Le Syndicat national des professionnels de l’information et de la communication (Synpics), par la voix de sa Secrétaire générale, Mme Diatou Cissé Badiane tire la sonnette d’alarme sur les dangers que court le peuple sénégalais, au-delà de ceux qui menacent la presse : "la meilleure façon de bâillonner un peuple, c’est de commencer à bâillonner sa presse", a-t-elle en effet soutenu, invitant les sénégalais à "prendre garde". En effet, ajoute-t-elle, "au-delà de la liberté de presse dans ce pays, c’est même la liberté d’expression qui est menacée au Sénégal",
Appelant à la mobilisation après le saccage des sièges de L’As et de 24 Heures Chrono hier, la patronne du Synpics a marqué son indignation et pris à témoin l’opinion nationale et internationale. « Ce sont des actes qui n’honorent pas leurs commanditaires. Ce sont des actes qui n’honorent pas la démocratie sénégalaise. Mais la presse sénégalaise, par la voix du Synpics, prend à témoin encore une fois toute l’opinion nationale et internationale pour lancer un appel afin que tout le monde se mobilise", ajoute Diatou Cissé Badiane, sur un ton ferme.
La Secrétaire générale du Synpics espère du reste qu’"une enquête effective sera menée pour démasquer les nervis qui ont perpétré cet acte-là, qui l’ont perpétré contre la presse, mais aussi contre la démocratie en général".
Appelant à la mobilisation après le saccage des sièges de L’As et de 24 Heures Chrono hier, la patronne du Synpics a marqué son indignation et pris à témoin l’opinion nationale et internationale. « Ce sont des actes qui n’honorent pas leurs commanditaires. Ce sont des actes qui n’honorent pas la démocratie sénégalaise. Mais la presse sénégalaise, par la voix du Synpics, prend à témoin encore une fois toute l’opinion nationale et internationale pour lancer un appel afin que tout le monde se mobilise", ajoute Diatou Cissé Badiane, sur un ton ferme.
La Secrétaire générale du Synpics espère du reste qu’"une enquête effective sera menée pour démasquer les nervis qui ont perpétré cet acte-là, qui l’ont perpétré contre la presse, mais aussi contre la démocratie en général".