66 magasins de référence vont être implantés dans la banlieue d’ici le 31 janvier pour rendre accessible les grands produit de consommations au niveau de la banlieue. Le ministre du Commerce qui l’a annoncé hier a affirmé que « aujourd’hui, nous en avons 40 et à la fin du mois de janvier nous aurons 66 magasins de références dans la banlieue avec des prix agrées. Nous allons ainsi passer à 66 magasins au 31 janvier 2010 ». Amadou Niang a ajouté que « les moyens ont déjà été accrus. Nous avons affecté au service quatre 4 véhicules et mis les quatre de la direction à Dakar en service de poule ».
Le Ministre du commerce précise que « la question de la banlieue est spécifique du fait du caractère hétérogène de sa population venue de partout, qui s’installe à la périphérie des villes à la recherche d’insertion sociale et économique ». A son avis, le choix porté sur la banlieue s’explique du fait qu’« au Sénégal le problème de la banlieue se pose sous l’angle de l’accessibilité économique et il nous faut trouver des prix qui seront compatibles au pouvoir d’achat des banlieusards ». Ainsi, a t-il ajouté, « nous disposons de 2,7 milliards de francs. Nous avons acquis beaucoup d’expérience et ce financement va générer beaucoup plus car nous avons affaire à des professionnels ».
L’absence des maires de la banlieue déplorée
Le Ministre a, par ailleurs, déploré l’absence des maires de la banlieue qui, à l’en croire, « sont dument invités ». C’est ainsi qu’il a précisé qu’« il ne peut pas y avoir de programme spéciale sur l’accessibilité des produits de grandes consommations pour les populations de la banlieue sans l’engagement et la participation des maires aux travaux qui se font aussi bien au niveau de la gouvernance qu’au niveau des préfets de département ». Une manière pour Amadou Niang de les inviter à rejoindre cette initiative de création de boutiques de références pour satisfaire les populations. Et d’ajouter : « le système de la distribution agréée que nous allons appeler système de référence, est parti du fait que certains commerçants acceptent d’agir en professionnels ».
Il a, par ailleurs, annoncé qu’« à travers les trois forum que nous tiendrons dans deux semaines, à Guédiawaye, Pikine et Rufisque, nous allons associer les commerçants qui s’engageraient à faire respecter ce système de prix que nous avons défini et agrée pour le système de référence ».
Le Ministre du commerce précise que « la question de la banlieue est spécifique du fait du caractère hétérogène de sa population venue de partout, qui s’installe à la périphérie des villes à la recherche d’insertion sociale et économique ». A son avis, le choix porté sur la banlieue s’explique du fait qu’« au Sénégal le problème de la banlieue se pose sous l’angle de l’accessibilité économique et il nous faut trouver des prix qui seront compatibles au pouvoir d’achat des banlieusards ». Ainsi, a t-il ajouté, « nous disposons de 2,7 milliards de francs. Nous avons acquis beaucoup d’expérience et ce financement va générer beaucoup plus car nous avons affaire à des professionnels ».
L’absence des maires de la banlieue déplorée
Le Ministre a, par ailleurs, déploré l’absence des maires de la banlieue qui, à l’en croire, « sont dument invités ». C’est ainsi qu’il a précisé qu’« il ne peut pas y avoir de programme spéciale sur l’accessibilité des produits de grandes consommations pour les populations de la banlieue sans l’engagement et la participation des maires aux travaux qui se font aussi bien au niveau de la gouvernance qu’au niveau des préfets de département ». Une manière pour Amadou Niang de les inviter à rejoindre cette initiative de création de boutiques de références pour satisfaire les populations. Et d’ajouter : « le système de la distribution agréée que nous allons appeler système de référence, est parti du fait que certains commerçants acceptent d’agir en professionnels ».
Il a, par ailleurs, annoncé qu’« à travers les trois forum que nous tiendrons dans deux semaines, à Guédiawaye, Pikine et Rufisque, nous allons associer les commerçants qui s’engageraient à faire respecter ce système de prix que nous avons défini et agrée pour le système de référence ».