d’attenter à sa vie.


Rédigé par leral.net le Mardi 6 Octobre 2009 à 18:30 | | 6 commentaire(s)|

MENACE DE MORT, INTERDIT DE SÉJOUR AU SÉNÉGAL : Mame Thierno Birahim Mbacké Niang paie pour ses propos
’est vendredi dernier qu’il devait rejoindre discrètement le Sénégal pour se rendre automatiquement à Touba au chevet de sa mère malade. Mais Thierno Birahim Mbacké Niang a finalement annulé son voyage. Non pas parce qu’il ne veut plus venir, mais parce que sa vie est menacée. Joint hier au téléphone, depuis l’Italie, où il se trouve, le demi-frère de Serigne Modou Kara Mbacké, a confirmé les faits. Il raconte que, depuis quelques jours, il reçoit des menaces de mort. Mieux, des personnes l’ont appelé pour lui dire qu’ils savaient quand est-ce qu’il devait rentrer au Sénégal, pour voir sa mère un peu souffrante à cause de son âge avancé (83 ans), elles lui feraient sa fête dès qu’il sera à Dakar. L’homme dit avoir déjà pris ses dispositions, en essayant d’entrer en contact avec les responsables de la Rencontre africaine pour la défense des droits de l’Homme (Raddho) pour leur expliquer sa situation. Non sans préciser qu’il n’a pas peur de la mort. Mais, qu’il tient à dire qu’il n’a fait qu’exprimer son avis dans le débat national, comme cela se fait dans toutes les démocraties. Et que si on veut lui faire taire, c’est peine perdue.

«Je ferais comme Souleymane Jules Diop»

Des sources bien au fait des agissements de cet ancien bras droit de Serigne Modou Kara Mbacké informent que depuis qu’il a fait ses deux sorties dans la presse sénégalaise, des personnes ont été envoyées pour lui demander d’arrêter de tirer sur son frère et sur le président de la République Me Abdoulaye Wade. D’autant plus que le bonhomme détiendrait des informations très sensibles, pour avoir été à côté du marabout. A ce propos, Mame Thierno Birahim Mbacké Niang n’y va pas par quatre chemins : «si on n’arrête pas de me harceler, je ferai comme Souleymane Jules Diop.» Il rappelle que, pendant plus de dix ans, il a été un collaborateur des agents de renseignement généraux. Par conséquent, il en sait des choses. «J’ai des éléments sonores et des photos», soutient-il. Et il promet «de balancer sur la toile des Cd compromettants pour le président de la République». Mais, il ne souhaite pas en arriver là et il veut qu’on le laisse en paix.

Pape Alé Niang


1.Posté par la thiessoise le 06/10/2009 19:13 | Alerter
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birahim on est dans un pays dirigé par des bandits et si on sait pas se defendre on t'ecrase sans pitié. ce pays nous appartient a tous et si tu veux venir viens sans hesiter et verras qu'ils ne feront rien ils essaient seulement de t'intimider et de te faire peur. bouléne faalé et n'hesites pas a dire ce que tu sais pour te défendre parce que fii moom baay lois amoufi !

2.Posté par MOMOU le 06/10/2009 20:07 | Alerter
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Aucun pays n'a jamais appartenu à son peuple ,ce ne sont que des vœux pieux .
Par contre le peuple appartient à quelques uns qui s'enrichissent sur le dos de l'ensemble.
Un riche de plus et c'est dix à vingt pauvres supplémentaires.
Les ressources de notre Terre ne sont pas extensibles à l'infini mais mesurables scientifiquement .L'homme n'a pas été créé partageur ,mais prédateur ,comme certaines espèces animales.
Il suffit e savoir bienouvrir ses yeux et ses oreilles pour en avoir confirmation.
MM

3.Posté par Le Piment le 06/10/2009 20:47 | Alerter
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Chers lecteurs de cette rubrique de l'excelllent site Leral.net.

Faut-il s'appitoyer plus qu'il n'en faut,sur le sort de plus en plus tragique qui attend cet homme prétendument omniscient et omnipotent comme le bon Dieu, qui finit ainsi en catastrophe, une carrière politique qui aurait pu être l'une des plus belles, à cause de l'enthousiasme délirant des élcteurs, l'ayant unanimement porté au pouvoir ? Il faut ajouter pour être juste, que la fin quasiment catastrophique du Parti Socialiste (PS) dont l'usure constatée et les luttes de positionnement avaient finalement assassiné les quelques bons points de son long règne jonché de réalisations certes mais aussi de manquements, y aura été pour quelque chose.

Faut-il s'attarder plus qu'il n'est permis, sur le sort de cet homme qui a sciemment et volontairement confondu les connaissances livresques à l'humble sagesse d'écouter plus souvent et beaucoup plus attentivement qu'il ne l'a fait, l'opinion des autres, ne serait-ce que pour sauver la face et pouvoir un jour dire pour se dédouaner des aléas parfois inattendus de la vie: " je les ai pourtant suivis" , pour dire qu'à un certain niveau, les responsabilités peuvent et doivent être partagées ?

Faut-il avoir forcément pitié d'un homme singulièrement nombriliste et férocement égoïste, qui malgré sa propension à partager gracieusement l'argent du peuple entre lui, sa famille et ses amis, n'a pas su trouver la moindre parcelle de différence, entre sa "sainte" famille et la chose publique, plus que jamais singularisée par son mépris de l'autre, des règles et des convenences, pour avoir géré le Sénégal comme un roi sa cour et un chef sa propre famille ou son arrière-cour, tout le long de ses deux mandats à la tête de ce pays ?

Faut-il ne pas se souvenir de celui-là qui, dès le tout premier jour de son investiture, pardon, de son couronnement au méidien Présient, osa humilier comme cela n'avait jamais été vu avant lui dans les annales diplomatiques, ses roitelets pairs chefs d'Etat africains venus assister aux cérémonies de son sacre, en ces termes : ''c'est fini, l'Afrique des dictateurs, des règnes interminables et des présidents à vie, des républiques bananières qui sont au juste des royaumes déguisés" ? Comme témoins de l'histoire, nous étions heureusement présents ce jour-là et avons vu honteux, feu Omar Bongo du Gabon entrer dans ses petits souliers, feu Robert Gueye de Côte d'Ivoire se retourner nerveusement pour regarder autour de lui, tout comme Blaise Campaoré l'assassin de Thomas Sankara, balayer la salle de son regard de sanguinaire, pour savoir si ce n'était pas à lui personnellement, que s'adressait le nouveau Président sénégalais, etc..etc.

Faut-il enfin ne pas se souvenir de cet homme providentiel qui souleva tellement d'espoir partout en Afrique et plus singulèrement ici au Sénégal après le long règne du PS, qu'il ne trouva rien de mieux tout au début de son mandat, que de descendre personnellement dans les rues comme jamais personne ne l'aurait cru, pour se faire photographier par la presse nationale et internationale, entouré des fameux enfants de la rue objets à tant de controverses, à qui il promit: "plus jamais ça", en parlant de leurs inqualifiables conditions de vie ?

(....)

Naturellement, ma réponse à tous ces "faut-il " est NON.

Non, parce que cet homme a entre temps, fait exactement ce qu'il n'a pas dit et dit ce qu'il n'a pas fait. Il n'a pas tenu compte des nombreux talents que son pays regorge, pour prendre des décisions idoines ou pour agir chaque jour, ne serait-ce qu'en pensant à cette majoritté silencieuse qui l'a élue. Roi comme Nebucanesor ou tout autre, il n'a pensé qu'à ses douze travaux d'Hercules et à ses réalisations pharaoniques, dans le seul but d'asseoir une prétendue postérité historique de bonne facture, tout en oubliant que pendant ce temps, le peuple qui l'avait élu souffrait de tous les maux du monde.

Magicien du verbe, des formules incendiaires et des mots à l'emporte-pièce, il n'y a eu aucune tribune officielle ou officieuse nulle part dans notre monde tout le long de son règne, où le faiseur de miracles ne se soit présenté, pour exiber ses vrais et faux diplômes aux yeux ébahis ou admiratifs des autres, afin d'avoir le plaisir sadique d'exposer ses points de vues irréalistes et/ou alors, pour montrer qu'au Sénégal, après lui c'est son fils ou le déluge, sa famille étant la seule variable sûre qui a existé, existe et existera pour la postérité.

Et comment pourrait-on avoir pitié, même en rêve, de la fin aussi triste et funèbre d'un type aussi à la fois arrogant et imprévisible, qui sait tout dire et se croit le nombrile du monde? Ce matin le voici au nord de son pays, pour éteindre un prétendu feu dans un désert et dont l'empleur n'aurait enflammer que du sable déjà chaud ,à brûler ses mains de mégalomane. Ce midi, il est au sud pour embrasser "paternellement" un fou que tout le monde évite, à qui il tend les bras pour encourager ses fantasmes et ses crimes planifiés. Ce soir, il viendra sans doute éteindre un autre drôle d'incendie, pour la première fois dans son propre pays, mais au juste, c'est pour orchestrer quelque chose de plus que louche, qui pourrait avoir de liens avec les sales draps dans lesquels son fils chéri se serait empêtré, avec les affaires de détournements des déniers publics relatifs à l'Anoci... Autant on ne l'a vu se précipiter ainsi dans son propre pays pour éteindre aucun des feux comme celui plus que catastrohique des innondations, autant son hardiesse pour éteindre celui-là sucite des soupçons parfois fondés....Et dire qu'il avait promis de règler le conflit casamançais en 100 jours et que, pas plus tard qu'avant hier, 6 de nos braves soldats sont encore tombés au champ d'honneur !

On passerait volontiers des jours et des jours, des semaines voire des années, rien qu'à dire que personne ne versera une seule petite larme, le jour où l'histoire et le temps l'emporteront comme ils ont emmporté plus d'un terrible avant lui.

Personne, peut-être même son propre fils chéri, tellement il l'aura préparé à lui succéder, que la longivité légendaire du père finira par poser d'énormes problèmes au fils, si tout fils de son père qu'il est, il n'avait point de limite à ses ambitions ni de bornes morales à construire pour encadrer le possible en ce qui les concerne, lui ,sa mère, son père et sa soeur, qui règnent en maîtres sur le pays de la téranga en ce moment précis de son histoire.

Wassalam

4.Posté par le fou le 06/10/2009 21:39 | Alerter
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j'ai peur que ces bandits te tueront comme un cafard d'autant plus que tu dètient des informations sensibles.en ce qui concerne les cd nous n'en voulons plus entendre à cause de idy.

5.Posté par candide le 07/10/2009 13:04 | Alerter
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niomi néne la ! naniou réyanté ba diékh , comme ça niou am diam la paix !

ils nous emmerdent ces petits-fils du seurigne ou du frére du seurigne , donc automatiquement seurignes à qui on doit allégeance et son argent et sa sueur , des foutaises !

6.Posté par FALL ITALIE le 07/10/2009 13:54 | Alerter
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CE BIRAHIM NIANG EST UN BLEUFFEUR,IL NE SAIT NI DETIENT RIEN.PERSONNE NE L\A MENACE,IL FAIT DE LA SURRENCHERE.C LE CULTE DE SA PROPRE PERSONNALITE QUI L\INTERESSE ET RIEN D\AUTRE.

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