Votre début dans le mannequinat ?
Titi : (rires).J’embrasse ce métier depuis bientôt quatre bonnes années(2006).Tu vois, j’aime la mode dés mon plus bas âge. J’aime m’habiller bien. J’adore tout ce qui est beau et élégant.
Ce métier, disons-le, est victime d’un certain nombre de préjugés défavorables dans notre pays.
N’est-ce pas ?
Titi : Je ne le vois pas comme tel. Le mannequinat est un métier comme touts les autres. Au Sénégal, il est souvent mal vu. On doit savoir que ce n’est pas la personne qui intéresse le plus mais les habits qu’elle porte pour leur mise en valeur. C’est un métier noble .Ces acteurs méritent respect et considération. Je dis qu’on doit encourager les jeunes talents dans la Banlieue (notamment à Pikine et à Guédiawaye).
Est –ce que vous avez eu à participer à certains grands rendez du mannequinat ?
Titi : Bien entendu. J’ai eu à participer à certains défilés avec « Sira Vision », « Trophée Prestige » avec Ambroise GOMIS, « Simod » avec Mme Oumou SOW mais aussi avec Adama Paris au Salon International de coiffure.
Le mannequinat ça paie son homme (sa femme, rires) ?
Titi : Ici au Sénégal, non ! Peut-être à l’extérieur. Là- bas , ce métier marche très fort .
Certaines d’entre vous subissent, pour le plus clair du temps, des agressions de toutes natures. Votre cas ?
Titi : Ça ne m’a jamais arrivé.
Et les parent, comment ils voient ce métier ?
Titi : Moi, les miens me soutiennent dans cette entreprise .C’est pourquoi, je suis à l’aise. Je remercie le bon Dieu.
Titi, un cœur à prendre, à conquérir ?
Titi : (rires). Je n’ai pas encore de mari. Je ne cherche pas un homme riche (seulement) mais quelqu’un digne de confiance.
Vos projets d’avenir ?
Titi : Je ne souhaite pas rester seulement dans le mannequinat. J’ambitionne de devenir une Directrice ou une grande femme d’affaires .J’entends être un modèle par ce que je vis dans une famille Socé modeste.
Réalisée par Ibrahima NGOM leral.net
Titi : (rires).J’embrasse ce métier depuis bientôt quatre bonnes années(2006).Tu vois, j’aime la mode dés mon plus bas âge. J’aime m’habiller bien. J’adore tout ce qui est beau et élégant.
Ce métier, disons-le, est victime d’un certain nombre de préjugés défavorables dans notre pays.
N’est-ce pas ?
Titi : Je ne le vois pas comme tel. Le mannequinat est un métier comme touts les autres. Au Sénégal, il est souvent mal vu. On doit savoir que ce n’est pas la personne qui intéresse le plus mais les habits qu’elle porte pour leur mise en valeur. C’est un métier noble .Ces acteurs méritent respect et considération. Je dis qu’on doit encourager les jeunes talents dans la Banlieue (notamment à Pikine et à Guédiawaye).
Est –ce que vous avez eu à participer à certains grands rendez du mannequinat ?
Titi : Bien entendu. J’ai eu à participer à certains défilés avec « Sira Vision », « Trophée Prestige » avec Ambroise GOMIS, « Simod » avec Mme Oumou SOW mais aussi avec Adama Paris au Salon International de coiffure.
Le mannequinat ça paie son homme (sa femme, rires) ?
Titi : Ici au Sénégal, non ! Peut-être à l’extérieur. Là- bas , ce métier marche très fort .
Certaines d’entre vous subissent, pour le plus clair du temps, des agressions de toutes natures. Votre cas ?
Titi : Ça ne m’a jamais arrivé.
Et les parent, comment ils voient ce métier ?
Titi : Moi, les miens me soutiennent dans cette entreprise .C’est pourquoi, je suis à l’aise. Je remercie le bon Dieu.
Titi, un cœur à prendre, à conquérir ?
Titi : (rires). Je n’ai pas encore de mari. Je ne cherche pas un homme riche (seulement) mais quelqu’un digne de confiance.
Vos projets d’avenir ?
Titi : Je ne souhaite pas rester seulement dans le mannequinat. J’ambitionne de devenir une Directrice ou une grande femme d’affaires .J’entends être un modèle par ce que je vis dans une famille Socé modeste.
Réalisée par Ibrahima NGOM leral.net