Plus belliqueux et violent que Afo Faye tu meurs. Il avait violé et engrossé la fille A. K. alors âgée de 15 ans et élève au Ces I Zone Sud à Mbour. Les parents de la fille s’étaient résignés à ne pas intenter de poursuites judiciaires contre lui. Mais Afo se donne l’outrecuidance de venir prendre la fille chez elle et oblige à lui suivre. Tout cela avec des menaces et sous le regard impuissant de la mère de la petite fille.
Fatiguée des assauts répétés du gus inconscience, la mère de A. K. porta plainte à plusieurs reprises à la police comme au tribunal, sans obtenir satisfaction. Une première fois, Afo avait été inculpé pour violation du domicile de la dame, violences, menaces et voies de faits sur les personnes la plaignante et sa fille. Il a été ainsi emprisonné pour deux mois ferme. Sorti de prison ; Afo fonce à la maison de la dame pour les terroriser. Selon la mère de A. K, elle avait une fois envoyé sa fille à la boutique, Afo l’a interpellée en cour de route et lui a demandé de le suivre par la force. La fille refuse parceque sa mère était alitée. Et Afo lui infligera une correction jusqu’à lui causer plusieurs blessures sous le regard des voisins. La mère tenta de s’y opposer, mais elle en prendra elle aussi pour son grade avec les blessures. Aussi se fera-t-elle un certificat médical. Toutefois, Afo maintient toujours la pression sur la fille et sa mère. Et la mère envoie sa fille en dehors de Mbour. Mais pour lui imposer de ramener la fille. Afo enlève les portes des toilettes de la maison et celle de la cuisine pour les garder dans un lieu discret. Il lui indique que tant que A.. K. ne reviendra pas, elle n’aura pas ses portes. Pendant des jours, la dame avait des difficultés pour entrer dans ses toilettes béantes. Elle interpelle ses frères qui sont allés à la recherche de Afo. Ces derniers lui intiment l’ordre ramener les portes. D’ailleurs, celles-ci ont été réceptionnées par la police dans un premier temps avant d’être remises à la dame.
De l’avis de A.K. alors qu’elle était en état de grossesse de 2 mois, Afo l’avait frappée pour lui demander d’accoucher immédiatement. Menacé, Afo s’était enfui en Mauritanie. Mais il est revenu quelques semaines après la naissance de son enfant. Cependant, Afo s’était même plaint du fait qu’on ait choisi un nom à son enfant sans son autorisation. Ainsi, le papa belliqueux débarque à la maison et prend son bébé de 15 mois pour l’abreuver d’alcool de force devant la famille impuissante.
La fille A.k. a supplié le tribunal de retenir le père de son enfant son bourreau le plus longtemps possible dans les liens de la prévention, pour qu’elle puisse vivre tranquillement. A défaut, elle va quitter Mbour pour aller se cacher quelque part où Afo ne pourra jamais la retrouver. Sa mère a même affirmé si Afo le désire, il peut prendre son enfant. Toutefois, sa fille est contre ce point de vue , car selon elle Afo ne s’est jamais acquitté de son devoir de père.
Afo, quant à lui, n’a eu que cela à la bouche comme argument de défense : « On m’accuse à tort. Je n’ose pas faire cela. ». Le parquet a expliqué d’abord que Afo est un adepte de l’alcool qui a été plusieurs fois condamné pour usage et trafic de chanvre à Thiès et à Dakar. Il comparaît à Mbour pour la deuxième en moins de trois mois pour menaces suivies de violences avec voies de faits. Il a requis un an ferme contre Afo. La partie civile n’a pas de mandé de dommage et intérêts.
Le tribunal a condamné Afo à un an de prison ferme pour les violences et voies de faits, trois mois pour la violation de domicile, un mois pour les menaces, et ordonne, par conséquent, la confusion des peines.
Pape DIEYE
rewmi
Fatiguée des assauts répétés du gus inconscience, la mère de A. K. porta plainte à plusieurs reprises à la police comme au tribunal, sans obtenir satisfaction. Une première fois, Afo avait été inculpé pour violation du domicile de la dame, violences, menaces et voies de faits sur les personnes la plaignante et sa fille. Il a été ainsi emprisonné pour deux mois ferme. Sorti de prison ; Afo fonce à la maison de la dame pour les terroriser. Selon la mère de A. K, elle avait une fois envoyé sa fille à la boutique, Afo l’a interpellée en cour de route et lui a demandé de le suivre par la force. La fille refuse parceque sa mère était alitée. Et Afo lui infligera une correction jusqu’à lui causer plusieurs blessures sous le regard des voisins. La mère tenta de s’y opposer, mais elle en prendra elle aussi pour son grade avec les blessures. Aussi se fera-t-elle un certificat médical. Toutefois, Afo maintient toujours la pression sur la fille et sa mère. Et la mère envoie sa fille en dehors de Mbour. Mais pour lui imposer de ramener la fille. Afo enlève les portes des toilettes de la maison et celle de la cuisine pour les garder dans un lieu discret. Il lui indique que tant que A.. K. ne reviendra pas, elle n’aura pas ses portes. Pendant des jours, la dame avait des difficultés pour entrer dans ses toilettes béantes. Elle interpelle ses frères qui sont allés à la recherche de Afo. Ces derniers lui intiment l’ordre ramener les portes. D’ailleurs, celles-ci ont été réceptionnées par la police dans un premier temps avant d’être remises à la dame.
De l’avis de A.K. alors qu’elle était en état de grossesse de 2 mois, Afo l’avait frappée pour lui demander d’accoucher immédiatement. Menacé, Afo s’était enfui en Mauritanie. Mais il est revenu quelques semaines après la naissance de son enfant. Cependant, Afo s’était même plaint du fait qu’on ait choisi un nom à son enfant sans son autorisation. Ainsi, le papa belliqueux débarque à la maison et prend son bébé de 15 mois pour l’abreuver d’alcool de force devant la famille impuissante.
La fille A.k. a supplié le tribunal de retenir le père de son enfant son bourreau le plus longtemps possible dans les liens de la prévention, pour qu’elle puisse vivre tranquillement. A défaut, elle va quitter Mbour pour aller se cacher quelque part où Afo ne pourra jamais la retrouver. Sa mère a même affirmé si Afo le désire, il peut prendre son enfant. Toutefois, sa fille est contre ce point de vue , car selon elle Afo ne s’est jamais acquitté de son devoir de père.
Afo, quant à lui, n’a eu que cela à la bouche comme argument de défense : « On m’accuse à tort. Je n’ose pas faire cela. ». Le parquet a expliqué d’abord que Afo est un adepte de l’alcool qui a été plusieurs fois condamné pour usage et trafic de chanvre à Thiès et à Dakar. Il comparaît à Mbour pour la deuxième en moins de trois mois pour menaces suivies de violences avec voies de faits. Il a requis un an ferme contre Afo. La partie civile n’a pas de mandé de dommage et intérêts.
Le tribunal a condamné Afo à un an de prison ferme pour les violences et voies de faits, trois mois pour la violation de domicile, un mois pour les menaces, et ordonne, par conséquent, la confusion des peines.
Pape DIEYE
rewmi